Hémistiche

complaisance à ces deux vices, surtout au deuxième. 1. La méchanceté * On retrouve bien sûr le champ lexical de la méchanceté : "méchants", "malfaisants" (vers 2), "méchants" (vers 3). * De plus tous ces termes sont situés dans le second hémistiche des vers et attirent donc l'attention. L'attention est d'autant plus attirée qu'il y a une récurrence du son avec l'assonance en [an], comme une sorte d'obsession chez Alceste. * Il y a également la mise en scène d'un "scélérat" (vers 7), mot

avec le vers 287 : « Ceux-là sont les heureux». En effet il y a une opposition entre les malheureux, donc les pauvres, et les heureux, les riches (à voir aussi ironiquement car il est dit que l’argent apporte le bonheur). La structure de ces deux hémistiches sont opposés, tout comme leur sens et le mot heureux, ce qui nous montre qu’il y a un réel contraste entre les deux mondes. Dans les vers qui suivent (v.270, 271, 272) Hugo utilise la métaphore d’une marée. En effet dans « L’indigence, flux noir

allitération : répétition d'une même lettre .enjambement : commence dans 1 vers et se termine dans 1 autre sans virgule. .rejet : met en valeur 1 mot rejeté au vers suivant/contre rejet (commence par 1 mot en haut et se termine au vers d'après/ .hémistiche : signe de ponctuation au milieu du vers, qui le sépare en deux → Rythme binaire. Dissertation : 1) Analyser : -relier le sujet à l'objet d'étude -relever les mots clés et les définir pour reformuler le sujet -identifier l'implicite du sujet

utilisés : pour cela nous distinguerons dans deux parties la subtilité de la manière abrupte. ! Afin de brosser un tableau fin de la laideur son état cadavérique, PIERRE DE RONSARD peut avant sa mort écrit ce sonnet qu'il débutehabilement par un hémistiche portant sur sa nature désormais décharnée : "Je n'ai plus que les os"(v1) puis il marque la privation qu'il ressent grâce a une énonciation de quatre adjectifs commençant par "dé" : "Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé"(v2). Il n'hésite pas a

définira encore comme le «vers de toujours».  > Alexandrin classique: Il est composé de 2 groupes comportant chacun 6 syllabes prononcées: les hémistiches, séparées entre eux par une pause: la césure. Ex.: Ceux que vous oubliez ne vous oublieront pas. Son rythme est fondé sur 4 accents placés comme suit: un accent mobile dans chaque hémistiche, un accent sur la sixième et la douzième syllabe. > Alexandrin romantique: il se différencie du précédent par la place et le nombre de ses accents

dans l’Antiquité étreindre les genoux de la personne implorée, tout en lui tenant le menton, geste sacré et solennel. *   * Le dialogue entre Phèdre et Oenone se traduit par des stichomythies (les personnages se répondent vers, hémistiche par hémistiche ou mot à mot). Phèdre révèle l’identité de l’être aimé : Hippolyte sous la forme d’une périphrase, dans une ultime tentative d’évitement et sous la forme d’une question purement rhétorique : *   * « Tu connais ce fils de l’Amazone

« Là » qui temporise et inscrit le discours dans le moment présent. Ici c'est encore Carr qui agit, il n'est pas passif : « tous deux je nous offre ». L'holocauste est un sacrifice religieux où la victime était brulée chez les hébreux. Le premier hémistiche de l'alexandrin est construit sur un rythme croissant (1+2+3) qui pourrait mimer le mouvement d'ascension vers le ciel. L'emploi du pronom « nous » met Carr et Cromwell sur un même pied d'égalité. On peut étudier les deux vers suivants ensemble

Le vers français est syllabique. Pour mesurer la longueur d’un vers, on compte le nombre de syllabes. - L’alexandrin : est le vers le plus fréquent en poésie française, il comprend 12 syllabes. L’alexandrin classique est partagé en deux hémistiches de 6 syllabes chacun. Ce qu’on appelle la césure, est une pause au milieu de l’alexandrin, elle doit s’entendre à la lecture car elle correspond souvent à une coupure grammaticale. - Le décasyllabes : vers de 10 syllabes. Césure à la 4ème syllabe

Bérénice, Racine, 1670Bérénice , Racine, 1670 Étude du monologue de Titus, IV, 4Introduction Racine (1639-1699) : tragédien ( Phèdre , Andromaque , Iphigénie ), rival de Corneille. Bérénice  : tragédie qui repose sur une esthétique sobre, sur la simplicité extrême de l’intrigue. La pièce est construite autr d’une interrogation : comment Titus parviendra-t-il à expliquer

3ème strophe il y a des rimes suivis dans la dernière strophe il y a des rimes croisés et embrassées Ce sont des rimes riches. On a des alexandrin plutôt équilibré, la césure sépare le vers 6 et 6sylllabe Hémistiche rythme sens .césure vers équilibré ou pas (hémistiche) .enjambements fluidité ou pas des vers .sonorités sens rimes 2 mots mis en relat° sur la rime pourquoi ? Masculines / féminines dans le lyrisme amoureux Homme/femme/poète/amante qui montre ainsi