Huizinga

nouvelle interprétation des différentes cultures, des sociétés primitives aux sociétés contemporaines. Karl Groos, Les jeux des Hommes, 1899. Cet ouvrage assez ancien est cité comme référence par tous les auteurs ayant traité du jeu. Johan Huizinga, Homo ludens. Essai sur la fonction sociale du jeu, Gallimard, 1951 (1ère éd., 1938). L'auteur définit ainsi le jeu : c'est une action ou une activité volontaire, accomplie dans certaines limites fixées de temps et de lieu, suivant une règle librement

terme ainsi que la période. Civilisations de la renaissance, de l’allemand : « Le voile qui enveloppait les esprits était un tissu de foi et de préjugés, d’ignorance et d’illusions. C’est l’Italie qui, la première, déchira ce voile. Le livre de Johan Huizinga (1872-1945) L’automne du Moyen-Age, Harlem, 1919, sera traduit en Français en 1932, à Paris, sous le titre suivant : Le déclin du Moyen-Âge. Ici, les deux derniers siècles du Moyen-Âge sont synonymes de déclin. Effectivement, pour qu’il y ait une

activité physique ou mentale qui n’a pas d’autre but que le plaisir qu’elle procure. Or, nous tenterons de montrer que le jeu n’est pas seulement une source de plaisir mais aussi un très bon outil pédagogique. Pour le philosophe hollandais Johan Huizinga (cité dans l’enfant et les jouets), «le jeu est une action volontaire, accomplie dans certaines limites fixées de temps et de lieu, suivant une règle librement consentie mais impérieuse, pourvue d’une fin en soi, accompagnée d’un sentiment de tension

Cours sur le Jeu I-) Étude d’ouvrage : Homo Ludens de Johan Huizinga Le jeu est un processus culturel par excellence mais Huizinga dit que c’est faux car les chiens jouent, les ours aussi. S’il y a une base naturelle dans le jeu, comment peut-on dire que le jeu est une construction immanente à la culture, comment montrer que toute culture possède des éléments du jeu ? Il présuppose qu’il n’y a pas de dissociation entre nature et culture

ontologique et herméneutique. Mais encore il faut avoir la substance ludique en vue qui a ses propres formes. Cette substance ludique est décrite dans la livre de Huizinga Homo Ludens. Il a analysé le problème de l’être de l’homme qui joue. L’idée du jeu comme le statut ontologique de l’existence de l’homme est à la base de son œuvre. Pour Huizinga le Jeu est un passe-temps ou un comportement bénévole, qui s’opère à l'intérieur des fixées limites du temps et du lieu et avec les règles obligatoires. Le jeu

N° 539 - Août/Septembre 2003 - Etudes et Recherche LES DETERMINANTS DE LA PROFITABILITE DES BANQUES DANS L’UEMOA : UNE ANALYSE SUR DONNEES DE PANEL Nasser ARY TANIMOUNE* Résumé Suivant la grille de lecture proposée par Demirgüç-Kunt & Huizinga (1999), cet article propose une analyse empirique de la marge bancaire et des déterminants de la profitabilité des banques dans l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) depuis la libéralisation financière de 1989. Les principaux résultats

Leo Frobenius (1921) : le jeu est le creuset de toutes les aptitudes à manier des représentations et à jouer des rôles sociaux. L’art tout comme le jeu forme la structure, la construction de l’être humain à créer sa représentation sociale. Huizinga (1938) : il reprend Frobenius. Il exclue ici les jeux d’argent. Fonction sociale, fondamentale. Le jeu se retrouve partout car toute activité peut être vue sous la vision du jeu. Chez l’animal il y a un caractère intentionnel du jeu qui est naturel

Paquette, Poèmes de la mort : de Turold à Villon, Union générale d'éditions, Paris 1979 Johan Huizinga, Le déclin du Moyen Age, Payot, Paris 1948 Philippe Ariès, L’homme devant la mort, Seuil, Paris 1977 Notes: [1] Johan Huizinga, Le déclin du Moyen Age, Payot, Paris 1948, chap. XI, p. 164 [2] ibid., p. 165 [3] Philippe Ariès, L’homme devant la mort, Seuil, Paris 1977, p. 112 [4] op. cit., Johan Huizinga, p. 165 [5] ibid., p.166 [6] ibid. [7] ibid. [8] ibid., p. 166-167 [9] Eco Umberto, Sztuka

n’aurait pas pu se déclarer et encourager le soupirant ouvertement. Au contraire ici il s’agit d’une phase d’amour beaucoup plus avancée; du toucher, du jeu sexuel. Il faut quand même se montrer prudent avec cette expression juec d’amor. Comme J. Huizinga l’a clairement démontré, ce terme ne présente pas l’acte purement biologique de l’accouplement, mais sa préparation qui révèle de nombreuses marques ludiques[71], ici par exemple la référence à la cuisse de la femme, au fait de la toucher (« ab ams

inexpliquées, et la croyance populaire était que, la nuit, les morts dansaient dans les cimetières. Hélène Cassou-Yager a analysé dans son ouvrage consacré à Baudelaire2 les aspects de l'obsession de la mort au Moyen Âge. Elle reprend les thèses de Huizinga, qui distingue trois aspects principaux de la mort à la fin du Moyen Âge : 1) l'obsession de la fuite du temps ; 2) l'horreur et la fascination du cadavre qui évolue de la vieillesse à la déchéance physique ; 3) la Danse macabre, symbole de