Hume égalité Parfaite

liberté humaine. ► La critique de Leibniz porte sur la liberté d’indifférence proprt dite : voici ce qu’il écrit dans sa Conversation sur la liberté et le destin : « le cas d’une parfaite indifférence qui est celle de l’âne de Buridan entre deux prés qui se laisse mourir, est imaginaire, la parfaite égalité de part et d’autre ne pouvant jamais se rencontrer. » L’état d’indifférence n’existe pas, c’est un état fictif, imaginé pour les besoins d’une thèse qui méprise le principe de raison suffisante

selon Hume (Traité de la nature humaine, livre II). Car dans le cas contraire, un être ne voulant pas l'amitié sociale est un être isolée, en quelque sorte, exclus de la société ou inaperçu. D’un côté, l’amitié peut alors être banalisée, elle se confond avec les pratiques générales de la sociabilité. De l’autre, lorsqu’elle est exaltée, l'amitié se présente comme la quintessence de la relation interpersonnelle pleinement heureuse. « L'amitié n'est pas autre chose qu'un accord parfait de sentiments

Langage et Pouvoir Symbolique, i, 1-2) (A131). Donc, pour Bourdieu et pour Marx, les inégalités ne sont jamais justes mais toujours justifiées, voire naturalisées. Hume-Locke-Smith : pour les libéraux aussi, les inégalités sont un fait, mais un fait de nature cette fois, puisque, pour les libéraux, « l’état de nature est celui d’une parfaite liberté d’agir, disposer de sa personne et de ses propriétés dans les limites de la loi naturelle »(Locke, Traité du Gouvernement Civil, §§10-84) (F212). Autant

grand tyran » ANDRE MARTINET, « A chaque langue correspond une organisation particulière des données de l’expérience » -L’art KANT, « Seul ce que l’on ne possède pas l’habilité de faire, même si on le connaît de la manière la plus parfaite relève de l’art » «Le beau est ce qui plaît universellement sans concept » HEGEL, « L’art ou du moins sa destination suprême est pour nous une chose du passé » KLEE, « L’art ne reproduit pas le visible, il rend visible » 

le péché d’orgueil de désobéir à Dieu. La fierté c’est ne pas supporter être considéré inferieur à ce qu’on est : vertu. L’orgueil est de croire que l’on est supérieur aux autres : vice ➢ Opposé : humilité, qui reconnaît qu’il n’est pas parfait, qu’il n’est pas Dieu L’Homme a été orgueilleux, il n’a pas sut reconnaître la supériorité de Dieu. Interprétation dérivée (par Saint Augustin) Péché de la chair (Eros : plaisir sexuel) > Tentation, séduction du pécher originel. Les Grecs

par egal ? Par exemple si c'est un enfant. Il existe un mtyhe de l'egalite, que quelqu'un d'autre soi son identique. "Egalite de l'identite". Absence de difference, on accepte celui qui nous ressemble. Mythe de l'identite va permettre une forme de respect mais dans une communaute extremement fermee, dans laquelle autrui n'est pas vraiment "l'autre". Egalite de droit, egalite du semblable. Si on pose le respect comme devoir envers son semblable, alor le respect se considere comme reconnaissance

ailleurs différents. Il y a des degrés de ressemblance, d'un vague "air de famille" à la similitude au sens mathématique du terme. Mais ce qui se ressemble est aussi dissemblable, sinon, il y aurait identité. Voir le repère Identité / Égalité/ Différence. Hume fait de la ressemblance l'un des trois principes, avec la contiguïté et la causalité, qui sont à l'origine de la composition des idées à partir des idées simples fournies par la sensation. Analogie Au sens large, non technique, une

l’égalité. C’est une morale très uniforme qui a deux variantes. Les lumières Anglo-Saxonne (David Hume : morale fondé sur l’intérêt, utilitarisme) et Franco-allemande (Kant : Morale fondé sur le devoir : criticisme) Il y a deux principes : * L’impératif catégorique : « agit de tel sorte que le principe de ton action puisse être érigé de manière générale » (voir si ton action peut être universalisée). EGALITE * La dignité humaine : « Ne traite jamais ta propre personne ni celle d’autrui, comme

Des stoïciens à la justice chrétienne 3.2.2 Deux traditions : Duns Scot et saint Thomas d'Aquin 3.2.3 Pascal et Leibniz 3.3 La justice, la morale et la société 3.3.1 Justice et théorie morale : David Hume 3.3.2 Justice et État : Thomas Hobbes 3.3.3 Justice comme un contrat social : Jean-Jacques Rousseau 3.3.4 Critique de la justice comme idéal 3.4 La justice, l'économie et la politique 3.4

l’égalité. C’est une morale très uniforme qui a deux variantes. Les lumières Anglo-Saxonne (David Hume : morale fondé sur l’intérêt, utilitarisme) et Franco-allemande (Kant : Morale fondé sur le devoir : criticisme) Il y a deux principes : * L’impératif catégorique : « agit de tel sorte que le principe de ton action puisse être érigé de manière générale » (voir si ton action peut être universalisée). EGALITE * La dignité humaine : « Ne traite jamais ta propre personne ni celle d’autrui, comme un