Huizinga

lectures fondamentales pour qui s’intéresse au jeu. Afin de refléter l’évolution de la conception du jeu dans le temps, nous aborderons ces différents auteurs dans un ordre chronologique. Tout d’abord, intéressons-nous à la définition de J. Huizinga. En premier lieu, cet historien nous présente le jeu comme un phénomène culturel et lui confère un rôle très important dans la civilisation ; idée que développe également Brougère dans « Jeu et éducation » (1995). Sa définition du jeu semble

idéal de paix et de concorde. b) son œuvre - les Adages et le Manuel du Soldat Chrétien, entre 1500 et 1503, - Éloge de la Folie. 1511. - Erasme, Lettre à Henri Boville, 31 août 1516. -  Erasme, L’institution du Prince chrétien, 1516. -  J. Huizinga, Erasme, Gallimard, Paris, 1955. - Erasme, La civilité puérile, 1530. -  Charles Quint, Lettre à Erasme, 13 décembre 1527.   - Erasme, Lettre à Léon X, Préface au Nouveau Testament, 1516 1-mouvement littéraire du 16ème siècle a) l’humanisme

filles : ils sont 50% a citer des jeux déconseillés aux moins de 17 ans ou réservés aux adultes dans 3 jeux vidéos préférés alors que les filles ne sont que 14% à être dans ce cas. Le jeu vidéo est une expérience sociale Winnicott, Caillois, Huizinga l’avaient dit chacun dans leurs disciplines et chacun a sa façon : le jeu est une expérience sociale précieuse. Il semble que l’idée que les jeu vidéo soit aussi une expérience sociale ait suffisamment fait son chemin pour qu’un sondage en explore

des autres, remarque Caillois. En ce sens, il n'y a de jeux à proprement parler qu'à somme nulle. Le gain n'est pas un salaire, note Johan Huizinga. Le salaire octroyé à un joueur le transforme ipso facto en un professionnel. Le jeu est donc une activité à part, distincte des activités utiles. Il faut rapprocher cette dimension d'une remarque de Johan Huizinga: comme le sacré, le jeu ne vaut qu'à l'intérieur de frontières temporelles et spatiales précises, la durée de la partie, le stade ou le damier

mentalités du « Siècle d'or » : calvinisme, humanisme, nationalisme L'influence du calvinisme sur la société et la culture néerlandaise est, il est vrai, l'une des questions les plus débattues de l'historiographie, la conclusion la plus fréquente – de Huizinga à Schama – allant dans le sens de sa minoration. Les arguments sont nombreux à plaider pour ce rôle limité du protestantisme dans la conscience et les mœurs nationales. D'une part et contrairement à une vision communément répandue à l'étranger, le

variables macro-financières sur la rentabilité des actifs. Si l’émergence des marchés de capitaux dans les pays en voie de développement renforce l’activité bancaire comme l’ont soutenu des études empiriques récentes (Bashir, 2000 ; Demerguç-Kunt et Huizinga, 2001; Rouabah, 2006; Beckman, 2007), l’élargissement de ces marchés peut produire un effet de substitution sur l’activité des banques, contredisant ainsi les prédictions théoriques (Ben Naceur, 2003). Quant à la concentration bancaire et à la taille

Légende : tristan, Gauvain, Perceval Les enfants jouent au roi Arthur qui est un phénomène ayant eu beaucoup d'ampleur Retour d'Arthur dans plusieurs œuvres du XV° afin de revaloriser les valeurs de la chevalerie : L'Autonme du Moyen-Âge par Johan Huizinga mettant l'accent sur les divagations chevalresques La Mort d'Arthur (1485) poème de Malory Retour à la vie d'Arthur dans The Fairy Queen (1590) Spencer Ce mythe a traversé l'imaginaire du XVII°, porté par le nationalisme britannique et aussi grâce

également une classification des jeux, qui est aujourd'hui bien connue et utilisée dans tous les secteurs de la connaissance concernés par la notion de jeu : - L'agon est le champ des jeux de compétition, qui faisait l'essentiel des analyses de Huizinga. - La mimicry celui des jeux de rôles, d'imitation… - L'ilinx regroupe les jeux de vertige, de sensation pure. - L'alea est le champ qui nous intéresse particulièrement : c'est celui des jeux de hasard, parmi lesquels se trouveront les jeux d'argent

cibles et la protection des investisseurs (par exemple, Bris et Cabolis 2008 ; Rossi et Volpin 2004 ; Chari et al. 2010), d'atteindre des marchés de produits plus vastes (par exemple, Yeaple 2003 ; DeGiovanni 2005), optimiser les règles fiscales (ex. Huizinga et Voget 2009), accéder à des réglementations favorables (ex. Karolyi et Taboada 2015 ; Alimov 2015), exploiter les différentiels de valorisation monétaire et boursière (ex. Erel et al. 2012 ; Aguiar et Gopinath 2005) ou un accès privilégié au financement

factors and examine a single country (e.g., Berger, 1995; Angbazo, 1997; Guru et al., 1999; Ben Naceur, 2003; Mamatzakis and Remoundos, 2003; Kosmidou et al., 2005; Kosmidou, 2006) or a panel of countries (Molyneux and Thorton, 1992; Demirguc-Kunt and Huizinga, 1999; Abreu and Mendes, 2001; Staikouras and Wood, 2003; Hassan and Bashir, 2003; Goddard et al., 2004). In the discussion that follows we focus on the studies that examine the EU banking market.2 The study of Molyneux and Thorton (1992) is one