Hoggart

l’analyse sociologique. Enfin, il conseille de placer les concepts dans le contexte historique pour pouvoir les comprendre. Cela peut être mis en lien avec la notion d’ « ethnocentrisme de classe » de Richard Hoggart qui serait une attitude qui consiste à juger la culture des autres sociétés et des comportements de ceux qui en font partie sur basse de ses propres valeurs de la culture. Si les valeurs et comportements ne sont pas placés dans leur contexte historique

réalisation des liberté publiques (Friedman,, p q ( 1962) │EMLYON - M & I - © - G. Marion│ Ni rêve ni cauchemar rêve, Qu’est Q ’ t ce qui est critiqué et déf d ? i t iti é t défendu Tout cela est observé de très haut, en , surplomb des acteurs (Hoggart, 1957; Certeau, 1980) Une même conception de l’individu l individu • Agent rationnel intéressé (microéconomie) • Comportement façonné par l’habitus (Bourdieu, 1979) L action L’action des individus est encastrée (embedded) dans le réseau concret

valeurs. Même, l’autobiographie peut servir d’illustration, voire être construite à l’aide de concepts, d’instruments forgés dans le discours théorique. C’est vrai des Confessions et des Mots, mais c’est vrai aussi de l’autobiographie de Richard Hoggart, 33 Newport Street26, magistrale socio-analyse dans le droit fil de La culture du pauvre27, c’est également vrai de l’Esquisse pour une auto-analyse de P. Bourdieu, qui a appliqué ses propres grilles d’analyse sur son cas, qui s’est pris luimême comme

Esser)  :   gratuits  répondant à une crise du lectorat et des publicités. 15 4 – Les études de réception et les cultural studies '70, autour de l'école de Birmingham et Williams, Hoggart et Hall, tradition marxiste : étude du  contenu diffusé et de son influence sur les représentations individuelles. Richard Hoggart, La culture du pauvre Usage massif de la radio et de la télé par la classe ouvrière anglaise : phénomène de « lecture  oblique »,   forme   d'autonomie  relative   (par  le   rire,

culture, la portée de la télévision sur différents publics… Leur réflexion sur ce thème est disponible dans Introduction au Cultural Studies. On considère que ce qui est à l’origine de ce courant de pensé est la publication d’un ouvrage de Richard Hoggart, en 1957, dans lequel il dresse un portrait des habitudes des classes populaires anglaises, et plus spécifiquement leur réaction vis-à-vis des nouveaux moyens de communication (séries télévisées, presses populaires…). C’est l’un des examens précurseur

courtes phrases font le bonheur de millions de lecteurs. En effet, qui oserait dire ne s'être jamais arrêté devant de telles annonces ? Tout d'abord, en relation avec le cours de Sociologie de la Culture, je peux faire le parallèle avec Richard Hoggart, professeur d'université à Birgmingham qui écrit en 1957 « La culture du pauvre » (étude ethnographique sur la culture des classes populaires britanniques de l'époque). Dans cet ouvrage, il inclut l'étude de la lecture des magazines populaires spécialisés

permet à des jeunes de donner leurs préférences sans être des professionnels ». 18. T. Todorov : La littérature en péril, éd. Flammarion, 2006. 19. Parce que fixée sur des centres d’intérêts passagers, aux antipodes de la lecture oblique de R. Hoggart. 

lesquels les familles s'inscrivent. A la problématique de la reproduction sociale s'oppose la question de la mobilité sociale au sein de nos sociétés et qui présente des cas qui semblent atypiques comme celui des sociologues Pierre Bourdieu et Richard Hoggart.

devaient recevoir leur part de richesse. Néanmoins, la classe ouvrière des années 1950 et 1960 se présentait comme un monde politiquement et culturellement homogène et spécifique, distinct de la classe moyenne et de son mode de vie, ce que Richard Hoggart a décrit comme une opposition entre « eux » et « nous » (6). De fait, le pouvoir d’achat devint un thème des luttes sociales, et la CGT fabriqua son propre indice du coût de la vie, car elle pensait que celui de l’Insee, en sous-estimant l’inflation

télévisuel artificiel duréel serait apparue plus nettement accentuant,selon nombre d'analyses, le déficit de confiance des téléspectateurs vis-à-vis de l'information télévisée au tournant des années quatre-vingt-dix. Rappelons toutefois que Richard Hoggart remarquait déjà,dans les salles de cinéma, les "rires que soulève le ton particulièrement lénifiant des bandes d'actualité"⑹. En réalité, le regard cynique des spectateurs s'est sans doute toujours opposé, mais à des degrés variables, aux prétentions