Imiter Le Réel

la vie littéraire de la codification sociale et politique imposée par Louis XIV. Elles ont toutes été réunies par Boileau dans son Art Poétique en 1674 qui est donc considéré comme le manifeste du classicisme. Le classicisme considère qu’il faut imiter les auteurs de l’Antiquité grecque et romaine parce qu’ils ont su représenter des vérités humaines éternelles et universelles. Classicisme Le classicisme c’est La bienséance L’art doit respecter la bienséance, c’est-à-dire évité de choquer

en quel sens peut-on dire que l’art imite la nature ? Dans un premier temps, nous verrons comment l’art imite la nature, qui elle-même incarne l’idéal de beauté. Ensuite, nous verrons comment l’art ne peut pas simplement imiter la nature. Nous finirons en nous demandant comment l’artiste peut lui-même proposer sa propre vision dans ses œuvres. Spontanément, l’idée que l’art imite la nature semble devoir signifier que les œuvres ont pour but et fonction

questions :1/ Le texte d’Aristote que nous allons étudier a pour thème l’imitation, dans ses rapports à l’art et à la  connaissance. L’auteur veut nous faire comprendre que l’imitation à l’œuvre dans l’art nous procure du plaisir, car imiter nous permet d’apprendre. Il répond ainsi au  problème  de la finalité de l’art. On se demandera donc pourquoi les œuvres d’art nous plaisent, à quelle nécessité elles correspondent pour nous. L’auteur énonce tout d’abord

choses dites réel sans véritablement nous les montré! Elle aurait pour but de nous détourner du monde réel pour nous tourner vers un monde d’illusions et d’images sur lesquels l’homme attribue un nom qui les désignent et qui les caractérises et différencies. Par exemple, lors qu’un peintre peint un oiseau sur une toile il ne fait que représenter la notion dite « oiseau » sur laquelle nous avons mit un nom et que donc nous reconnaissons grâce à ce terme. Mais l’oiseau n’est pas réel ce n’est que

pécheur à l’amitié de Dieu, mais cela implique pour lui une certaine éthique ou morale qu’il doit démontrer dans sa vie. Dans son sens eschatologique, la sainteté sera obtenue en plénitude à la fin des temps. L'Église vit déjà la sainteté de manière réelle et vraie mais imparfaite ; et les œuvres du chrétien sont un signe extérieur de la justification. 3. La physionomie du saint selon l’idéal chrétien ; sainteté et vocation : D’un point de vu éthique, le saint est un conquérant courageux, qui rompt

les autres artisans, sans rien maîtriser de leur art. Et si il est bon peintre, il trompera les enfants et les gens qui n’ont pas toutes leurs facultés (…) parce que ce dessin leur semblera le menuisier réel. » Platon situe ainsi l’art du côté du « non savoir » car il s’agit d’une imitation du réel ; l’imitation est immanquablement défectueuse, et l’œuvre qui en ressort, n’est que la représentation d’une imitation défectueuse : elle ne peut donc nous offrir aucune connaissances. Ainsi, dans « La République »

définition traditionnelle, à savoir : la nature, l’ensemble des phénomènes sensibles) qu’il aurait développée. Compris comme cela, ce « monde » pose problème quant à la définition de l’activité de l’artiste : pour opérer, il doit se référer au monde réel, (la nature) et dans ce cas, l’image qu’il en rendrait, ne pourrait être qu’une pale copie de ce dernier, faisant de son activité, non plus un acte de création, mais une simple imitation. L’enjeu est aussi de déterminer le rapport qu’entretient l’artiste

  sans  rien  maîtriser  de  leur  art.  Et  si  il  est  bon  peintre,  il  trompera les enfants et les gens qui  n’ont pas toutes leurs facultés (…)  parce que ce dessin leur semblera le menuisier  réel. »  Platon situe ainsi l’art du côté du « non savoir » car il s’agit ​ d’une imitation du réel​  ; l’imitation est immanquablement  défectueuse,  et  l’œuvre qui en  ressort, n’est  que la représentation d’une imitation défectueuse : elle  ne  peut donc nous  offrir aucune connaissances.     L’art n’a pas de 

soi aujourd’hui, c’est bien que l’art est un moyen d’évasion. L’art désigne donc en général tout ce que l’homme ajoute à la nature. L’art fait donc partie du réel, mais obéit à un idéal ou une idée. Comme création, il exprime notre part de subjective, quand la science cherche l’objectivité. Il peut être concret, quand il cherche à imiter le réel, ou abstrait quand il invente des formes libres. On se demandera alors si l’art est un dévoilement de la réalité. Dans un premier temps, nous verrons en quoi

les autres artisans, sans rien maîtriser de leur art. Et si il est bon peintre, il trompera les enfants et les gens qui n’ont pas toutes leurs facultés (…) parce que ce dessin leur semblera le menuisier réel. » Platon situe ainsi l’art du côté du « non savoir » car il s’agit d’une imitation du réel ; l’imitation est immanquablement défectueuse, et l’œuvre qui en ressort, n’est que la représentation d’une imitation défectueuse : elle ne peut donc nous offrir aucune connaissances. Ainsi, dans « La