Hobbes Locke Rousseau égalité Liberté

Club des Jacobins, mais aussi du célèbre pamphlet de l’abbé Sieyès, qui propose de confier la souveraineté à la Nation, entité abstraite et distincte de la personne physique qui la dirige. L’article 6, directement inspiré de l'œuvre du philosophe Rousseau, a été proposé par Talleyrand. Lu à la tribune du comité de constitution le 21 août 1789A 6, ce qui deviendra l’article 6 de la déclaration des droits prenait la forme suivante : "La loi étant l’expression de la volonté générale, tous les citoyens

l’origine entre le futur prince et les futurs sujets dans lequel les sujets doivent obéissance au prince qui lui-même s’engage à respecter leurs liberté. Mais dans le cas où le prince venait à violer ses engagements il deviendrait un tyran auquel le peuple aurait le droit de désobéir et pourrait même tuer celui-ci. > Au 17ème siècle, Thomas Hobbes dans le Léviathan va reprendre cette idée contractuelle mais dans un sens moins libéral et cela va lui permettre de justifier l’absolutisme. Il y

pouvait avoir des lacunes. Que la loi pouvait avoir des limites, qu’elle pouvait avoir des failles. Car la loi a montrée qu’elle n’était pas nécessairement protectrice. La loi peut être même contraire ou même attenté aux droits fondamentaux et aux libertés individuelles. La loi peut être liberticide. La loi ne doit donc plus être au centre exclusif du système normatif autre élément, il va y avoir une nouvelle juridiction chargée de veiller au respect de la Constitution : c’est le Conseil Constitutionnel

il est, en quelque sorte, subi. 1) L'État, produit d'un acte de volonté : le Pacte social Selon cette conception, la formation de l'État est le fruit d'un accord de volonté des hommes, soucieux de mieux défendre leurs intérêts et de garantir les libertés au sein de la société. Ils s'associent de façon délibérée par une sorte de contrat, pour vivre ensemble et unir leurs droits. La volonté est donc à la base du PACTE SOCIAL, par lequel les hommes renoncent à l'état de nature pour constituer un État

notion de cité, la notion de société elle même n’est pas très formée. Il n’est pas étonnant que la cité méconnaissance la spécificité pure de l’État. Clastres manifeste une remarque de l’ethnologue déjà présente dans la pensée de Montaigne et de Rousseau : pourquoi dois-je connaître ceux qui sont différents de moi pour m connaître moi même et pour connaître ce qui est réellement essentiel dans la société. « Si tu veux te connaître toi même, regarde en toi ou autour de toi. Mais si tu veux connaître

est très prononcé. La révolution idéologique du 16/17ème siècle repose sur l’expérimentation, la quantification, la généralisation (méthode inductive). Cette révolution en Angleterre est très influencée par la pensée philosophique de Bacon, Hobbes, Hume et Locke. Ce qui est évident, dans la généralisation inductive dont la méthode fournie par Bacon sera largement reprise par Stuart Mill, c’est la régularité. Rien d’étonnant à ce que la crise soit si difficilement intégrable dans la tradition inductive

LIBERTES PUBLIQUES Bibliographie : Les droits de l'Homme de Jean Jacques Gandini, collection Librio. Droit de l'Homme et libertés de la personne de Charvin et Sueur aux éditions Litec, 2007 Droit des libertés fondamentales de Louis Favoreu et Alter, Dalloz Libertés publiques et droits de l'Homme de Gilles Lebreton, Armand Collin, 2008 Droits de l'Homme et libertés fondamentales, Henri Oberdaurf, LGDG, 2009 Libertés publiques de Patrick Wachsmann, 2009 Libertés publiques, Jean Rivero

suite de MAURICE HAURIOU et JEAN GICQUEL que le droit constitutionnel a pour mission de concilier autorité et liberté. Pendant longtemps le droit constitutionnel a été défini comme un droit qui ne met en évidence que les manifestations du pouvoir. Aujourd’hui ce droit apparait aussi comme un droit de liberté. Cette évolution est due au principe du libéralisme et à l’état de liberté. Cette approche présente l’inconvénient d’être extensive et compréhensible. C’est pourquoi certains auteurs lui

« Puissance perpétuelle et absolue ». Souveraineté : - externe : de l'État : Souveraineté de l'État dans ses relations avec les autres États. Elle se définie formellement est non matériellement. l'État n'est lieu que par ce à quoi il a consenti. (sa liberté est inconditionnée, seul sa volonté est efficace) Il n'y a aucune indication sur le pouvoir dont un État dispose. « la souveraineté est cette qualité purement privative de la puissance d'État qui ne comporte ni même n'implique par elle-même aucun

constitutionnel garantit les libertés des gouvernés. En fait, il a pour rôle d’encadrer le pouvoir de l’Etat afin qu’il protège et garantisse les libertés des individus. En ce sens, le droit constitutionnel est plus récent que le droit privé car très tôt les Etats ont conçu le droit privé pour encadrer et réglementer l’activité des particuliers. Les Etats ne se sont soumis à des règles de droit constitutionnel que sous la pression des gouvernés désireux de conquérir et de défendre leurs libertés face au pouvoir