Homophonie

l’on retrouve dans “Scinderhannes”. La surprise vient aussi des calembours dans certaines images, ainsi dans “L’Ermite”, “L’amour jeu de nombrils ou jeu de la grande oie / La mourre jeu du nombre illusoire des doigts”, où le poète joue sur les homophonies et l’équivoque. Par conséquent, grâce à des images surprenantes, Apollinaire révèle et dévoile le réel, en “émerveillant” son lecteur. En outre, le dévoilement émerveillé du réel s’effectue aussi à travers le regard poétique de l'ivresse, cette

à l’écrit qu’à l’oral : Leurs livres sont ouverts, en passant au singulier Leur livre est ouvert, ne présente qu’une différence phonétique (au lieu de quatre à l’écrit) ; genre des adjectifs, morphologie verbale (Je chante/Tu chantes), lexique (homophonie : sot, sceau, saut, seau), structures grammaticales, etc. montrent que les marques à l’écrit sont plus redondantes qu’à l’oral). Années 70/80 : différences surtout liées aux situations de communication : - Caractère simultané/différé (perception

ce sens large, l’antanaclase est parfois appelée ‘diaphore’ (« c’est au cœur de la société qu’on manque le plus de cœur », « prenez votre cœur à cœur », « les vols de nuits volent vos nuits », « Le cœur a ses raisons que la raison n’a pas »). Homophonie : suggérer l’existence. Si parenté entre les mots alors parenté avec les choses mais c’est FAUX. Légitimer l’élévation de l’apôtre pierre au rand de premier apôtre.  La force du calembour et de la paronomase ou de l’antanaclase est souvent

volontairement pour sa connotation vieille. Lexicalisation – la lexicalisation est une opération qui consiste à substantiver un mot ou un groupe de mots. Mot–valise – est terme qui a été créé à partir de deux mots contractés en un mot unique parce qu’une homophonie partielle le permet. Néologisme – on parle de méologisme lorcequ’un auteur emploie un mot qu’il a lui–même créé sur la base d’une racine lexicale existente. Figures de sens Contrairement aux figures de mots qui ont pour objet le signifiant

légat, une délégation, etc. Le s final a été conservé par rapport à l'orthographe originelle. Avec le temps, on a pris l'habitude de prononcer le g final, ce qui évite les homophonies. La situation est la même pour le nom un lys, où le y est purement esthétique, et où la consonne finale est prononcée pour éviter les homophonies. D'où vient l'orthographe particulière du nom un poids ? Ce mot a subi une correction étymologique au XVIème siècle, mais cette correction reposa sur une erreur. Il a en effet

suit "ses comandemanz". Mais ici pas de livre ; en revanche "Matiere et san li done et livre La contesse …" (Lanc., v. 26-7). Cette matière et ce "san" ne sont-ils pas l'équivalent de ce que Chrétien aurait trouvé dans un livre, livre que son homophonie ouvre dans l'ombre sonore du verbe "livre" ?  Le livre du Comte joue-t-il le rôle de "matiere et san" que lui a donnés la Comtesse? Certainement en beaucoup moins de mots. Si Chrétien détaille galamment sa dette sur le contenu de son conte à l'égard

fait parfois humoristique en jouant sur les sonorités et les mots. Montrez-le en analysant la quatrième strophe de « L’ermite » (p. 94). Dans la 4e strophe de « L’ermite », le jeu de mots repose sur le mécanisme de l’équivoque, qui établit une homophonie continuée, sur un certain nombre de syllabes. De là résulte une ambivalence sémantique évidente : « L’amour jeu des nombrils ou jeu de la grande oie / La mourre jeu du nombre illusoire des doigts » (v. 14-15). Un lien analogique se noue donc

son nom, en devenant Monte-Cristo il deviendra une figure christique. b- Jésus-Christ Le nom de Monte-Cristo fait explicitement référence à Jésus-Christ et au Calvaire. Les ressemblances dépassent, nous allons le voir, la simple homophonie. Jésus jusqu’à trente ans, mène une vie simple. L’épreuve des tentations du désert marque le début de sa vie publique. Après d’innombrables faits, racontés dans lesEvangiles, il est victime de ses ennemis qui le conduisent sur la croix. « Mais la

rime sous un effet de chiasme : prise à l’inverse entre les deux quatrains. Cela nous indique que le 2ème§ se donne comme le miroir du 1er. La totalité à partir d’éléments est évoquée (la houle permet d’évoquer l’océan, métonymie). L’assonance/ homophonie « les houles en roulant » : vient lier les deux quatrains entre eux en montrant comment cette houle réactualise les images des cieux : étant visibles aussi bien au-dessus qu’au-dessous. Clôture de l’espace où les cieux et la plaine liquide sont

mouvement (développement et réexposition), nous vous donnons quelques repères facilement identifiables. • LE DÉVELOPPEMENT est tout d’abord fondé sur la réapparition d’éléments mélodiques de la fugue du 1er mouvement. Ils sont ici harmonisés et joués en homophonie par le 1er groupe de cordes, le piano et le xylophone. C’est un passage extraordinaire de la partition car on y décèle tout l’art de BARTÓK dans la manière de transcender les sources folkloriques : Après ce passage en « choral », le développement