Indignation

humains très variés : la joie, la douleur, l’amour… Mais peut-on dès lors considérer qu’émouvoir est la fonction essentielle de la poésie ? La poésie par son impact sur son auditeur n’a-t-elle pas aussi permis a des poètes engagés d’exprimer leur indignation, leur colère, a des poètes d’exprimer l’idéal artistique recherché par la poésie, … ? En examinant l’histoire de la poésie nous pouvons nous apercevoir que celle-ci détient de nombreuses fonctions dont celle d’émouvoir. Sans négliger cette fonction

connotée « ces malheureux », qui trouvera un écho avec l’utilisation de « ces infortunés », dont l’effet est amplifié par l’usage de déterminants démonstratifs qui semblent nous donner à voir la misère de ces esclaves. Dès la seconde phrase, cette indignation devient explicite, l’auteur souligne à quel point rien ne peut justifier la pratique d’une telle barbarie puisqu’elle va à l’encontre de notre culture comme de notre nature, comme le montre l’énumération suivante : « qui viole la religion, la morale

les mêmes erreurs que celle qu’elles ont subies auparavant ceci dut a une absence de prise de conscience (Seconde Guerre Mondiale : génocide des juifs). L’ancien résistant français justifie le terrorisme qui se présente comme un motif même d’une indignation. Il exprime le fait qu’on peut le comprendre ce qui ne veut pas dire obligatoirement l’accepter. II./ Un « appel » à s’indigner. 1) Prise de conscience des injustices. Pour S.Hessel il ne faut pas rester impartial quand l’injustice est flagrante

encore le simple enrichissement de quelques personnes. Indignation de l'auteur : L'auteur poursuit sa dénonciation de l'esclavage dans son attitude inhumaine et immorale. Il porte l'accent sur le côté lucratif du commerce des esclaves. Achat,vente,négoce, marchandise, commerce, propriétaire autant d'expression qui ne peuvent être acceptées pour des comportements insoutenables Dans le premier paragraphe l'auteur exprime toute son indignation face à la pratique de l'esclavage. Il souligne la situation

Adèle Foti 21/101GEN2COMMENTAIRE LITTÉRAIRE Jean-Claude Grumberg, extrait de L’Atelier Une pièce de théâtre est une œuvre littéraire destinée à être jouée sur une scène et devant des spectateurs. Jean-Claude Grumberg est un dramaturge, scénariste et écrivain français contemporain. Avant de devenir écrivain, Jean-Claude Grumberg a été tailleur, il reprend d’ailleurs l’environnement qu’il a connu en exerçant ce métier pour mettre en scène sa pièce de théâtre « L’Atelier » (1979). Lors de la Seconde

ne pas provoquer des interruptions dans le rythme. Le poète utilise donc au long du texte des formes qui indiquent sa liberté, et il exprime également au long du texte son indignation et son engagement. L'indignation et l'engagement du poète Nous remarquons également au long du poème que Claude Roy exprime son indignation à propos de l’ensemble des souffrances puis des injustices dans le monde ; il évoque au vers 2 les personnes sans sommeil ni abri, au vers 4 les personnes qui meurent sans

l’assistance publique ». Nous pourrons alors nous demander en quoi ce texte est un réquisitoire contre la misère et contre l’incapacité des parlementaires. La lecture analyse débutera avec l’implication de Victor Hugo, les traces de sa colère et de son indignation, et finira sur sa volonté de persuader ses interlocuteurs. Tout d’abord, nous allons montrer la forte implication de V. Hugo dans son objectif qui est d’abolir la misère en France. L’auteur dit qu’il est « pénétré » par cette cause et qu’il

de fait : "s'indigner". Il y a quelque chose que l'on voit, que l'on entend ou bien que l'on apprend et qui n'est pas conforme à nos valeurs, à notre conception de la dignité ; - et un verbe qui nous parle d'une action qui serait liée à cette indignation. > Si je prend le verbe "pouvoir" dans le sens "avoir capacité à", c'est à dire "est ce que j'ai capacité à m'indigner et ne rien faire" alors je répond oui sans aucun doute : tous, autant que nous sommes avons déjà été indignés et n'avons rien

à travers des phrases non verbales exclamatives « Ingrat ! », « Ah cruel ! » et « Hélas ! ». Les points d’exclamations marquent une agressivité et une certaine indignation de la part de Bérénice. Elle montre également son exaspération, à l’aide de la répétition du verbe « retournez » qui est à l’impératif. Mais aussi, son indignation grâce à des phrases non verbales interrogatives, « Quoi ? » et « Et pourquoi ? ». La ponctuation expressive, dans ce cas-ci les points d’interrogation, ont une grande

gravité des massacres des indiens et la nécessité d’agir rapidement. ▪ L’anaphore « j’ai vu » p53 met en relief le fait que c’est un témoin des crimes ▪ Les phrases exclamatives « on saisit des enfants par les pieds… » p52 montre son indignation ▪ L’accumulation p52 « on les mets sur le gril, on les noie, on les jette à des chiens... » dénonce le comportement des espagnols     B. Il dénonce pour faire réagir   ▪ Met en avant la soif d’or des espagnols par l’anaphore « de l’or »