Implantation Mattel

L’objectif général de Mattel® est la vente massive de son produit phare : la poupée Barbie. Pour cela l’entreprise va développer toute une stratégie qu’elle saura adapter au fil du temps aux modes et à l’évolution de la société. Elle va se faire connaître dans le monde grâce à des implantations stratégiques, à la publicité, à des techniques commerciales ou de ventes. Elle va permettre à Barbie d’avoir une vie sociale équivalente à celle d'une personne. Mattel® va tout entreprendre pour développer

3) Les stratégies mises en oeuvre OBJECTIF GENERAL DE L'ENTREPRISE MATTEL : La vente massive de son produit phare : la poupée Barbie. L'entreprise developpe donc une stratégie adaptée au temps, aux modes et à l'évolution constante de la société Par exemple : Se faire connaitre dans le monde entier, grâce à des implantations stratégiques; avec une structure très forte aux USA ainsi qu’au Japon puis dans le reste du Sud-Est asiatique et enfin en Europe Développer la poupée et en faire un

très peu d’un pays à l’autre. L’Amérique du Nord, l’Europe de l’Ouest et l’Asie du Sud-Est absorbaient chacune environ un tiers du marché mondial. Les dix premiers fabricants mondiaux contrôlaient 70 % du marché total, avec à leur tête les Américains Mattel (5 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2003) et Hasbro (3,1 milliards), et le Japonais Bandai (1,8 milliard). Le seul Européen présent dans ce palmarès était le groupe familial danois LEGO® (1,1 milliard d’euros de chiffre d’affaires), qui

peu d'un pays à l'autre. L'Amérique du Nord, l'Europe de l'Ouest et l'Asie du Sud-Est absorbaient chacune environ un tiers du marché mondial. Les dix premiers fabricants mondiaux contrôlaient 70 % du marché total, avec à leur tête les Américains Mattel (5 milliards de dollars de chiffre d'affaires en 2003) et Hasbro (3,1 milliards), et le Japonais Bandai (1,8 milliard). Le seul Européen présent dans ce palmarès était le groupe familial danois LEGO (1,1 milliard d'euros de chiffre d'affaires), qui

ligne avec les comportement d’achat des clients ». En clair, les fournisseurs et les distributeurs planchent de concert sur l’observation des habitudes de consommation de M. Tout-le-Monde et échangent leurs informations dans le but d’optimiser les implantations dans les magasins, de bâtir les meilleurs plans merchandising, de concevoir les promotions les plus efficaces, etc. DESSINER LES CONTOURS D’UN UNIVERS DE CONSOMMATION Comme l’explique Thibault Le Carpentier, « en étudiant les gestes et les

l’Ouest et Asie du Sud-Est absorbent chacune un peu moins 1/3 du marché | | |mondial ; | | |MATTEL (5,5 milliards d'euros de chiffre d’affaires) et HASBRO (4,2 milliards) : leaders américains | | |des fabricants mondiaux ; | |

est un commerce mixte car elle possède des succursales et des franchises. Implantation internationale : Depuis quelques années, l’enseigne connaît un développement massif ce qui l’amène à s’implanter au niveau international. Ainsi, La Grande Récrée possède depuis 2002 des enseignes en Belgique (14), au Maroc (7), en Suisse (4) et en Espagne (9). (Voir annexe 2) Implantation nationale : au niveau de son implantation nationale, La Grande Récré comptabilise 210 magasins en France et dans les DOM

entreprises doivent respecter. Cependant, les pouvoirs publics chinois n’ont pas les moyens nécessaires pour contrôle toutes les exportations. Ils ne peuvent donc pas assurer correctement les réglementations. Cela peut avoir de lourdes conséquences comme Mattel qui a été forcé de rappeler plus de 18 millions de jouets dût à l’utilisation de produits dangereux (peinture au plomb). ▪ L’amélioration des conditions de travail et des salaires en Chine. La Chine fait de gros effort pour améliorer les conditions

décennies de croissance, Lego encaisse l'apparition des jeux vidéo, la vogue des licences dans le monde du jouet... L'entreprise familiale tente de s'adapter pour ne pas se laisser distancer par les géants américains Hasbro (Pokémon, Action Man...) et Mattel (Barbie...). Mais les problèmes subsistent. En 2000, les comptes ont ainsi été plombés par 800 millions de francs (122 millions d’euros) de pertes. Le chiffre d'affaires a baissé de 5 %. Début 2001, un nouveau plan est annoncé avec 500 suppressions

décennies de croissance, Lego encaisse l'apparition des jeux vidéo, la vogue des licences dans le monde du jouet... L'entreprise familiale tente de s'adapter pour ne pas se laisser distancer par les géants américains Hasbro (Pokémon, Action Man...) et Mattel (Barbie...). Mais les problèmes subsistent. En 2000, les comptes ont ainsi été plombés par 800 millions de francs (122 millions d’euros) de pertes. Le chiffre d'affaires a baissé de 5 %. Début 2001, un nouveau plan est annoncé avec 500 suppressions