Indiana I 6 George Sand

d’alchimie  »1,  des née  à  s’approprier  une  apparence  nouvelle,  un  caractère  différent.  Dès  lors,  « masquer  c’est,  dans  une  inten on  bien  définie, me re  ELYSSA REBAÏ Université Clermont Auvergne La poétique du masque dans L’Uscoque de George Sand 1 F. Traore, « Le masque, enjeu de la dissimula on dans le roman français »,  [dans  :] Acta  Iassesnsya Compara onis, 2011, no 9. Disponible sur  inter

l’unité mouvante d’un ensemble multiforme en voie de métamorphose. La domination du décor, c’est-à-dire la soumission de la fonction au décor, la substitution à la structure d’un réseau d’apparences fuyantes, d’un jeu d’illusions. Le grand Cyrus de Georges et Madeleine de Scudéry L’Astrée d’Honoré d’Urfé  Zayde de Madame de Lafayette Histoire comique de Francion + Nouvelles françoises + Le Berger extravagant de Charles Sorel Virgile travesti + Le Roman comique de Paul Scarron Histoire comique des

afin d'abolir l'oppression dont les femmes seraient victimes au quotidien. Le féminisme est principalement soutenue par des femmes bien qu'il soit également défendu par des hommes. I- Les contrastes de l’éducation des filles selon les milieux sociaux. {text:soft-page-break} A- La bourgeoisie de George Sand. Puis sous la Restauration on distingue d’une part les institutions et pension de demoiselles, dirigées par des maîtresses laïques et les cours privées dirigés pour la plupart des hommes

description, caractéristiques de la nouvelle : chute et indices de lecture rétrospectifs. Rédiger une synthèse : un décor urbain ; une humanité médiocre ; un sentiment d’échec et de désillusion  Lecture comparée d’un texte romantique (ex : Indiana, George Sand) ou d’une parodie du romantisme (Madame Bovary, Flaubert). Rapprochements avec l’héroïne de Maupassant : notion de « corpus ». Séances 3 et 4 : L’écriture réaliste ou « le rêve d’un monde plein » (P. Dufour) : la description comme accès

baissé sous la nappe pour ramasser sa fourchette, que les jambes de sa maîtresse, dont il était sincèrement épris, et de son ami intime, étaient «croisées et entrelacées». Bouleversé, il la quitta, provoqua son ami en duel, fut blessé (chapitres 3, 4, 5, 6, 7). Vivant douloureusement cette épreuve, ressentant un immense désespoir, et ne parvenant ni à oublier ni à surmonter cette trahison, il renonça au monde. Mais il confesse qu’il ne pouvait que «penser continuellement aux femmes», que rien, ni le retour

questions began to surface, and through that pattern and questioning the contentious debate over modern cinema emerged. At first, I had no conceptual framework to sustain the relationship between the cinematic works of Pasolini and Debord, except for their uncanny similarities in arguing that the modern “spectacle” was a social technology of “false progress.” As I delved further into their theoretical and cinematic works, however, a tension of disputes ensued, a tension that held the cinema as

ramasser sa fourchette, que les jambes de sa maîtresse, dont il était sincèrement épris, et de son ami intime, étaient « croisées et entrelacées ». Bouleversé, il la quitta, provoqua son ami en duel, fut blessé (chapitres 3, 4, 5, 6, 7). Vivant douloureusement cette épreuve, ressentant un immense désespoir, et ne parvenant ni à oublier ni à surmonter cette trahison, il renonça au monde. Mais il confesse qu’il ne pouvait que « penser continuellement aux femmes

les personnages. Enfin, nous traiterons la fonction proleptique de l'incipit. I- L'incipit: introduction de la modernité. A) Une rareté de l'information détaillée... Dès la première phrase, présence d'informations extrêmements abstraites, donc imprécises. Ex: "certaines circonstances", "moments", "la cérémonie". Au long des premières lignes, le vocabulaire est dépourvu de référent matériel: "un cadre admirable" (l.6), "les accessoires" (l. 7). Le lecteur ne peut connaître la nature des "circonstances"

Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t’aime. La vérité c’est ce qu’on croit En la nature c’est toi-même. ------------------------------------------------- George Sand 4 Le poème « À aurore » a été écrit par George Sand, de son vrai nom Aurore Dupin, c’est une écrivaine née le 05 Juillet 1804 à Paris. Elle est la fille d'un officier des armées impériales et d'une ouvrière en modes; le sentiment

physique. (laideur / beauté ) L'auteur donne un effet d'attente et de séduction pour une préparation à la première rencontre. Il représente ici une femme composée d'un mélange exotique et bourgeois, ce qui choque. Le rapport de Frédéric au Monde I. Situation 1869: publication “héros de la médiocrité”: personnages communs où le lecteur s’identifie incapacité du héros de réagir (Sartre, Camus) Frédéric après 2 défaites (Mme Arnoux-examens) sort pour se débarasser de lui meme II. Plan