Hobbes étant Donné

ce de façon très prononcée. Elle n'adoptent pas toutes les mêmes façades qu'avant (nomination divine), mais peuvent s'installer de façon bien plus subtiles afin de garder leur peuple en laisse tandis qu'elles dominent celui-ci. Ce doit être car en étant né au sein d'une démocratie, une telle situation politique devient notre état de nature, comme dirait Étienne de La Boétie, et il nous devient même inimaginable qu'une atrocité telle que renoncer aux libertés que nous considérons comme fondamentales

peut faire la différence entre le paraître et l’être, d’après une allégorie d’un mythe de la caverne exposé par Platon, qui selon lui, décrit la condition humaine. Celui-ci raconte l’histoire de plusieurs hommes enchaînés dans une caverne tout en étant dos à la lumière, où ils ne voient que les ombres de certains objets qui sont placés à l’entrée de la caverne. Ces ombres sont projetées sur le mur de là où se trouvent les hommes à cause de la lumière. Par conséquent, selon Platon, les ombres représentent

une action ou un acte. Cette capacité à agir fascine depuis longtemps les hommes, et nombreux sont ceux qui l’on exercé ou convoité. Les penseurs, des Grecs aux post-modernes, ont de la même manière porté une attention particulière au pouvoir, étant donné l’attraction qu’il exerce sur l’homme, ainsi que l’influence qu’il a pu avoir dans l’Histoire, ou plus modestement, sur notre quotidien. Et si tous s’accordent sur son importance, il sont peu à se rejoindre quant à sa provenance : mais où réside

politique. Au XVII et XVIIIème siècle, il ne s’agit plus de découvrir mais d’inventer. Ce sont les Hommes qui ont construit l’ordre social, politique, économique… Ce Droit va dépendre de leur volonté et il deviendra obligatoire, car les Hommes ont donné leur consentement. Le Droit est un acte de volonté qui a été réfléchi. Pour certains on pourrait refaire toute la société, et pour d’autres commencer par faire des codes séparés. Les souverains, les despotes éclairés (Joseph d’Autriche) ; ils sont

une attitude « de droite » en France ! Et cela ne provient pas seulement du caractère confus de la distinction droite-gauche, ni de la différence entre les conceptions politiques de part et d’autre de l’Atlantique… mais surtout d’un sens différent donné au même mot lui-même de part et d’autre de l’Atlantique. Je vous parlerai ici du libéralisme originel, celui qui est né à la fin du 18ème siècle en Europe (à noter : c’est une idée franco-anglaise ! Comme quoi, l’entente cordiale…). Et je vous

fonction emporte : c’est l’objectif ou l’idéal d’une vie en mouvement bien réglée qui réunit à la fois agents de circulation et automobilistes. Cet idéal est conçu ou à tout le moins formalisé par le pouvoir politique. On peut définir celui-ci comme étant l’institution représentative du groupe chargée de traduire en actes la volonté de vie commune de ses membres. En d’autres termes, le pouvoir politique est un ensemble d’individus ou d’institutions choisis et mis en place par la communauté pour donner

situation juridique caractérisée par une diversité considérable des règles de droits s’appliquant dans les diverses parties du royaume de France. On constate surtout une séparation très marqué entre les régions du Nord et du Sud , dans les premiers étant considéré comme des pays dit de  « coutumes » (Orale) alors que les seconds sont des pays dit de « droit écrit » , chose qui est du à l’influence du droit romain qui a provoqué l’effacement des coutumes dans cette partie du royaume. Ainsi la législation

c’est conduire à droite et ce qui est juste en Angleterre, c’est conduire à gauche. Donc pas de référence de justice et la loi (ici le code) est toujours juste. Le seul rapport pour savoir ce qui est juste est le légalisme, seul moyen d’être juste étant de respecté la loi. On ne peut pas savoir ce qui est juste ou pas. Pour certains, il sera plus juste d’obéir à une loi injuste que de lui désobéir. Par exemple Socrate a accepté la loi sans se défendre. Il accepte sa punition là où on lui laisse

politique comme produit de la nature : ARISTOTE 1. Le concept politique de sociabilité 2. L’analyse de la société politique C. Les théories contractualistes au fondement des sociétés politiques 1. La première théorie contractualiste : HOBBES 2. La société civile et la naissance du libéralisme : LOCKE 3. ROUSSEAU le second état de nature et la décadence de la société II. L’Etat comme instance nécessaire à la société A. La théorie hégélienne de l’Etat, une critique de la

seul qu’il s’agit ». 16 Voir CS, II, XII, où il est question des lois fondamentales 17 Cette notion existerait-elle, que Rousseau y serait a priori hostile, par la liberté qu’il accorde au souverain : il est absurde qu’un être libre se donne des chaînes pour l’avenir, donc la volonté générale ne peut s’engager à respecter certaines de ses volontés plus que d’autres. CS, II, XII : « Un peuple est toujours le maître de changer ses lois, même les meilleures ». 10 Et pourtant, Rousseau