Hobbes Langage

dans toute l'Europe, notamment en France, au XVIIIe phie des monades se démarquait également de celle de siècle. Par extension, on a donné à cette période le nom René Descartes. Les philosophes britanniques, comme de siècle des Lumières. Thomas Hobbes et David Hume, adoptèrent une déPar leur engagement contre les oppressions religieuses marche empirique, mettant l’accent sur les sens et et politiques, les membres de ce mouvement, qui se l’expérience dans l’acquisition des connaissances, au dévoyaient

1637) et il peut accéder à la connaissance universelle par la Raison. Ce mouvement incarne un changement dans la recherche de la vérité qui repose dès lors sur la raison et les « lumières naturelles » et non sur les lumières de la foi. Thomas Hobbes (philosophe anglais) tente de refonder la légitimité du pouvoir des dirigeants sur autre chose que la religion et la tradition. Il défend une philosophie matérialiste, la morale despotique et le despotisme politique. C’est à lui qu’on doit la célèbre

Thomas HOBBES DE LA NATURE HUMAINE Traduction : D’Holbach   Table des matières Épître dédicatoire, par Thomas Hobbes, 9 mai 1640. CHAPITRE I       Nature de l’homme, composée des facultés du corps et de celles de l’esprit. CHAPITRE II       1. Des conceptions. 2. Définition du sentiment. 3. D’où vient la différence des conceptions. 4. Quatre propositions relatives à la nature de la conception. 5. Preuve de la première. 6. Preuve de la seconde. 7. et 8. Preuves de la troisième. 9. Preuve

toutes les conséquences un positivisme établit dans la transcendance divine. Pour lui, la loi naturelle en laquelle l’homme est attaché repose sur la volonté du D.ieu tout puissant. Ainsi, D.ieu dans son être immuable saisi toute loi positive. THOMAS HOBBES rassemble tous les courants et fonde le POSITIVISME VOLONTARISTE MODERNE. Il développe sa thèse dans le Léviathan où il propose un Etat totalitaire. Pour la première fois, il démontre comment le droit se confond avec la force. Ce Positivisme Volontariste

s’oppose ici à tous les penseurs qui affirment que l’homme est par nature insociable. C’est par exemple l’idée freudienne. La vie civile, nous apprend Freud, exige des hommes des sacrifices qui ne leur pas naturel de consentir. On peut citer aussi Hobbes, Rousseau et d’autres. Aristote confirme ensuite sa thèse par le contre-exemple de l'homme sans feu ni lieu. L’auteur s’interroge sur ce que peut être un vivant hors cité (polis). Est-ce que cela existe, un être impolitique ? Cela permet de

State ou le pouvoir d’État est bien dissocié de la personne des gouvernants. La monarchie est même définie comme « le gouvernement d’un état par un chef unique ». Il ne manque plus alors que l’idée d’une personne artificielle, abstraite. • Thomas Hobbes est celui qui accompli ce pas décisif. Non seulement, il emploie très fréquemment le mot « State » dans l’ensemble de son œuvre mais surtout il le rapporte à une construction artificielle. Ainsi écrit-il « I speak not of the men, but (in the abstract)

qualités. La fidélité est un leurre HOBBES I) Homme et Personne , le rôle social a) Animal et homme • Animaux = guidé par appétit (=désiré quelque chose) = INSTINCT = DETERMINISTE (=le produit de cause, pas de choix, pas de liberté, pas de responsabilité, pas d’autonomie • Homme = être de désir, de passion ET de parole = il vive un DESTIN • Animaux= Pas de parole = pas de communication (langage, pas langue) = génétique = NATURE • Homme = Langage humain = produit d’une convention = aucun

 Les animaux possèdent ils le langage? Au sens large, le langage désigne tout code, c'est à dire tout système de signes ayant pour fonction d'établir une communication.Au sens plus restreint, il désigne l'ensemble de la langue et de la parole. La réflexion sur le langage butte d’emblée sur une question: les animaux possèdent-ils le langage ou est ce une spécificité à l'homme ? On a observé chez les animaux des phénomènes de communication. Des insectes aux mammifères, les animaux

qui l’homme est aussi un zôon politikon (animal politique), lui conseille de s’y engager. Car, pense-t-il, c’est le seul moyen d’accéder au bonheur véritable, au bien commun, à la justice et à la morale. Et pour y arriver, il faut, d’après Thomas Hobbes, un souverain, la seule personne avec qui la justice et la morale débutent dans la société[1]. Selon Nicolas Machiavel (1469 -1527), ce souverain doit être un hypocrite démagogue incarnant en lui l’homme et la bête. Le prince, comme le nomme

qui l’homme est aussi un zôon politikon (animal politique), lui conseille de s’y engager. Car, pense-t-il, c’est le seul moyen d’accéder au bonheur véritable, au bien commun, à la justice et à la morale. Et pour y arriver, il faut, d’après Thomas Hobbes, un souverain, la seule personne avec qui la justice et la morale débutent dans la société[4]. Selon Nicolas Machiavel (1469 -1527), ce souverain doit être un hypocrite démagogue incarnant en lui l’homme et la bête. Le prince, comme le nomme