Indignation

argumentation directe vise aussi à persuader, grâce à toutes les ressources de la modalisation. La persuasion consiste avant tout à agir sur les sentiments du destinataire, à l'aide de faits ou d'arguments qui visent à susciter l'émotion (colère, indignation, pitié, enthousiasme...) afin d'obtenir l'adhésion de l'interlocuteur. Cette démarche peut même conduire à utiliser des arguments discutable, comme le fait le procureur dans l'Etranger quand il recourt à la mauvaise foi pour faire condamner Meursault

se trouvaient deux princes du sang royal, le duc de Chartres qui fut roi sous le nom de Louis-Philippe et le duc de Montpensier. Ils firent bravement leur devoir, prouvant avant tout qu' ils étaient Français. Les émigrés en conçurent une grande indignation et beaucoup d' étonnement. Louis-Philippe leur réservait dans l' avenir des surprises plus importantes encore. Un des peintres les plus illustres et les plus féconds du dix-neuvième siècle, Horace Vernet, a fixé le souvenir de ce mémorable événement

paraît comme un spectateur attentif et neutre. Cependant, il est de même un spectateur engagé. Son engagement est traduit par son indignation. Le comportement de certains de ses contemporains suscite chez l’auteur de vives réactions, et l’indignation perce souvent derrière ses observations. On constate que l’auteur ne cache pas ses émotions, et dénonce avec indignation la supériorité de l’argent sur la vertu. ( voir partie “ l’Argent” ) Ainsi, son engagement est renforcé par les fermes prises de positions

points d’exclamations. Et l’article vocatif « Ô », l’adjectifs « infâmes », « étouffants », « insensée », « mauvais », et surtout « maudit », montre bien son indignation par rapport au travail de ces jeunes enfants. Il y a plein de détail implicite qui montre que Victor Hugo s’implique beaucoup quand cet œuvre et qui montre son indignation et sa colère. Par ailleurs, Hugo fait appel aux émotions du lecteur, à ses sentiments  (persuasion). Il cherche à nous faire ressentir de la pitié en utilisant

les dépeindre b) Emploi d'un lexique imagé, d'un rythme énergique et de formules saisissantes. Les métaphores, les hyperboles, et d'autres figures de style sont destinées à frapper l'imagination du lecteur et à susciter son émotion et son indignation

dénoncer un adversaire en cherchant à le discréditer (marques de la première personne, procédé de dévalorisation (métaphores dépréciatives, antiphrases ironiques), procédés d’insistance (anaphores accumulation), apostrophes, lexique de l’émotion (indignation, surprise)). - Satirique : Se moquer, dénoncer les défauts des autres par le rire (antiphrases, caricature : figures de l’exagération (hyperboles…), naïveté feinte ou éloge paradoxale, allusions et sous-entendus). - Didactique : instruire, transmettre

violence envers les femmes", D&G ont finalement décidé de retirer leur image partout dans le monde. Cependant, ces publicités ne sont pas toujours interdites. Nous pouvons conclure que la publicité de celle-ci et une véritable indignation se faisant ressentir par les femmes. N’est ce pas par l’absence d’autorité que ces diffusions de représentations choquantes ont lieu ? Pourtant des organisations de lutte existent et se battent pour le respect et la dignité de la femme.

la foule des courtisans » dans le texte B. La Fontaine adresse ses critiques aussi bien au roi lui-même, qu’il juge aisé à berner par la flatterie (v.52-55 : « Amusez les Roispar des songes, Flattez-les, payez-les d’agréables mensonges : Quelque indignation dont leur cœur soit rempli, Ils goberont l’appât, vous serez leur ami »), qu’aux courtisans eux-mêmes, à la fois perçuscomme possédés par des réactions grégaires, tels des pantins, des « ressorts » privés de volonté propre. Il leur reproche donc

canon » → « mousqueterie » → « baillonette » (gradation : combat à distance → combat au corps a corps) • Référence aux victimes civiles : « cervelles répandues », « bras et jambes coupés » (= termes crus, macabres) PATHETIQUE : • Suscite indignation + pitié : « criblés », « égorgés » , « éventrés », « brûlés », « mourir » • Scène rendue vivante : Ouïe (« criait qu'on achevât ... ») + vue (« ici », « là ») II] Une arme de persuasion, l'ironie A) Ironie pour discréditer les combattants

nature a émouvoir le lecteur,bouleversé par le sort du cheval,registre pathétique. Un sort tracé d'avance par la sottise et la cruauté d'un individu. les efforts du cheval puis sa résignation son tragique. Le lecteur ne peut dont plus contenir son indignation devant un telle barbarie. Le conteur amène ainsi le lecteur porter un regard pour le moins pessimiste sur les abîmes effrayants du cœur humain capable du pire. Et si il se comporte ainsi a l'egard de l'animal,rien n’empêche l’être humain de faire