Homophonie

ayant des sens différents. On peut constater, donc, que l’homonymie est la relation d’identité située au niveau du signifiant et reconnue entre deux ou plusieurs mots dont les signifiés sont considérés comme distincts. C’est l’identité phonique (homophonie) ou l’identité graphique (homographie) des mots qui n’ont pas le même sens. L’homonymie est un phénomène très répandu en français dont la cause principale est l’évolution phonique des mots. Par ex. : mots latins mots français vermis > ver

les sonorités, le rythme (le ton est volubile et décidé, comme s'il fallait écourter la diction) et la syntaxe, ces vers parviennent à passer outre toutes les consignes de la bienséance et de la pudeur, sans être pour autant obscènes. Le jeu des homophonies permet un échange entre le plan des signifiants et celui des signifiés. Un fil conducteur court dans le poème du chasseur d'hippopotame reliant les mots mondo, Jibondo, ndongo, mlongo, créant ainsi une poétique de l'ellipse et de l'analogie. Le

sémantiques ou formelles, qui le structurent. Les approches de l’analyse du lexique sont diversifiées : familles de mots, morphologie, étymologie, évolution historique du sens d’un mot, dérivation et composition, champ lexical, champ sémantique, homophonie/homonymie, synonymie, antonymie, polysémie, niveau de langue. Le programme fixe, année après année, les notions et les domaines dont l’élève doit s’approprier le lexique. La progression définit des contenus par année qui donnent lieu à des travaux

Brief an seine Mutter schreibt er am fünften März 1866: « Depuis quelques années je surprenais, ça et là, des imitations et des tendances qui m’alarmaient. »[64]. Die Formulierung « m’alarmaient » ist sicherlich kein Zufall. Die beinahe perfekte Homophonie zwischen m’alarmaient und Mallarmé « reveals a play of intertextuality »[65], indem er zugleich die Gefahr einer Imitation sah und eine Quelle seiner Sorge nannte. Baudelaire sieht keinen Angriff in der Rezeption seiner Bilder, aber er fürchtet

(pertinence des idées, cohérence, connecteurs logiques) : 4 points - récit de l’agression : 3 points Barême I. 3 points positifs a. Les trois infinitifs (ne pas tenir compte des erreurs lexicales) b. Les deux prépositions à. c. Les homophonies grammaticales se/ce. Aucune erreur n’est tolérée pour obtenir chaque point. (1 ou 0) II. 4 points négatifs a. 0,5 point de pénalisation pour tout type d’erreurs. Ne pas tenir compte des mots déjà évaluées positivement, même s’ils comportent

le contenu par le contenant, le tout par la partie (c’est plutôt la synecdoque) : Il vit de son travail pour il vit grâce au fruit de son travail; La ville, pour les habitants de la ville. 20 MOT­VALISE
 Amalgamer deux mots sur la base d’une homophonie partielle, de sorte que chacun conserve de sa physionomie lexicale de quoi être encore reconnu. Ex. : Se recroqueviller + s’emmitoufler = s’encroquemitoufler (Bécaud) Syn. : Bloconyme. Autres noms : Collage verbal, emboîtment lexical, amalgame

syntaxiques avec la reprise des mêmes structures (trois phrases qui se suivent pourront être construites sur le même modèle : sujet, verbe, complément d’objet direct, structure adversative), des répétitions de mots coordonnants dans la même phrase, des homophonies (assonances et allitérations), bref la prose cherchant à se rapprocher de la poésie se met à employer les procédés stylistiques que le vers libre utilisait déjà pour se rapprocher de la prose. Par ailleurs, le récit poétique foisonne d’images, métaphores

penser à la solennité des fêtes royales, cet air, plus encore que l’air de ténor qui précède [3] est tout pénétré d’une ferveur intime ». * Choeur A la place d’un mouvement final où prend place habituellement le choral du jour en simple homophonie, Bach choisit un bref, énergique, choral construit en fugato sur la seconde partie « abgesang » d’un autre choral Wie schön leuchtet der Morgenstern destiné usuellement à la fête de l’Assomption qui célèbre la Sainte Vierge marquant ici que ce premier

marquées laissant l’avantage aux assonances et aux allitérations. 2-c- Les répétions phoniques Comme pour la chanson, Verlaine construit la trame mélodique de ses poèmes non seulement sur les jeux des rimes mais également sur les homophonies à l’intérieur du vers. Les répétitions phoniques sont l’objet d’études de cette partie afin de pouvoir saisir la structure sonore du recueil. En effet, cet agencement de paroles permet a Verlaine de donner plus d’expressivité aux paysages intérieurs

« Souvenirs de famille... » en prose. - réalisme et rêve. Utilisation particulière des minuscules et majuscules. Être vigilants ! Suppression de traits d'union. Soit absence de rimes soit jusqu'à rime inclusive comme dans « co(pieusement) » et homophonies « croient », « croient croire », « croa croa ». Néologismes, citations et proverbes détournés. Anaphores. Allitérations et anagrammes. Assonances. Même rythme ou rythme complètement différent. Rimes intérieures surtout. P. est contre les préjugés