Henri Bergson

faut parce qu'il faut » « Choisir et par conséquent, exclure » « Ce n'est pas en prêchant l'amour du prochain qu'on l'obtient » « Ce qui est beau ce n'est pas d'être privé, ni même de se priver, c'est de ne pas s'en rendre compte » HENRI BERGSON

Explication de texte n°2 Le point de départ de la philosophie de Henri Bergson (1859-1941) est sa découverte de la durée. Le temps n'est pour lui qu'une succession d'instants mobiles et il oppose ce temps réel à un temps abstrait qu'il nomme « durée ». Celle-ci possède trois caractères principaux qui la différencient du temps abstrait, la continuité, alors que le temps abstrait peut être fractionné en moments distincts, l'indivisibilité, parce qu'elle constitue un tout et que son essence provient

Fiche de lecture: Bergson: "La conscience et la vie" (Edition Magnard. Collection Texte et contexte). I. Henri Bergson (1859-1941): 1. Notice biographique: Henri Bergson naît à Paris dans une famille juive. Après un passage à l'Ecole Normale Supérieure, il est reçu second à l'agrégation de philosophie en 1881. Professeur dans différents lycées puis à l'ENS, il poursuit parallèlement un travail d'auteur. Après la publication de "Matière et mémoire" en 1896, il est admis au Collège de

d’autant plus que le rire est quelque chose de contagieux. Toutefois, un aspect indéniable du rire est le fait que l’on ne peut pas rire seul. On rit avec quelqu’un ou alors on rit de quelqu’un, mais le rire est forcément toujours lié à l’humain. Henri Bergson disait à ce sujet : « Le rire est nécessairement humain : nous rions des personnes ou des choses qu’elles font, jamais des objets en soi », ce qui nous amène à réfléchir à sa fonction sociale. Le rire a une fonction très importante dans nos rapports

Henri Bergson , dans l’extrait des deux source de la morale et de la religion Bergson parle de deux moi ;l’un superficiel qui se manifeste en rapport avec la réalité extérieure qui est un moi immergé dans le social contraint de s'adapter à ce que les autres attendent de lui et d’un moi qui est le lieu de la vie affective, des sentiments .. Nous distinguerions a l’aide de cette extrait le moi superficiel du moi profond puis l’interrogation sur la nécessité de l’existence de ce moi profond puis nous

poussant à l'extrême la confusion entre présent et passé, Nerval semble illustrer dans Sylvie l'impossibilité de vivre l'instant présent. Il en va de même, mutatis mutandis, pour les principaux personnages du Mrs Dalloway de Virginia Woolf. Quant à Henri Bergson, dans son Essai sur les données immédiates de la conscience, il place l'essence de notre temps vécu ailleurs que dans l'instant. S'il est sage d'accueillir dignement ce présent des dieux qu'est le… présent, on doit se garder d'en systématiser le

 Le Rire Le philosophe Bergson répond à la question :qu’-est-ce que ce que est risible ? Il est rejoint dans cette analogie par la citation de Didier Erasme : « Rire de tout ce qui se fait ou se dit est sot, ne rire de rien est imbécile ». M. Val quant à lui, montre que l’humour renvoie à des problèmes subtils et complexes de rapport socioculturel au comique, notamment sur des sujets sensible. Desmedt Gérard rappelle que le rire peut atteindre à la dignité

sociale de vigilance/surveillance et, en même temps, d’élasticité du corps et de l’esprit qui font du rire, dans l’analyse de Bergson, un facteur important d’adaptation. L’humour et le rire révèlent toujours une sorte de tension individuelle qui se projette sur le collectif et qui absorbe le malaise des autres, selon un procès de communication et de mimiques complexes. D’après Bergson, cette tension, cette menace de l’ordre sociale, joue dans l’indifférence des émotions, « quelque chose comme une anesthésie

la salle – les heures passent, naturelles, rapides, exquises… » « Le Vaudeville, comme le reste, est une chose intéressante. La preuve, c’est qu’il n’y a pas beaucoup de vaudevillistes. Feydeau est le maître. » Tristan Bernard (1866-1947) Henri Bergson (1859-1941) évoque le théâtre de Feydeau en écrivant « qu’il est, lui aussi, une mousse à base de sel. Comme la mousse, il pétille. C’est de la gaîté. Le philosophe qui en ramasse pour en goûter y trouvera d’ailleurs quelquefois, pour une petite

allons vous donner une courte biographie de l’auteur : « Henri Bergson (1859-1941) est un philosophe français. Il a publié quatre principaux ouvrages : d’abord en 1889, L’Essaie sur les données immédiates de la conscience, ensuite Matière et mémoire en 1896, puis l’évolution créatrice en 1907 et enfin Les deux sources de la morale et de la religion en 1932. Il a obtenu le prix Nobel de littérature en 1927 » (source wikipédia). D’après Bergson, nos organes sont des outils naturels qui nous permettent