Hobbes étant Donné

« Les hommes restent naturellement ennemis les uns des autres » Hobbes, Léviathan Cette citation de Hobbes nous montre bien que les hommes ont toujours été ennemis et en concurrence de nature. En effet, depuis la préhistoire, il n’as pas eu un moment ou les hommes n’étaient pas en rivalité. Cette rivalité, qui engendre bien souvent de nombreux conflits entre les hommes, provient de notre peur de l’autre. Cette peur nous ronge et ne nous ne permet pas de nous intégrer si nous ne parvenons pas

d’organiser la vie sociale, soit l’union entre plusieurs groupes d’hommes sur un territoire donné. En effet, laisser à eux-mêmes, les hommes comme Hobbes le pensait dans Le citoyen ou le Léviathan, estiment avoir chacun tous les droits. Cette anarchie, n’est autre qu’un état de guerre permanent qui concrétise la pensée de Plaute: « L’homme est un loup pour l’homme ». Aussi, la fonction de l’État étant de protéger l’individu contre les atteintes des autres, cela fait de lui un défenseur. Il garantit

Guerre Mondiale. C’est en effet à la suite du plus grand conflit de l’Histoire que fut inventé le concept de « crime contre l’humanité » qui constitue, encore aujourd’hui, la peine de justice la plus grave. L’humanité a donc été érigée comme la valeur étant au-dessus de toutes les autres. C’est celle qu’il faut absolument préserver car la négliger, c’est négliger l’homme. Mais alors, qu’est-ce que l’idée d’humanité ? L’humanité est le caractère d’une personne en qui se réalise pleinement la nature humaine

« les belles-lettres et les sciences » et la corruption sociale alors que beaucoup y voyaient une relation de causalité. L’entreprise de Rousseau consiste précisément à montrer que les facultés que l’on prête à l’homme ne lui sont pas immédiatement données, mais résultent de la socialisation, et que cette socialisation elle-même, loin d’être naturelle, est inscrite dans une genèse et dans une histoire complexes, qui restent à élucider. ❖ Le second Discours montre comment la socialisation porte en elle

citations > L'idée de patrie est liée à l'idée de guerre. Etant donné ce qu'est devenue la guerre dans le monde actuel, elle fait de la Patrie la force la plus immédiatement dangereuse qui circule au milieu de nous. [Pierre Drieu La Rochelle] [+] Extrait de Genève ou Moscou [+] « Sur un cadeau ? « Dans mon citabook « Envoyer à un ami « Plus sur l'auteur « Ses citations > Le ministre de la guerre a donné sa démission. La guerre est supprimée. [Jules Renard] [+]

penchant inscrit dans la vie sociale ? Peut-on reprocher à autrui son égoïsme par rapport à l'intérêt général, ou par rapport à la disproportion de cet intérêt particulier ? Peut-on reprocher quelque chose que l'homme n'est pas à même de corriger (pour Hobbes, l'homme demeure un loup pour l'homme, même dans un état constitué. L'égoïsme n'est pas remplacé par l'altruisme, il se fait seulement plus calculateur) ? L'égoïsme est-il une aliénation, sur laquelle aucun reproche ne peut avoir aucune prise ? Par

connaissances » selon l’expression de Morin (1986). Ce dispositif particulier qui cadre les analyses en fonctions des modèles utilisés est le paradigme. Kuhn (1983) définit le paradigme comme étant : « Un ensemble de croyances, de valeurs reconnues et de techniques qui sont communes aux membres d’un groupe donné ». Dans une définition plus actuelle (Gatto, 1999), en supprimant le terme « croyances », « le paradigme est un ensemble de pratiques, de méthodes et de techniques communément acceptées et faisant

Pour être véritablement libre, il faut disposer d’une volonté qui nous permet d’effectuer des choix, de prendre des décisions en renonçant parfois s’il le faut à nos tendances naturelles. Plus généralement, l’action libre peut être considérée comme étant celle qui suit un processus qui implique notamment la réflexion et la délibération. Deux précisions sont ici nécessaires. Premièrement, la liberté peut être mise en œuvre sans que s'ensuivent des effets dans le monde ; en effet, des circonstances extérieures

Or, l'homme a une capacité à se determiner lui même, il pourrait donc être la seule réelle autorité qui puisse s'imposer des devoirs. En effet, l'homme est, lorsqu'il est autonome a la capacité d'obéir seulement à des règles qu'il s'est lui même donnée. Mais dans ce cas comment l'homme evoluerait il si il etait le seul deteneur de ses devoirs, s'il n'etait pas soumis a une autorité supérieure? Une vie sans société est impossible, sans Etat non plus, donc l'homme ne serait pas réllement autonome

inaliénable. ». J.J.Rousseau, écrivain et philosophe du siècle des lumières, dans sont ouvrage intituler le contrat social (document 5), il ne voit pas du même œil l’approche de la souveraineté, que Hobbes, philosophe anglais du 17eme siècle. Le philosophe Français s’en prend à ceux qui comme Hobbes conçoivent une autorité politique légitimée sur un pacte de soumission a un pouvoir suprême. Pour lui le pouvoir doit être au peuple, aux citoyens de la nation ne devant pas s’aliéner a des représentants