Herbert Marcuse

Trétiakov g) La critique du réalisme par Brecht h) La critique de l'esthétique aristotélicienne par Boal 3) LA THÉORIE CRITIQUE : DE LA CRITIQUE À LA THÉORIE a) Le technicisme de Benjamin b) La théorie esthétique d'Adorno c) L'esthétique critique de Marcuse 4) LA CRITIQUE RADICALE C) LE RÉCIT CONSTITUTIONNEL 1) L'ESTHÉTIQUE DE LA RÉCEPTION 2) LA THÉORIE SOCIOLOGIQUE a) Sartre et Barthes b) La sociologie positive d'Escarpit 1°) La sociologie de l'écriture 2°) La sociologie du livre 3°) La psychosociologie

amené à utiliser successivement trois méthodes qui s'excluent les unes des autres : méthode théologique ou fictive, métaphysique ou abstraite ; scientifique ou positive. - Autre conception du positivisme (Angleterre, peu après AC), notamment grâce à Herbert Spencer (1820-1903). « Sociologie organiciste » qui devient le courant dominant en socio durant le dernier tiers du XIXème siècle. Assimile aussi phénomènes culturels aux phénomènes naturels et doivent donc relever d'une approche de type causal. Privilégie

qu’il étend ultérieurement à l’étude de la photographie et du cinéma, et à la reproductibilité technique des œuvres d'art. L'aura deviendra un concept important pour la critique de l'art contemporain (ready-made, Warhol) • Voir aussi : Herbert Marcuse, Jürgen Habermas Le « postmodernisme » français [modifier] [pic] [pic] Jean-Francois Lyotard Entre les années 1960 et 1980, plusieurs philosophes français impulsent de nouvelles approches de l'esthétique. Leurs théories disparates ont

l'œuvre • Pierre Janet, La psychanalyse de Freud, 1913, (Rééd. L'Harmattan, 2004, ISBN 2-7475-7532-2) • Paul Ricœur, De l'interprétation, Ed.: Seuil poche, 1995, ISBN 2-02-023679-6 • Gilles Deleuze, Félix Guattari, L'anti-Œdipe, Minuit, 1972. • Herbert Marcuse, Éros et civilisation, Éditions de Minuit, 1963, ISBN 2-7073-0158-2 • François Roustang, Un destin si funeste, Éditions de Minuit, 1977, ISBN 2-7073-0142-6 • André Haynal et Paul Roazen, Dans les secrets de la psychanalyse et de son histoire,

transcendantale du sublime comme chez Kant. Pour Adorno, l'art a valeur de vérité parce qu'il est liberté et il est la négation de la totalité (la réalité, la société, l'aliénation, le fascisme) qui est fausseté. 4°) Pour l'esthétique subjective d'un Marcuse, l'art, comme subjectivité, a un potentiel révolutionnaire de transformation de l'objectivité. 5°) De Nietzsche à Lyotard et à Deleuze, se développe une esthétique affirmative, pour laquelle l'art n'est pas intentions mais intensités : pouvoir

fondée par le disciple de Gandhi, Lanza del Vasto, la communauté de l’Arche en Provence. Une des rares à s’être maintenue. Intellectuellement en tout cas, toutes les critiques sont les bienvenues. On lit les textes emblématiques de cette époque : Herbert Marcuse L’Homme unidimentionnel, et Guy Debord La Société du Spectacle. Voyez le témoignage du dessinateur Sempé sur la critique du monde de la consommation. En France, le magazine Actuel est le porte-parole de la culture underdround. La baba cool culture

sociologie, une longue carrière. L'entre-deux guerre voit la naissance d'une sociologie américaine dont la naissance de deux courants : la sociologie pragmatique et l'école de Chicago. Le courant pragmatique John Dewey > a beaucoup écrit sur l'art. George Herbert Mead > un des fondateurs de la psychologie sociale. Ouvrage phare : L'esprit le soi et la société. Essaye de montrer que le soi se construit à travers l'interaction, l'échange avec les autres car c'est d'abord à travers la perspective d'autrui que

Elle cerne le rapport entre la domination des médias et les inégalités sociales (la masse populaire ne fait que subir l'effet idéologique des médias?). • De la culture de masse à l'industrie culturelle : École de Francfort (Adorno, Horkheimer, Marcuse, Habermas, Benjamin...). Pour ces théoriciens le stade de développement du capitalisme pose problème car monopole économique par des grosses firmes, mais politiquement on est dans un libéralisme = contradiction. → émergence du Fascisme → Vision

réduit. Enfin dégradation des libertés civiques puisqu’il y a apathie de la conscience collective, qui peut engendrer un « despotisme doux », une sorte d’Etat bureaucratique qui régirait une société atomisée et sans idée (cela renvoie aux thèses de Marcuse, élève de Heidegger le nazillon, et philosophe de Mai 68) Il y a nécessité de retrouver des repères d’identité collective dans nos sociétés. L’être humain doit s’inscrire dans des systèmes de solidarité. L’individualisme absolu menace la société

sélectionnée, comme le montre Herbert Marcuse dans l'Homme unidimensionnel. Le travail déchoit en simple moyen d'existence. Les progrès de la division du travail accentuent la division de l'homme lui-même dans ses actes et ses pensées, rendant ces dernières inopérantes pour qu'il se ressaisisse dans sa globalité. En même temps qu'elle atomise la société, morcelle l'individualité, elle unifie en uniformisant. L'atomisation sociale a pour corrélat la massification des individus.   Marcuse, dans son ouvrage intitulé