Hobbes Un Pacte Social Pacte De Soumission

substantielles, les droits fondamentaux soient respectés. C’est un « plus » faisant progresser l’état de droit. (État qui respecte le (les) Droit(s)). Démocratie suppose une peuple et a priori en démocratie le peuple et souverain, et la constitution est le pacte fondamentale qui unit les représentants du peuple et le peuple. La démocratie peut être directe (plus vraiment praticable dans de grands pays), ou représentative, où le peuple désigne des représentants qui agissent à sa place, ou semi directe, où l’on

Jean-Jacques Rousseau (1762) DU CONTRAT SOCIAL ou Principes du droit politique Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université

France du 19ème siècle. Cette expression « théorie du suffrage politique » renvoie aux conceptions, aux modalités d'expression, aux idées développées au sujet, modalité de participation, d'action du peuple ou du citoyen qui compose la collectivité sociale organisée. Les théories du suffrage renvoient à des idées politiques. B- La notion d'idée politique Il s'agit d'une notion « polysémique » voire ambigu. Elle semble plutôt difficile à définir de manière simple car il faut s'interroger sur la définition

un rassemblement quelconque de gens réunis n'importe comment, c'est le rassemblement d'individus, qui se sont associés en vertu d'un accord sur le droit et d'une communauté d'intérêts. La cause première de leur faiblesse est une sorte d'instinct social, dont les hommes sont naturellement doués". Le peuple devient peuple car les individus ensemble se dotent d'un droit naturel auquel tous adhérent pour que cesse l'état de violence. Ce droit est un ensemble de règles qui s'applique au peuple et

référence ultime face à une menace exceptionnelle, mais ont pénétré nos vies quotidiennes ainsi que tous les secteurs du droit – droit de la famille, droit du travail, droit civil, etc. Ils ont également conquis de nouveaux terrains, notamment en matière sociale et culturelle. Ils se sont étendus (aux droits de deuxième puis de troisième génération), étant de moins en moins formels et de plus en plus substantiels. La montée en puissance des juges demande en tout cas à repenser les rapports entre droit et

dans la pensée juridique moderne L’idée générale, au 18ème siècle, chez tous les intellectuels, c’est qu’il faut remplacer le pluralisme juridique par un système uniforme et simplifié. On reproche au pluralisme 3 inconvénients : - Sur le plan social : L’expression, la traduction du pluralisme, c’est la notion de privilèges. Ils sont un héritage médiéval et sont liés à la division de la société en 3 ordres. Au 18ème siècle, on dénonce les privilèges du Clergé et de la Noblesse. Ces privilèges

non-juristes. Il s'agit d'auteurs de l'Ecole moderne du Droit naturel : ce sont svt plus des professeurs de théologie, de philo morale, que des juristes de formation. Cette idée apparaît en particulier chez deux auteurs anglais du 17e : ■ Thomas HOBBES (1588-1679) : Il était philosophe et comme le soutiennent certains spécialistes il est le fondateur de la politique moderne. Dans son ouvrage « Léviathan » de 1651, il soutient qu'il y a « une liberté » naturelle de l'homme (unique) et que chacun

une légitimité. Le développement de la raison, de la conscientisation qui vont juger bon de remettre en cause la légitimation du pouvoir par Dieu. L'un des premiers fut Hobbes (1588-1679) Un nouveau problème apparaît : la nature humaine est-elle bonne ou mauvaise ? « L’homme est un loup pour l'homme ». Premier contrat social : nous cédons tous spontanément notre part de souveraineté à un gouvernant qui possède tout le pouvoir. John Locke (1632-1704) va parfaire le processus de la remise en cause

gratuit sur le site de mozambook www.mozambook.net © 2001, mozambook DU CONTRAT SOCIAL OU PRINCIPES DU DROIT POLITIQUE par Jean-Jacques Rousseau citoyen de Genève TABLE DES MATIÈRES Avertissement 7 LIVRE I I. Sujet de ce premier livre II. Des premières sociétés III. Du droit du plus fort IV. De l’esclavage V. Qu’il faut toujours remonter à une première convention VI. Du pacte social VII. Du souverain VIII. De l’état civil IX. Du domaine réel 9 10 13 15 20 22

des immoraux. Force et de reconnaître que parler de la société sans parler des problèmes qui entravent sont fonctionnement serait une erreur psychologique monumentale. Donc nous essaierons aussi de parler des déperditions des valeurs, les déviances sociales, bref des maux dont souffre notre société pour ensuite essayer de les solutionner. Ce sujet est évidemment très vaste, il correspond à l’objet de l’ensemble de la sociologie. La première tâche, et la première difficulté, est donc de le circonscrire