Homo homini lupus est

L’homme est raisonnable et libre, grâce à Dieu ou non, tout homme qui réfléchit doit savoir ce qu’il faut faire ou non dans une société (ex : s’entretuer). Selon le Léviathan de Hobbes, l’homme est un loup pour l’homme (« homo homini lupus ») dans l’état de nature avant que se créée une société : c’est la guerre de tous contre tous. Il faut réussir, alors, à s’entendre, il faut créer une société, une réglementation, des pouvoirs politiques. J.J.Rousseau

Hobbes, qui voyait dans l'homme naturel un être isolé et cherchant avant tout à contenter ses besoins. Mais par la seconde, il se détache du penseur anglais, puisque celui-ci affirmait, reprenant Plaute, que l'« homme est un loup pour l'homme » (homo homini lupus est). Considérant l'agressivité naturelle de l'homme, Hobbes, profondément choqué par la guerre civile et les troubles religieux anglais du xviie siècle, réclamait un pouvoir royal absolu confisquant la violence individuelle au profit de l'État

et d’animalité qui donnait tant de force à Shining. Malheureusement, toute cette mise en place sophistiquée débouche finalement sur pas grand-chose, si ce n’est une illustration, au premier degré, d’un proverbe connu depuis l’Antiquité "homo homini lupus" (l’homme est un loup pour l’homme). Fernand Denis dans La Libre Belgique du 21.09.94. Dans la séquence d’ouverture, Nicholson, au volant de sa voiture sur une route enneigée, en rajoute tellement dans son récital de grimaces qu’on le

satisfaire sur lui son agression, d'exploiter sans dédommagement sa force de travail, de l'utiliser sexuellement sans son consentement, de s'approprier ce qu'il possède, de l'humilier, de lui causer des douleurs, de le martyriser et de le tuer. Homo homini lupus ; qui donc, après toutes les expériences de la vie et de l'histoire, a le courage de contester cette maxime ? [...] L'existence de ce penchant à l'agression que nous pouvons ressentir en nous-mêmes, et présupposons à bon droit chez l'autre

marquée par le réalisme de Machiavel et par la thèse de la souveraineté développée par Jean Bodin. Cet homme qui passera sa vie à avoir peur, et d’abord peur des autres, veut donner la paix aux hommes. A l’état naturel, l’homme est méchant, homo homini lupus (l’homme est un loup pour l’homme). C’est « la guerre de tous contre tous ». Comment se mettre à l’abri ? Comment sortir de la peur ? Telles sont les questions posées dans le Léviathan. La réponse est la nature. L’homme abandonne ses droits et

vigeur à la cour, ce que conseille également don Salluste à son valet : « Les loups pour nuire aux loups font-ils les bons apôtres ? / Ouvrez les yeux pour vous, fermez-les pour les autres » (1333f). L’image des loups donnée par le concept de « homo homini lupus » de Thomas Hobbes et le fameux proverbe « hurler avec les loups » revèlent les mécanismes utilisés à la cour. Ils sont ici appliqués au sein même de la famille : le cousin trahit son cousin (même deux fois) sans scrupules. Sous prétexte de lui

puissance illimité, il peut faire exactement ce qui lui plait, sans que personne ne l’en empêche. Rien, si ce n’est la liberté et la puissance des autres ne peuvent l’arrêter. La Société n’existe pas. Hobbes dit : « L’homme est un loup pour l’homme, homo lupus homini. » Cet état de nature apparait comme insupportable (pas stable). L’homme a se privilège d’être doué de raison, et c’est pour cela que l’homme comprend que cet état de nature ne correspond pas à son rêve de prospérité, si il veut construire quelque

est condamné à être libre ». On voit dans la pièce que les personnages des dieux ont conscience de leur mort symbolique : personne ne le craint, ils sont absent du monde, ne le régulent pas, n'ont aucune puissance sur les actions des hommes. « homo homini lupus » : l'homme est un loup pour l'homme. Invention d'une nouvelle morale, propre à la morale humaine : religion des droits de l'homme. L'homme est devenu le divin. Brecht ne veut pas un monde où la religion domine, il prend acte de la mort de Dieu

que les philosophes tirent de l’idée d’état de nature dépendent essentiellement de leur anthropologie, de la conception de l’homme qu’il se font. Pour Hobbes, qui vit à une époque de guerre civile et qui a une conception pessimiste de l’homme (homo homini lupus : l’homme est un loup pour l’homme), l’état de nature est un état de guerre et par conséquent cette fiction justifie tout type de pouvoir qui met fin à la guerre, y compris donc la monarchie absolue, ce Léviathan5 qu’est l’Etat. Pour Locke, dont

de Symbolisme – Volume 1 8 vitriol, soit visitons l’intérieur de notre être, rejoignant en cela Thomas Hobbes, penseur du XVI e siècle, qui considérait que l’homme est un loup pour l’homme « homo homini lupus ». Socrate a dit : « Connais toi, toi-même ». Ce rituel de l’initiation nous montre que le Miroir est le symbole de la connaissance, de la connaissance de soi. Souvent nous sommes enclin à juger l’autre sans concession, parfois même en fonction