Hume Et La Question De L

apriori stupide, pas logique ) Il y aurait quelque chose qui serait LA différence. Entre les hommes ce qui il y a c es d abord la différence. Ce qui fait la capacité de l’homme c est la différence L’altérité ( capacité d être diffèrent ) La question est finalement de quelle différence parle ton lorsque l on parle de entre les hommes, quelle différence, a quelle concept avons nous a faire. Nous avons donc a faire a l’altérité donc qu’en est t il de l’altérité, qu’est ce que autrui. L’altérité 

partir celui qui veut la vérité, ce qu’il doit atteindre à la fin, ou de simples indices, éventuellement négligeables, dans son cheminement vers la vérité ? Répondre à de telles questions doit permettre de préciser quelle forme de vérité est attendue dans les différents champs du savoir et de l’agir. Pour répondre à la question posée, on peut commencer par s’interroger sur la valeur des différentes formes de certitudes. Il y a des certitudes subjectives, qui renvoient à la conviction du sujet (« je

L'expérience de la boule de billard ------> Une boule de billard en heurte une autre. Je peux constater que la deuxième boule se met en mouvement : simple observation empirique. L'expérimentation commence à partir du moment où je me pose la question suivante : qu'est-ce qui s'est transmis entre la première et la deuxième boule ? Newton affirme que ce qui se conserve, c'est la « quantité de mouvement », c'est-à-dire le produit de la masse par la vitesse. Il est clair que jamais je ne verrai cette

les paramètres. L’observation scientifique ne consiste pas à contempler la nature mais à la manipuler. Kant : « La raison ne voit que ce qu’elle produit d’elle-même d’après ses propres plans » ; « la raison doit obliger la nature à répondre à ses questions et ne pas se laisser pour ainsi dire en conduire en laisse par elle. ». Ainsi, au lieu de travailler au hasard, la raison ordonne d’avance ce qu’elle veut trouver. Au lieu de contempler la nature, elle crée tous les paramètres pour la conduire aux

La raison humaine peut-elle tout connaître ? La science est souvent présentée aujourd’hui comme la discipline présentant les garanties de fiabilité les plus grandes dans la recherche de la vérité. Mais la science n’a-t-elle pas des limites ? Les questions métaphysiques et existentielles, portant sur un éventuel « au-delà » de la nature visible permettant de donner sens à l'univers et à la vie humaine, ne demeurent-elles pas l’apanage de la religion? Dans le présent texte, tout l’effort de Dawkins

|Socrate et Platon : le dialogue socratique | |La philosophie est une réflexion critique, un questionnement sur nos acquis, une remise en question permanente de nos opinions | |  | |

développement correspondant à la première introduction ? Lesquelles ? Deux parties : _ l’hostilité des lieux à travers les perceptions de Claude _ l’angoisse du héros se projette sur le paysage qui de ce fait devient hostile b) Même question à partir de la deuxième introduction. Trois parties : _ Les caractéristiques de la description _ Le réalisme de la description _ La portée symbolique de la description Rappel : Les titres d’œuvres se soulignent, les extraits

(coutait chère). Cette compagnie mangeait bien, jouait de l’argent et ne dédaignait pas nouer des relations amoureuses autour de la baronne. On peut voir l.23 à 25 que, réunis les amis du baron comme les étrangers de passage abordaient volontiers des questions qui leur tenaient à cœur. b) Sa société habituelle : le salon implique une régularité de la présence, ce qui constitue un groupe d’habitué philosophe et élite intellectuelle, l’Abbé Morellet en fait mention à la ligne 8 à 10 en parlant « des

définit il par une somme de plaisir plus grande que la somme des peines éprouvé. Nous mettrons en dualité Aristote et Platon Le deuxième aspect, c’est l’aspect esthétique, nous étudierons les réflexions de Burke ainsi que Kant et Hume. Le gout ce n’est pas seulement la question de savoir ce qui nous plait, c’est qu’est-ce que c’est que le plaisir, qu’est-ce que j’éprouve ? Ce n’est pas que le plaisir physique, le plaisir est physiologique et psychique, c’est chez Freud que nous irons l’explication

origine , le comment plutôt que le pourquoi le préoccupe . Fasciné par la science il se heurte aux questions d ordre métaphysique .S’il ne détient pas la vérité qui la détient ? Quel est le pilier de l’ humanité , ? qui est Dieu ? La réponse à la question est apportée a l’homme par la religion , Celle-ci calme son angoisse ,lui apporte un sentiment de paix. Suffirait- elle comme réponse à la question de son origine ?.Par son besoin de donner ’ un sens à son l’existence et que le sens que lui apporte