Hezbollah

faiblesse vis-à-vis de la région, de ses adersaires potentiels, notament la Russie. Si nous devons également tenir compte de l'avantage repris sur le terrain par les forces du régime d'Assad, et ce, grâce à l'implication directe de l'Iran et du Hezbollah libanais, il devenait urgent d'intervenir de manière ciblé certes, mais intervenir comme même militairement en formant et en équipant les rebelles pour ainsi faire face et luter contre l'offensive du régime en place. En formant, en entrainant,

s’appliquer au nucléaire. Dernièrement, la guerre russo-géorgienne de 2008 a montré que les géorgiens avaient mal calculé la réaction de Moscou et de Washington. Pareillement, la guerre entre Israël et le Hezbollah en 2006 a montré qu’Israël s’était fourvoyé sur la capacité militaire du Hezbollah. Si de telles erreurs d’anticipation arrivaient dans le cadre d’un conflit opposant des puissances nucléaires, la bombe pourrait être employée par erreur. La dissuasion repose donc sur un socle fragile

d’uranium. Les sanctions internationales commencent à toucher la population : les récentes manifestions dans le bazar de Téhéran contre l’inflation démontrent leur efficacité. La perte de l’allié syrien signifierait une perte d’influence régionale. Le Hezbollah ne pourrait plus profiter de la continuité territoriale de l’Iran jusqu’au Liban par la Syrie. Le poids iranien dans le conflit au Proche Orient s’en trouverait indéniablement diminué même si l’organisation chiite au Liban dispose aujourd’hui des

menaces firent surface. Il y a tout d’abord la menace islamiste. L’islamisme s’est impose lors de la révolution iranienne en 1979 conduite par Khomeiny qui était une figure du chiisme radical. Aussi, des mouvements islamistes ont vu le jour comme le Hezbollah au sud du Liban ou encore la GIA en Algérie. En Afghanistan, il y a un grand nombre de mouvements qui prônent cet islamisme radical. Al-Qaïda fait partie de ces mouvements. Le terrorisme représente une nouvelle forme de conflictualité difficile à

banlieue de Damas. Des vidéos de personnes écrasant et décédant, sans blessures visibles, sont diffusées par les rebelles. Ces images très dures suscitent l'indignation du monde entier, de l’autre coté la présence de combattants de l’organisation Hezbollah libanais aux côtés de l’armée de Bachar-el-Assad constituait une aide pour empêcher la chute du régime syrien, et avec le dangereux avertissement lancé par François Hollande à Bachar el-Assad en raison de l’utilisation d’armes chimiques, qui a aggravé

et du conflit Afghan, le danger se concentre sur l'extrémisme islamique. En particulier, les relations entre le nouveau gouvernement Iranien avec des groupes terroristes comme le Hezbollah palestinien ( est un mouvement politique chiite libanais possédant une branche armée. Parti politique officiel au Liban, le Hezbollah est diversement perçu par la communauté internationale, les États-Unis, le Canada, l'Australie et les Pays-Bas l'ayant placé sur leur liste des organisations terroristes.) impliqué

Belligérants (Qui est en guerre avec un autre, en parlant d’un peuple, d’une nation; Nation, état, ou personnes en guerre) : Coalition occidental (USA, France, GB, Jordanie, Australie, et cetera), l'Armée Syrienne (Bachar Al Assad) et ses alliés (Hezbollah iranien, divers éléments de l'armée iranienne), l'Etat Islamique, le Front Al Nosra (Al Qaïda), et la Russie (allié peu dissimulé de Bachar Al Assad), l'Armée syrienne libre (ASL), l'opposition à Al Assad. Armée comptant des déserteurs de l'armée

l’accusant de faire croitre l’antiaméricanisme au sein du monde arabe. Si les mots sont un peu plus lisses aujourd’hui, Al-Jazeera est toujours regardé d’un œil méfiant en Occident. La chaine était encore accusée récemment de soutenir le Hamas ou le Hezbollah libanais – notamment par ses attaques en règle contre les partis politiques au pouvoir dans ces deux pays, et contre le statu quo dans la région. Pour la première, l’image d’Al-Jazeera s’est véritablement embellie grâce à son rôle dans la révolution

nouvelle marche samedi prochain. Le département d’État américain a appelé à la retenue des forces de sécurité et au respect des droits d’expression et de rassemblement. Le LIban: Pas de revolutions en vue au Liban mais l'opposition menée par le Hezbollah ( parti religieux chiite ) et ses alliés de Téhéran et de Damas a réussi à réunir une majorité parlementaire pour former un nouveau gouvernement. Dans le respect de la constitution et à imposer la nomination d’un Premier ministre à sa main en remplaçant

et de fournir de l'uranium aux iraniens, tout en gardant les milliards de dollars qu'ils avaient reçus. Le gouvernement de l'Iran suspend donc ses paiements et fait pression sur la France, notamment en supportant des groupes terroristes, dont le Hezbollah qui avait pris des citoyens français en otages dans les années 1980. Les réacteurs de Bushehr ont ensuite été endommagés par les multiples frappes aériennes irakiennes entre le 24 mars 1984 et 1988, et le travail sur le programme nucléaire s'est