Homme Libre Ou Déterminé

- Peut-on vouloir ne pas être libre ? Remarques d'introduction :
  -          La difficulté tient à ce que vouloir est le fait d'un homme libre. Du coup, « vouloir ne pas être libre » = le fait d'un être libre qui cesse de l'être par choix) %u2192 est-ce possible ? -          A priori, ça l'est : l'absence de liberté est confortable car elle nous évite d'être responsable (« ce n'est pas ma faute » = je ne l'ai pas voulu, je n'ai pas choisi = je ne suis pas libre). -          Cependant, y a-t-il

s’agit donc d’un devoir tout à fait satisfaisant. Poursuivez de la sorte. 16/20 Ce texte paraît en 1945, la deuxième guerre mondiale s’achève petit à petit et se pose et s’est posé le droit et le désir d’être libre. Ainsi Merleau-ponty, dans un premier temps, nous expose le thème de la liberté sous une forme de dualité entre deux idées opposées que l’on peut se faire d’elle. Bien que Merleau-ponty, penseur de la nuance, dans ce texte ne pense pas qu’il puisse

les animaux la distinction spécifique de l’homme que sa qualité d’agent libre ». Cette thèse contient les notions principales de son texte : la liberté mais aussi la conscience. Il fait aussi de sa thèse sont antithèse puisque son développement va admettre des différences mais aussi des ressemblance entre la bête et l’homme. Une question sur la notion de liberté peut alors être posé puisque l’homme est considéré comme libre alors que d’un autre point de vu, l’animal pourrait mieux représenter la

pas de volonté ( paresse, peur du risque, incertitude...). La liberté c'est oser dire NON mais peur de s'affirmer, peur d'etre soi ("L'esclave dit toujours oui" malraux). L'homme renonce à sa liberté pour ne pas en assumer les responsabilités.Etre libre demande courage ( existentialisme de Sartre) - L'homme préfère à la liberté, la soumission quand sa vie est menacée. - L'homme peut renoncer à sa liberté inconsciemment -Lorsque l'homme s'engage, promet, il supprime quelques de ces libertés, c'est

en est conscient. Choisir détermine laconscience qui détermine la liberté d’action. Autrement dit, une action qui n’est pas la conséquence d’un choix n’est pas une action libre. Il en va ainsi de toutes les libertés. Cependant, si la capacité de choisir détermine une liberté de penser ou une conscience, il ne s’ensuit pas nécessairement une liberté d’action. Être conscient d’agir ne signifie pas nécessairement agir librement,sans contrainte. Le prisonnier n’est pas libre de ses mouvements, mais petite

complètement différentes s’opposent : celle de l’existentialisme et celle du déterminisme. La première théorie prétend que l’être humain est complètement libre puisqu’il a la possibilité de faire ses choix. La seconde théorie, pour sa part, avance que l’être humain est déjà entièrement déterminé par son environnement. La question est là : sommes-nous déterminés ou bien sommes-nous libres? Pour ma part, je ne crois pas que la théorie du déterminisme soit totalement folle mais je pense qu’il est possible de

sommes. Si ce que nous aimons est déterminé par notre passé, comme c'est ici le cas de Descartes, alors ce que nous sommes est dicté par notre passé. J'ai eu un accident de la route dont je n'étais pas responsable il y a deux ans, depuis je refuse catégoriquement de conduire une voiture. C'est mon choix mais il est du à un évènement passé que je n'ai pas décidé consciemment ni même inconsciemment. Je n'ai joué aucun rôle dans sa détermination pourtant il détermine une de mes décisions d'aujourd'hui

« visée éthique » la visée de la « vie bonne » avec et pour autrui dans des institutions justes[2] ». Il s’agirait alors de chercher une « vie éthique », pas seulement une vie responsable, mais une vie où la visée du bien nous change : une vie libre pourrait alors être animée par le souci du bien ou la vertu. On le constate aisément, l’éthique a quelque chose à voir en profondeur avec le bonheur et la liberté. Pourquoi cependant faut-il que la morale s’impose comme obligatoire, comme une sorte

essentiel à l'existence humaine? Si les philosophes ont attachés autant d'importance à la liberté humaine, c'est qu'elle paraît la validité de la condition et de la morale. Sinon quels fondements pourraient avoir les valeurs morales si l'homme n'était pas libre de donner ou de refuser son consentement au bien ou au mal? Si il était réduit à une simple expression de l'existence, celle-ci n'aurait aucun droit existentiel? Cette question pose le problème de la nécessité de la liberté et de la contingence.

Nait-on libre ou le devient-on? Liberté n'est ni l'autonomie, ni l'indépendance, ni l'autonomie, alors il convient de définir la liberté? La liberté est-elle inné ou acquise? Le libre arbitre existe-il? Y a t-il des degrés de liberté? La liberté est-elle le propre de l'homme? N'y a-t-il qu'indépendance et autonomie? Peut-on être moral sans être libre? La liberté signifie-t-elle l'absence de lois? Peut-on être libre sans volonté? La liberté est-elle chimère? L'homme peut-il choisir de porter