Homme Supérieur Nietzsche

­ Etat de nature / état civil  ­  Opposition Hobbes / Rousseau  ­ Pitié  ­ Expérience de Milgram           ∙       ​ A. À première vue, la morale vient de notre éducation :    Origines de nos croyances morales :  Idée principale : la généalogie de la morale (Nietzsche)  Nietzsche ­> « ​ Généalogie de la morale​  »  Il explique dans ce livre les origines de la morale.    Les croyances morales sont d'abord l'objet d'une transmission, et d'une éducation morale qui  se fait à travers les différentes institutions sociales

de la maison des morts : « Il me semble qu’on connaît un homme à son rire et que, si à première rencontre, un inconnu rit d’une manière excellente, le fond est excellent. » 37. ECO Umberto : « Nous savons que nous allons vers la mort et, face à cette occurrence inéluctable, nous n'avons qu'un instrument : le rire. » 38. ESCARPIT Robert, Lettre ouverte à Dieu : «  Il y a dans le rire des vertus secrètes d'inquiétude et de lucidité. Un homme qui rit ne peut rester bien longtemps un salaud. » 39.

limite du réel, la domination de la nature ne suffit pas. Et dans la vie, les Homme s’améliore, dans l’agriculture par exemple avant on utilisé pas d’engrais chimique évitant les infections, maintenant plusieurs infection sont évité et leurs rendement sont meilleurs mais est que c’est pour cela que l’Homme est plus heureux ? La critique que l’on pourrait faire est par rapport à Nietzsche, qu’il dit que les êtres supérieurs ne cherchent pas le bonheur mais la puissance, le grand désir, l’aventure et

extrêmement complexe, en sorte que l’on ne peut prévoir quelles seront les conséquences des décisions. Enfin, on ne saurait oublier qu’un modèle stratégique se présente comme un discours, destiné à convaincre et, sans doute, à séduire (le client, le supérieur, etc.). La question essentielle est alors celle du degré d’élaboration de l’écriture : – On reproche parfois aux modèles stratégiques leur excessive simplicité, qui confine au simplisme. Les consultants expliquent alors que, face à des problèmes

méchant) est ainsi introduite par le christianisme et constitue encore la base de la morale d’aujourd’hui. Si un homme choisi de faire le mal, de pratiquer le vice sous une quelconque forme, comme l’hypocrisie par exemple, c’est que sa nature penche inévitablement vers le mauvais. Ainsi, la conduite morale est considérée comme un combat, une lutte contre ses penchants qui conduit un homme à faire le mal. Par conséquent, les hommes ne seraient pas déterminés a faire le bien, le christianisme à posé

nous fait connaître l'essence des choses ("Celui-là, c'est lui"... = je vois ce qui le caractérise fondamentalement). L'art est donc moyen de connaissance, car l'activité de représentation supprime l'accessoire et livre l'essentiel : je reconnais un homme, un cheval, ... Retenez qu'on a régulièrement comparé l'attitude de la raison dans la philosophie d'Aristote avec les rayons X : elle traverse le connaissable sensible mais in-essentiel, pour atteindre l'intelligible essentiel. 12/ Quelle est la

plaisir 2.Le désir de vie 1.Approche phylogénétique (Darwin) 2.Conséquences existentielles (Schopenhauer) 3.Le désir de conservation (Spinoza) 4.La volonté de puissance (Nietzsche) 5.Le désir d'éternité (Platon) 3.Le désir de mort 1.La structure kamikaze du désir 2.L'agressivité introjectée (Nietzsche) 3.La nature conservatrice des pulsions (Freud) 4.Le plaisir de se perdre 4.L'indétermination du désir 2.Le désir de l'autre 1.Le désir mimétique (Spinoza) 2.La structure

profondément marqué par la première moitié du XXème siècle. Né dans une famille de commerçants dans la ville de Kirchhain, en Allemagne en 1899, sa famille pratiquant « un judaïsme pieux» dont il se détache vite, il découvre la philosophie avec Friedrich Nietzsche dont il « croit alors tout ce qu’il disait ». Il entame

d’une manière ordonnée et imposée, pour aboutir à un contrôle intégral de la pensée. On pourrait parler dans ce cas précis d’un calque, d’un duplicata de la pensée. (Les Jeunesses Hitlériennes : l’objectif de la Jeunesse Hitlérienne selon leurs supérieurs hiérarchiques était de « fabriquer de toute pièce » de futurs surhommes « Aryens » et des soldats prêts à servir loyalement, passablement le Troisième Reich).

sacré exprime une puissance relevant d'un ordre supérieur, donnant sa signification à la réalité ordinaire. Cette distinction entre le profane et le sacré se traduit toujours par des comportements rituels. Ceux-ci néanmoins ne supposent pas toujours la reconnaissance d'un être supérieur divinisé inspirant crainte et confiance. Le fétichisme polythéiste en est un exemple. Ainsi, l'attitude religieuse est déterminée par la croyance en cet ordre supérieur. Celle-ci est motivée par une crainte née de