Indignation

notion de richesse qui fait la différence et non la classe social/ les bourgeois sont rabaissé avec l'adjectif « simples » (l.5) ANTITHSE SUR LA NOURRITURE. -hyperbole « en un seul morceau la nourriture de cent familles » (l.6/7) II-Indignation d'un homme de cœur a)la charité révoltée. EVOLUTION DU SENTIMENT. -dès le 1ère ligne « saisissent le cœur » = réaction physique.

intervient pour donner son avis. Elle est écrite comme une pièce de théâtre en 5 parties (1er acte, intervention du narrateur, 2ème acte, 3ème acte, moral) Plan I/ Une fable animée 1.Présence d'un conteur (vers 17 à 23)  La Fontaine explique son indignation, il assimile les courtisans à des animaux (caméléon/ Singe : insulte) Plonge le lecteur dans le texte 2.Discours direct (acte 2 et 3, vers 24 à 51) Les lecteurs changent de voix pour imiter Variation discours direct/rapporté : fable fluide Coup

attentats, le but de ce chant est de montrer la haine qu'il avait contre les terroristes, l'oeuvre est interprèté dans le contexte de liberté d'expression Jean Baptiste Bullet, jeune musicien français, chante sa colère, sa révolte et témoigne son indignation. Âgé de 25 ans, il n'est pas musicien de profession, il a fait des études notariales. Ce n'est que récemment qu'il décide de se consacrer à la musique. C'est d'ailleurs en réagissant à chaud face aux informations du jeudi 7 janvier, qu'il a composé

de raisonnement de son destinataire, il s'appuie donc sur des arguments rationnels. En revanche, persuader consiste avant tout à agir sur les sentiments du destinataire à l'aide de faits ou d'arguments qui visent à susciter l'émotion ( colère, indignation, pitié, enthousiasme... ) afin d'obtenir l'adhésion de l'interlocuteur. Cette démarche peut même conduire à utiliser des arguments discutables ou à recourir à l'hyperbole, aux exclamations, aux questions oratoires et aux champs lexicaux des sentiments

une caricature. Voltaire, Olympe de Gouges et Plantu sont impliqués et font de leur argumentation l’expression de leur avis personnel. De nombreux modalisateurs sont utilisés dans les textes deVoltaire et de Olympe de Gouges qui montrent leur indignation face à la condition de la femme (« pour comble » l6 TA, « opprimer mon sexe » l4 TB). De plus leur implication est visible à travers lesmarques de l’énonciation (« je sois sujette » l4 TA ; « Dis moi » l3 TB) ainsi que l’utilisation du pronom «

point de vue distant et critique sur les actions des hommes. En même temps, il est intéressant de voir que la masque de la folie derrière lequel se tient l’auteur semble s’effacer à la fin du texte pour laisser entendre la voix de l’auteur et son indignation, car lorsqu’il utilise un registre polémique et marque l’implication du narrateur, nous sommes en droit de nous demander si le narrateur est toujours la folie ici : « Et de pareilles folies, si folles qu’elle me font presque honte, sont approuvées

Je sais que je ne suis certainement pas la seule, mais j'avais envie d'écrire mon indignation du moment... Choquée qu'en 2009, en France, on puisse encore crever de froid dehors, choquée qu'un gamin de 12 ans puisse se faire abattre en pleine rue, choquée (et pourtant je le trouve infâme) qu'on puisse frapper un président à la vue de tous, choquée que des hauts placés puissent se plaindre de leurs conditions de travail alors que de plus en plus de gens sont obligés d'avoir deux boulots pour boucler

une caricature. Voltaire, Olympe de Gouges et Plantu sont impliqués et font de leur argumentation l’expression de leur avis personnel. De nombreux modalisateurs sont utilisés dans les textes de Voltaire et de Olympe de Gouges qui montrent leur indignation face à la condition de la femme (« pour comble » l6 TA, « opprimer mon sexe » l4 TB). De plus leur implication est visible à travers les marques de l’énonciation (« je sois sujette » l4 TA ; « Dis moi » l3 TB) ainsi que l’utilisation du pronom «

elle travaille beaucoup, la nourriture est infâme, les autres vendeuses ne l’aiment pas. Elle est assidue au travail et malgré les conditions misérables des vendeuses, elle mène sa tâche à bien, ne se plaignant jamais, poursuivant son but sans indignation et malgré les obstacles. Elle arrive donc, à la fin du livre, à devenir seconde, puis première de rayon, elle qui au début était le bouc-émissaire de ses collègues. Suite à plusieurs péripéties (renvois, revient, ..), Denise arrive peut à peut

voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe ». Noter que l’on pourrait remplacer les temporelles par des subordonnées causales, ce qui serait bien exprimer la logique terrible des sévices infligés aux esclaves. L’emploi des temporelles gomme toute indignation ou prise de parti : elles n’expriment qu’un simple constat, complété par l’affirmation exempte de toute émotion : « je me suis trouvé dans les deux cas », qui n’exprime la situation pathétique de l’esclave que comme le résultat d’un concours de