Hume Entendement Liberté Et Nécessité

élargit nos horizons : ne nous cachons rien ! La morale réclame l’honnêteté, cela va de soi. Cependant la perversité humaine fait fi des beaux principes. Nous sommes libres de mentir dès que nous prenons la parole, et ce pouvoir est formidable. Cette liberté de mentir peut s'avérer très utile. Elle peut sauver des hommes ! “Le principe moral que dire la vérité est un devoir, s’il était pris de manière absolue et isolée, rendrait toute société impossible. Nous en avons la preuve dans les conséquences

Rousseau, 1771. [à continuer]Le XVIIIe siècle : le siècle des Lumières La liberté par les lois, c'est d'un bout du 18e siècle à l'autre ce que soutiennent ces deux pôles de la pensée du politique, Montesquieu et Rousseau, pendant que Hume en Angleterre et Condillac en France renouvellent les modèles de la connaissance et que Voltaire combat le trône et l'autel, les piliers de l'ancien régime au nom de la tolérance et de la liberté de pensée. L'Encyclopédie, ce symbole général des Lumières, formidable

nature y participe également, laquelle demande à être cultivée en embrassant une activité mondaine. La seconde tendance se montre plus sceptique à l’égard de la nature et de l’homme. La corruption du monde est une réalité et la grâce divine une nécessité pour surmonter la Chute. Le salut ne peut venir du monde mais est au contraire intérieur. 2. La théologie politique chrétienne : un accident de l’histoire La Trinité exprime à elle seule les difficultés entourant le chrétien dans son rapport

Poids de l'habitude, des mœurs, de la tradition. Le bien est ce qui est normal, habituel ; le mal  est ce qui anormal, non ordinaire.     Mœurs :​  manière d’agir et de pensée (croyance religieuse, mythe).  C’est une manière de suivre une tradition, la nécessité de garantir la cohésion du groupe  social  engendre une morale.      Application au cas de la tolérance : toujours possible ?  L’individualisme moderne est­il toujours une forme de morale du troupeau ?      La morale se fonde sur la pulsion grégaire

je doute, c'est que je suis en train de penser, et si je pense, c'est que j'existe (p54) -la pensée représente donc la première évidence. Je pense, donc je suis. -je ne suis, précisément, qu'une chose qui pense c'est-a-dire un esprit, un entendement ou une raison. -c'est l'entendement qui caractérise l'home: faculté de concevoir et de penser le monde réel a l'aide d'idées. -conception spiritualiste: l'esprit est entité distincte et supérieure (vs matière) -introduit la distinction

tolérance conduisant à la liberté de conscience. À la certitude émanant de la lumière d'en haut, se substituaient le doute et les lumières provenant de la connaissance de la réalité. La connaissance n'avait désormais que deux sources : la raison et l'expérience. Cette libération de la connaissance ouvrit la voie à la science, et de là à l'éducation sous toutes ses formes, de façon à libérer l'homme. Le combat pour la liberté de conscience se prolongea par la demande de la liberté d'opinion et d'expression

d’une espèce considérée, voire à un seul, par exemple les intérêts particuliers. contrainte / obligation : une contrainte est une force extérieure qui nous pousse à agir contre notre volonté ; une obligation nous pousse à agir en vertu d’une nécessité intérieure, subjective, qui nous fait reconnaître un devoir d’agir de cette manière là. Par exemple, Antigone est « contrainte » par son oncle Créon à ne pas enterrer son frère Polynice mais elle est « obligée » d’aller l’enterrer du fait de ce qu’elle

l'Essai sur l'entendement humain prédomine: elle cherche à circonscrire ce que l'entendement peut connaître de manière certaine dans les grandes questions comme l'existence de Dieu et du monde, l'existence d'une âme humaine spirituelle et celle de la liberté. Spinoza prit parti pour Descartes, surtout dans son Éthique4. Il se démarqua pourtant de son aîné dans son Traité de la réforme de l'entendement (Tractatus intellectus amendatione), où il montra que le processus de perception engage non seulement

LE JEU DE L’IMAGINATION ET DE LA FICTION CHEZ HUME ET CHEZ BENTHAM La philosophie de Hume est symptomatique d’une conduite classique à l’égard de l’imagination, de la fiction et de la croyance par laquelle on se rapporte au réel. On en découvre immédiatement les indices dans l’héritage et la reprise des philosophèmes classiques à travers lesquels passe et se figure, par une expérience elle-même imaginaire, une théorie ordinaire de l’imagination à l’âge classique : on retrouve, par exemple, la fameuse

Athéisme 1L’athéisme n’est pas que celui qui nie l’existence de Dieu. C’est une partie de la définition de l’athéisme mais elle ne regroupe pas toutes les questions. L’athéisme est une position attachée à des thèses philosophiques. L’âge classique regroupe différentes définitions de l’athéisme. Ralph Cudworth dans un traité de 1678, distingue quatre formes d’athéisme :- hylopathien. Ceux qui pensent que la matière sent. La matière inerte produit les formes.Anaximandre. Thèse en opposition avec la