Indéterminisme

complexes. Les systèmes n'existent qu'avec l'environnement= évolution . Transformation durent le temps des unités ontogenèse(histoire des organismes) Organismes= change/ propriétés intrinsèques mais dépendantes en partie des environnements. Indéterminisme sur ce qu'est l'organisme à son point de départ. \-> sur ce que donnera l'individu = selon l'environnement dans lequel il se développe Développement de l'homme est diffèrent de celui des grenouilles ou des mouches car on retrouve un métamorphose

pr autant a jjeté aux ortis car la nopivelle conception de la connaissance pas fondé sur l identité de deux valeurs mais sur equivalence d un certian nombres des résulats . ces resulats qui sont pas uniques sont parfaitement déterminé. Pas d indéterminisme determinisme plus subtile Mathematique elle meme : n implique pas un certain déterminisme Ce qui ets plus générale= choses equivalentes Si on y refléchie : objectivité de la physique Les gens sont capables de se mettre d accord sur tel ou

traversent les siècles en défiant la raison humaine: Note sur le processus subtil de co-création: Il ne s'agit pas d'une création directe par des êtres, car l'univers se crée tout seul et de façon mécanique. Cependant, compte tenu de son indéterminisme, ce n'est pas un seul univers mais une infinité d'univers parallèles qui se créent ainsi automatiquement dans le futur. La fonction de chaque être - observateur ou capteur - de l'univers est de contribuer à choisir pour ce futur l'unique réalité

chemin de lectures possibles de ce qui est inscrit dans l’éternité ? REDACTION DE LA TROISIEME PARTIE : III – La liberté créatrice part des limites du savoir pour ouvrir de nouveaux domaines de conscience. A – Le savoir nous découvre un indéterminisme fondamental qui confirme nos interrogations. La science précisément ne postule plus un déterminisme radical où chaque position des corps est déterminé en fonction du temps. En fait les équations newtonniennes quand elles mettent en jeu un systèmes

nient la présence du néant dans l'homme et, ainsi, travaillent à sa réification. La vérité, si l'existence n'est pas déterminée et s'il n'est aucun Dieu pour avoir créé l'univers, c'est que le monde tout entier baigne, si l'on peut dire, dans l'« indéterminisme ». Non seulement l'existence humaine n'a pas de sens déterminé a priori (de sorte que l'être humain doit donner par et pour lui-même un sens à sa vie), mais le monde dans lequel nous vivons est de part en part contingent au sens où il aurait aussi

aux forces (destin)  il est libre. La conscience de soi est la condition même de la liberté= choisir. Philosophie de Kant reste une philosophe de la liberté qui va permettre à l’homme de se détacher de déterminisme (forme de destinée). Indéterminisme = être libre (Dieu n’est pas la seule explication de l’Univers) = s’arracher de la nature = autonomie morale et intellectuelle (qui se gouverne par ses propres règles). La conscience de soi est la condition même de la liberté, du choix. Un haut

* Pensées ouvertes (système « ouvert ») principe d’Einstein (il suffit d’un contre-exemple pour invalider une théorie). Tenter de réfuter nos connaissances C’est deux pensées ont un rôle et une place de critique. Remarque : RM incertaine (indéterminisme). Durée des théories limitées, « l’avenir est ouvert », utilise les théories Darwin Réfutation Réfutation Corroboration (provisoire) Corroboration (provisoire) * Théories non encore réfutées -> théorie existantes * Observations

[[perception extra-sensorielle]] ». Plusieurs savants, dont [[Olivier Costa de Beauregard]] lors du fameux colloque ''Science et conscience'' à Cordoue en 1979, cherchent du côté de la [[physique quantique]]. Ils retiennent du quantisme son indéterminisme, l'interaction entre observateur et observé ([[Principe d'incertitude|relations d'incertitude]] de Heisenberg), le [[paradoxe EPR]] (Einstein, Podolski, Rosen, 1935). Selon [[Rupert Sheldrake]], l’esprit ne s’identifie pas avec le cerveau, mais

métaphysique évolutionniste ne pouvait que renforcer. Métaphysique des trois mondes Au contraire des néo-positivistes du Cercle de Vienne, Popper n'oppose pas la science à la métaphysique. Il a lui-même élaboré une métaphysique mêlant réalisme, indéterminisme et évolutionnisme. Au cœur de cette métaphysique poppérienne, on trouve « la théorie des Mondes 1, 2 et 3 » : Le « Monde 1 » est celui des phénomènes physico-chimiques. « Par « Monde 1 », j'entends ce qui, d'habitude, est appelé le monde

cause première, sauf que nous ne connaissons pas cette cause première, il y a alors un « trou » au niveau de la connaissance de la réalité…nous sommes ici dans l’idée que finalement la nature n’est peut-être pas déterminée. Et cet indéterminisme se retrouve avec l’idée que des phénomènes avec des propriétés nouvelles apparaissent constamment, et que donc s’il y a du nouveau, c’est qu’un effet est un peu plus que sa cause, et s’il est un peu plus que sa cause, c’est qu’il est partiellement