Hobbes étant Donné

Il y a de cela quelques 8 millions d’années, un changement terrestre a fait qu’il s’est construit une faille très grande qui a partagé le monde des singes en deux et changé les conditions climatiques. Certains endroits vont s’assécher et les singes étant habitués de vivre dans la savane ce sont retrouver sur des étendus de grandes herbes sans arbres et ils ont du parcourir de grandes distances afin de trouver a mangé suffisamment. Comme la route est longue et pleine de prédateurs, la bipédie est le

RECHERCHE AXIOLOGIQUE ( RECHERCHE DES VALEURS) C’est la notion de but qui donne la définition pour la formation du droit. Si il n’y a pas but, il n’y a pas de structure. c’est toujours par rapport a un objectif déterminé que s’explicite le contenu et l’application de la loi, y compris par la force. De fait, la nature de l’acte volontaire circonscrit dans la règle de droit se comprend par rapport a un but a attendre. Le but étant atteint, il faut de nouveau réécrire les éléments juridiques en vue de

La violence dans la société est l’expression des frustrations des Hommes « Homo homini lupus » - L’homme est un loup pour l’homme. Cette expression de Hobbes du 17e siècle n’a rien perdu de son actualité. Depuis l’existence des êtres humains, la violence existe partout et elle existera sûrement dans l’avenir. Par contre, sa définition s’évolue dans nos sociétés, puisque notre comportement change de statut. Des actions violentes que l’on acceptait jadis, sont méprisées aujourd’hui, comme la violence

question morale ou politique étant liée à ce que peut, et ne peut pas la rhétorique. Le dialogue du Gorgias s’organise en trois grands moments qui se règlent sur les trois interlocuteurs différents de Socrate : 1- Gorgias : réflexion sur la nature même de la rhétorique, qui conduit à une perplexité qui la remet en question. 2- Polos : la rhétorique est envisagée comme moyen de puissance ; illustration de l’intérêt pour les jeunes gens d’étudier la rhétorique qui donne le pouvoir de faire que

que Rousseau et Montesquieu, au schéma de John Locke sur l’homme comme étant titulaire de droits individuels, au Bill of Rights écrit par George Mason, qu’a ainsi émergé la Déclaration des droits de l’homme de 1789 qui a eu un impact universel, et dont sera fortement inspiré la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. La contradiction provient selon l’auteur de la mixité de droits d’inspiration hétérogène, l’un étant en contradiction avec l’autre, ce qui porte à confusion. Cela est du

ils se rassemblent pour obtenir collectivement ce dont ils sont individuellement privés. Seule la cité est donc indépendante, autonome, et se suffit à elle-même. Les individus ne peuvent eux-mêmes subsister qu'en s'y intégrant, c'est-à-dire qu'en étant membres d'une collectivité. Ce sont donc des animaux « politiques », au sens où leur existence n'est pensable qu'à l'intérieur d'une cité. C'est par l'appartenance à une cité, c'est-à-dire par la citoyenneté, que se définit ici l'humanité et l'on ne

intervient la nuance entre volonté et désir. * La volonté est le pouvoir de se déterminer à agir et choisir selon des raisons rationnelles ou morales. Pour parvenir à cela, le travail sur les passions qu’on évoquait est nécessaire : canaliser le désir donne accès à la volonté bien qu’il arrive, bien sûr, que l’on veuille ce que l’on désire. L’exercice de la volonté est alors facilité. Mais pour le cas de la liberté, ce que l’on désire est contraire à la volonté d’être libre (puisqu’il faut se libérer

les hommes ne sont pas nés libres ; il est donc exclu qu’il ait eu jamais la liberté de choisir des gouvernants. Le prince jouit d’un pouvoir absolu et de droit divin, car jamais des esclaves n’ont pu avoir le droit de contracter ni de consentir. Hobbes considère l’homme comme un être caractérisé par un désir de puissance et par une forte aspiration à la gloire. Il est un être de passions. Cette réalité fait de l’état de nature hobbesienne un état de guerre permanente : « […] guerre de chacun contre

différents. C’EST D’ABORD LA LIBERTE DE FAIRE : liberté d’action,et donc le contraire de la contrainte , de l’esclavage . Hobbes «  la liberté n’est autre que l’absence de tous les empêchements qui s’opposent au mouvement : ainsi l’eau qui est enfermée dans un vase n’est pas libre.De cette sorte, une personne jouit de plus ou moins de liberté,suivant l’espace qu’on lui donne » Je suis libre d’agir , en ce sens,quand rien ni personne ne m’en empêche.Cette liberté n’est jamais absolue et rarement

saurait donc égaler le souverain, à plus forte raison le juger. On voit que la doctrine de la soumission du prince à la loi naturelle et divine bien loin de limiter la puissance du prince sert au contraire à justifier qu'elle soit sans limites. Lorsque Hobbes fera inscrire au frontispice de Léviathan la maxime du souverain (tirée du Livre de Job) : « Non est potestas super terram quae comparetur », il se trouvera de plain-pied sur un territoire tracé et délimité par Bodin. À vrai dire, chez ce dernier