Hobbes Pouvoir Commun

n'est-il qu'une triste nécessité (pour assurer l'ordre) ? Ou bien encore, peut- on imaginer une société sans gouvernement ? III - UNE DEMARCHE POSSIBLE A - NI DIEU NI MAITRE L'idéal anarchiste était de supprimer tout gouvernement. En effet, le pouvoir écrase l'individu qui perd sa liberté (sa capacité d'agir étant prise en charge par l'Etat) et sa singularité (chacun n'étant plus qu'un numéro dans l'ordre social). Enfin, le gouvernement mène à la division de l'humanité en deux classes

en appeler à la conscience contre la loi mais tout en restant dans le domaine du légitime, de l’intérêt commun et non personnel. La première thèse soutenue est la suivante : La loi est au dessus de tout, y comprit de la conscience, elle est conçue pour être suivie à la lettre sans prescription possible même pour des cas particuliers. En effet, nous pouvons nous appuyer sur la pensée de Hobbes, qui, dans Le Citoyen et Le Léviathan nous fait part de sa position quant à la fonction de la loi. Selon

de maintenir l'ordre et la justice dans une société civile composée d'individus libres. Si les individus sont laissés libres, c'est-à-dire sans contrainte extérieure, alors rien ne garantit que leurs actions soient coordonnées. Si être libre c'est pouvoir laisser libre cours à ses choix individuels alors, en effet, on voit mal comment parvenir à une coordination des individus sans une institution contraignante. Il faudrait alors limiter la liberté d'action pour la sauver, en quelque sorte. Pourtant

Histoire de la pensée économique Introduction : I- 2 proposition de méthodes : l'HPE n'est pas un cour d'histoire des faits économique, cepandant il a une caractéristique commune et c'est cette caractéristique qu'il nous faut déterminer. Un cour d'Histoire des fait économique est un cour qui retrasse des processus matériel, organisationnel, qui sont plus ou moins lointaint (RI, moyen-age) et qui on conduit a l’émergence de l'économie contemporaine et cette économie peut être qualifié de 2 termes

du politique ? Définition : faire du po' = s'occuper des affaires de la cité , gouverner la société , exercer le pouvoir au nom de la société Politique vient du grec Polis ( = cité ) Ta politea = chose de la cité Faire du po’ = art de gouverner un état , l’art d’organiser les relations d’un Etat avec les autres Etats , s’est fixer , fonder , organiser , exercer le pouvoir au sein de l’Etat Le fonctionnement du po’ est encadré par le droit constitutionnel ( cum statuere = mettre ensemble

Droit Constitutionnel La Notion d’État: Section 1 - L ’Etat, un phénomène d’institutionnalisation du pouvoir politique 1) La notion de pouvoir politique -Définition du pouvoir -La double spécificité du pouvoir politique -Définition et objectifs du pouvoir politique 2) La nécessité d’assurer sa pérennité -La nécessité de désincarner le pouvoir politique -L ’institutionnalisation du pouvoir et ses intérêts majeurs 3) La naissance historique et la théorisation de l’état moderne -La naissance

Vivre en société : la société vient de socius, s'associer. Donc vivre en société c'est faire partie d'un groupe qui permet l'entraide et de vivre plus sereinement. A quoi bon est une expression commune qui signifie "A quoi cela sert-il ?" ou même "Est-ce que cela vaut la peine ?", c'est une expression péjorative. Cela présuppose que vivre en société n'a pas d'intérêt. Se poser la question sur l'intérêt de vivre en société est légitime ; en effet, on peut se demander si cela en vaut la peine, après

relations d’entente ou de conflit, nous ne serions pas à proprement parler des humains. Il est donc compréhensible que nous cherchions les causes fondamentales de ce phénomène. Tel est le sens de la réflexion d’Alain dans cet extrait des Propos sur le pouvoir. Cette enquête le conduit à des distinctions et à des hiérarchies. Il soutient que l’explication par des raisons économiques est secondaire et donne la priorité à des motifs politiques. La justification de cette thèse l’amène à souligner le rôle de

la Première Guerre mondiale au cours de laquelle se sont affrontées les Etats européens, celui de la chute du totalitarisme communiste qui a mis un terme à tout projet d'affranchissement de l'homme par lui-même. Hegel n'en a pas moins légué un lieu commun à la politique moderne, celui de la relation dialectique entre l'Etat et la société civile. Dans son interprétation démocrate-libérale, c'est cette dernière qui l'a emportée avec le triomphe de la théorie libérale de la liberté. Avec le libéralisme

constitutionnelles, qui porte un regard en droit stricement juridique sur des affaires qui sont de natures politiques 2) droit constit et sciences politiques Deux disciplines ayant un point commun et une différence fondamentale , qui conduisent à leur complémentarité. Point commun = l’objet , car on étudie les institutions politiques Mais selon des méthodes très différents Droit constit, on étudie des textes et des pratiques juridiques, alors qu’en sciences po, on s’interesse aux