Hémistiche

alexandrine : ce sont les règles du sonnet cela permet une mise en valeur de la langue française. L’alexandrin exprime la nostalgie montre l’humanisme de l’auteur. Il y a des césures a l’hémistiche du vers 11 à 14, les idées se complètent d’un hémistiche a un autre cela marque l’opposition des 2 pays. (Entre l'Italie ; Rome par « Romains », et la France; Lyre « Gaulois ») Les rimes sont embrassés alternées féminines et masculines. Allitération en « R » V. 11, cela a une valeur péjorative

pétri d’orgueil, se fait duper par le renard) et participe à la volonté de ridiculiser les jouvenceaux (vers 4). Mais, contrairement au corbeau, ceux-ci ne se laissent pas duper : Elle en meurt, il en rit (vers 5). Sous forme de sentence, par cet hémistiche lapidaire où l’asyndète sert la structure chiasmatique de l’énoncé (elle s’oppose à il, meurt s’oppose à rit), le duc résume le caractère cynique des jeunes hommes. Par cet excès de réprobations contre les jeunes hommes, Don Ruy pousse au ridicule

également noter la prédominance du présent de vérité générale tout au long du poème, par exemple dès le vers 2 : « occupent nos esprits, travaillent nos corps ». L’effet de redoublement produit par le parallélisme sur lequel sont construits les deux hémistiches confère à ce vers l’aspect d’une maxime. Enfin, on peut également relever la présence de pronoms définis présentatifs : « c’est Satan Trismégiste » (vers 9), « c’est le Diable » (vers 13), « C’est l’Ennui » (vers 37) ; ils contribuent à la portée

La stratégie d’Oenone vise surtout à persuader Phèdre en la prenant par les sentiments en lui faisant prendre sa nourrice en pitié. (registre pathétique) 2) LES RETICENCES DE PHEDRE Ses phrases sont courtes : v.8 chaque ph. a la longueur d’un hémistiche ou v.9 d’un vers, v.28 2 ph. partagent l’hémistiche, v.25, v.30 et v.36, v.40 la césure est renforcée par la virgule, v.32 par le point d’exclamation : ces pauses hachent le discours. Phèdre ne prononce pas 6 syll. sans s’arrêter : cela révèle

accents fixes (6e et 12e syllabes) et des accents mobiles souvent au nombre de deux. La coupe médiane qui sépare les vers en 2 parties égales (hémistiche) s’appelle la césure. L’alexandrin à 4 accents porte le nom de tétramètre. Ex : Enfin vous l’emportez //et la faveur du roi Vous élève en un rang //qui n’était dû qu’à moi Hémistiche L’alexandrin romantique Il tend à prendre un rythme à 3 temps c’est-à-dire reposant sur 3 accents (trimètre). Ex : je marcherai

y a une alternance entre la vie et la mort : le "mais " revient 3 fois. On a plusieurs oppositions "siléger" / "poids" "amour" / "supplice" On a une opposition entre le présent (la mort) et le passé (la vie) 1er vers :opposition entre les 2 hémistiches : vie réalisée, vie détruite opposition "aurore" = bonheur et début et "notre vie … vivre … donner la vie" / "ensevelie" "refermé son poing". Différentes morts sont évoquées : - la mort de Nusch évoquée dans sa réalité bien sûr avec "masque

les personnages et pour finir nous évoquerons le récit porteur d'enseignements énoncés et repris sous forme de lois générales. Des le premier vers du texte, on peut voir la mise en place d'un schéma narratif rythmé. Ce vers est coupé en deux hémistiches, la situation initiale " deux coqs vivaient en paix" montré par le verbe à l'imparfait et l'élément perturbateur " une poule survint" avec l'utilisation du passé simple pour faire basculer le récit de paix vers celui de la guerre. Cet élément perturbateur

huées » des « hommes d’équipage » : « Le Poète est semblable au prince des nuées […]/ Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. ». Cet ultime vers du poème synthétise la thèse de ce dernier ; nous noterons bien évidemment la dimension globale des hémistiches due à la majuscule emphatique, révélant donc un symbolisme omniprésent qui apparaît de surcroît dans le célébrissime sonnet « Correspondances » (idem supra), exacte définition de l’esthétique baudelairienne, voir en toute chose un symbole, c’est

situation initiale , la mort de  La femme du lion  faisant en fait partie d’un rituel. L’élément perturbateur du schéma narratif se situe au vers 25 . On retrouve un comportement distinct , « Le cerf ne pleura point ». Au vers 28 , le premier hémistiche , introduit par l'adverbe « Bref » , est une phrase simple qui reprend cette événement qui ressemble de plus en plus à un fait divers . En effet la forme négative de ces phrases brise l'ordre faite par de début de paragraphe . Le cerf se place

Dans le dernier hémistiche, c’est l’image attendrissante d’un enfant levant la jambe pour rattacher les lacets (« les élastiques ») de ses chaussures, qui apparaît. Au sens figuré, c’est le rapprochement déroutant du pied et du cœur qui crée la surprise : tout se passe comme si cette partie du corps se rapprochait du « cœur », c’est-à-dire de la sensibilité, de ce qui permet d’être en communication avec la dimension poétique de la vie. C’est ce que signifie la chute du dernier hémistiche. D’autres interprétations