Hobbes égalité Des Aptitudes

ce qui ne l’est pas. « La nature est un temple où de vivants piliers laissent sortir parfois de confuses paroles » Correspondance, Baudelaire (prosopopée de la nature). * Le concept de force est particulièrement mobile (polisémique) : force= aptitude physique, intellectuelle, morale… Le peuple, en se rassemblant, constitue une force supérieure à celle de l’Etat (des élites). * Le droit du plus fort pour Rousseau est un oxymore où le droit doit prendre la forme d’un contrat, c’est-à-dire

naturel est rationnel et absolu ; alors que le droit positif est historique, le droit naturel est immuable. Les philosophes ont divergé dans leur manière de concevoir cet état de nature: pour Th. Hobbes, c'est un état de violence perpétuelle, de guerre de chacun contre tous. Le pessimisme de Hobbes (le philosophe anglais reprend à son compte l'adage latin : « L'homme est un loup pour l'homme ») aboutit à la solution politique radicale du pouvoir absolu : : puisqu'en effet, dans l'état de nature

réalisée dans et par le droit positif ? En effet, pour que la justice règne au sein de la société, il faut que les hommes puissent d’abord lui donner un fondement « objectif », indépendant de leurs conceptions subjectives particulières ou de leurs aptitudes physiques ou intellectuelles. Il faut également que tous reconnaissent ce fondement comme légitime. Or un tel fondement objectif et légitime peut être constitué par le droit. En effet, notons d’abord qu’étymologiquement le terme de justice vient

être réparé. Le droit repose sur la liberté absolue, y.c. la liberté à l'égard de l'existence elle-même. On trouve chez Hobbes l'idée que le droit est une liberté de l'individu sans limites. Cette liberté ne peut être limitée que par celle de ceux qui décident de vivre aux côtés. "Le droit est la liberté que chacun a d'utiliser sa puissance comme il le veut lui-même" (Hobbes). "La liberté, le primat de la volonté, la puissance" (Hottois). Refuser de reconnaître un dommage à Nicolas Perruche

de Droit divin.). . La légitimité de l’Etat pouvait sembler absolue, du moins pour les croyants : absence de contestation et double contrainte (physique et morale). en réalité, tout conflit n’était pas éliminé. Pour le cas du christianisme, Th. Hobbes relevait dans Le Léviathan(1651) trois sources de conflit : conflit entre l’homme et le citoyen (devoir/passions), conflit entre le citoyen et le chrétien (protéger sa cité / ne pas tuer), conflit entre l’homme et le chrétien (amour de soi, de sa

les concepts philo sont progressivement devenus langage commun - la philo est une réponse au questionnement qui se pose à certains moments. Ex. les grandes idéologies (marxisme) sont issues de philosophes qui ainsi façonnent notre monde. Hobbes inventeur du concept moderne d’Etat Importance du contexte dans la philosophie : un texte de philo est compréhensible si on le remet dans son contexte politique et intellectuel. Ce texte peut avoir une portée universelle, mais il faut d’abord

eux-mêmes est une société malheureuse. Mais en quoi le lien social peut-il réjouir l’homme ? À quelle condition lui apporte-t-il une satisfaction ? Il faut qu’il lui soit avantageux. L’homme n’a pas, sans cela, de raison de le rechercher. Comme le dit Hobbes (Léviathan, XIII) l’homme trouve naturellement un très grand déplaisir dans la fréquentation de son semblable, puisque ce semblable est son égal ou son équivalent, et ainsi son rival. Autrement dit, je ne me lie à autrui que si ce lien n’est pas à

(Rome, Cité grec...). (2) L'Etat existe depuis aproximativement le 16eme siecle, c'est un concept temporellement marqué, il peut ne plus exister et n'a pas toujours exister. L'Etat n'a jamais autant été contesté, il serait liberticide (:Léviathan de Hobbes). Néamoins, il est le modele d'organisation le plus effiace, et a le moopole de la violence légitime (Max Weber). Nous avons le constat de l'évolution Etatique (Angleterre et France), mais aussi la systematisation du concept avec Jean Baudin. Meme

notes4 Etape 2. Pourquoi les hommes ont-ils des lois ? 5 1. Présentation5 A. Une distinction utilisée au XVIIème et au XVIIIème siècle5 B. Une introduction5 2. La paix comme explication des lois (Hobbes)5 A. Consignes pour tirer profit de ce chapitre5 B. Argumentation6 C. Un texte de Hobbes pour s'assurer que tout est compris7 3. La liberté comme explication des lois (Rousseau)8 A. Consignes pour tirer profit de ce chapitre8 B. Argumentation8 a) Préliminaire8 b) Remarque préliminaire

membres de la société se conformeraient). Nous devons au contraire promouvoir la justice et éliminer les injustices pour atteindre une justice meilleure. Il n’existe pas de justice parfaite car tous les théoriciens de la justice (Rawls, Locke, Hobbes, Rousseau…) ont cherché à déterminer ces principes de justice dans une position « originelle » (Rawls : situation d’égalité primordiale dans laquelle les participants ignorent ou sont leurs intérêts), sans se soucier du comportement réel des gens