Image Du Sauvage

mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets : Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes ; Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos

LL n°1  : Diderot INTRODUCTION  : (Lire titre, auteur et date) 18e siècle est une époque de voyage et de colonisation, ou l’on considère la société occidentale supérieur aux « peuple sauvages » qu’il faut éduquer et civiliser. De nombreux voyages sont organisés par des explorateurs ou des scientifiques dans des Récits destinés à un public lettré . Parmi, ces voyageurs, Bougainville figure très connu publie Voyage

découverte et au voyage (image de l’île paradisiaque perdu au milieu de l’océan). Gauguin, Fatata Te Miti, 1892 Le poème est un rêve car dans le vers 1, Baudelaire dit « les yeux fermés » et ce tableau fait appelle au rêve car les couleurs sont fantastiques et incroyable (violet & orange recouvrant le sol). Le vers 6 « Des arbres singuliers et des fruits sauvages » fait directement écho à l’arbre avec cette forme spécial recouvert de ces couleurs qui pourraient être c’est fruits sauvages. L’invitation

sur la grève de Spéranza (c'est ainsi qu'il appellera son île au chapitre 3) : les débris sur la grève, la carcasse de la Virginie, le bateau échouée sur la barrière de récifs, lui rappellent la tempête et le naufrage. Il explore l'île, tue un bouc sauvage et finit par trouver un sommet d'où il peut découvrir l'ensemble de l'île : manifestement elle est inhabitée. Robinson traîne des jours indéterminés, sans véritable ressort, dans l'espoir du passage d'un bateau, obsédé par l'image qu'il découvre de

fille) puis -2-la visite à la cabane (A C ne reprend pas l'écoute de Caignet sous la vorde); -3- l'arrivée d'un carrosse devant la porte : celui de Caignet & Mathieu; »Service du roi « (répété). -4- l'échange vif entre l'abbé et le sauvage (dans la salle où avaient lieu les concerts « privés »; séquence assez wellesienne avec des plafonds omniprésents et des portes en enfilade: séquence dont le crescendo consiste à rapprocher non les deux adversaires mais à passer à deux gros plans

« […] les vastes forêts se changèrent en des Campagnes riantes ». Rousseau oppose la forêt sauvage aux « Campagnes riantes » dans une opposition sémantique car pour lui « sauvage » est une caractéristique positive, et « riantes » est une antiphrase au contraire de ce que pense les gens du commun. De surcroît, Rousseau fait de son discours, un récit étiologique. En effet, ce dernier donne une explication imagée d'un phénomène dont en réalité, nous ne maîtrisons pas l'origine, passant du mythe de

insensées et immorales. ». - Max-Muller: « Les grecs attribuent à leurs dieux des choses qui feraient frissonner le plus sauvage peau rouge…Dans les tribus les plus arriérées de l’Afrique et d’Amérique nous avons pas grand chose rien de plus hideux et de plus révoltant. » - Joseph-François Lafitau => physiquement et moralement les sauvages américains sont des sauvages contemporains. - Jésuite => M= symptôme d’une corruption de ma première religion des peuples païens. M prolifère sur l’ignorance

de Jakob Wimpfeling en 1505 (manuel, p. 22). R : Les mercenaires suisses sont des « sauvages des forêts, habitants des Alpes dépourvus de clémence ». « Des brutes, des rustres, des têtes brûlées, formés à la guerre depuis le berceau, qui se délectent du sang des Chrétiens ». Dans ce propos, JW insiste sur la sauvagerie des mercenaires suisses, due à leur habitat sauvage. Ils mènent la guerre de manière sauvage. Ils ne font rien d’autre que la guerre. Ils sont prêts à tuer tout le monde.

donne pour telle. Malgré un ancrage historique, la présence de personnages réels, le récit s’apparente au conte : - le personnage principal est une fiction d’homme naturel. Voltaire n’en donne pas une image réaliste ou vraisemblable. L’Ingénu est une représentation comique du bon sauvage. Son nom même le réduit à une fonction philosophique : personnage naïf, son regard permet la mise en évidence des tares de la société qu’il découvre. - les actions et événements apparaissent non pas guidées

votre image me suit ; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite, Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte. Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus. Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune. Je ne me souviens plus des leçons de Neptune. Mes seuls gémissements font retentir les bois, Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix. Peut-être le récit d'un amour si sauvage Vous