Inflation Et Anticipation

une période de plein emploi + croissance + inflation. Dans les années 80, l’inflation demeure et le chômage explose, tandis que dans les années 90, l’inflation baisse à 2% (désinflation).  La stagflation : période de croissance économique faible avec de l’inflation (fin 1980)  La déflation : baisse générale et durable des prix (inflation négative) Début 2009, la France a connue sur plusieurs mois une période de déflation. Spéculer : Anticipation du cours d’un bien Globalement, c’est l’ensemble

titres toxiques, faible recours du système bancaire au marché financier international, faible proportion de l’endettement en devise (environ 20%)) Au cours des cinq dernières années (un taux de croissance annuel moyen de plus de 5%, une inflation maîtrisée (3%), un déficit budgétaire ne dépassant pas les 3%, un compte courant de la balance des paiements excédentaire depuis 2001 jusqu’en 2007) impact de La crise sur L’économie marocaine Le Maroc commence à être impacté par la crise

résorber l'offre excédentaire. Les théoriciens des anticipations rationnelles ont démontré que ces politiques ne pouvaient avoir d'effet que si elles réussissaient à tromper les agents économiques sur les effets qu'elles auraient, notamment sur les taux d'intérêt et les salaires réels — et cela indépendamment de leurs conceptions parfois irréalistes de l'incertitude[1]. C'est dans les années 1970 que le problème de la « stagflation » — une inflation croissante sans réduction du chômage, conjonction

nous ferons une hypothèse : tous ces indices sont égaux pour la période de références et surtout, au cours de la période décrite par le modèle, ils évoluent tous de la même façon. Cette hypothèse peut paraître très forte. Elle signifie que s’il y a inflation, le taux d’inflation est le même pour C, I, G, et donc pour Q = C + I + G. Nous faisons cette hypothèse parce que cela nous permet de considérer qu’un seul marché des biens. Sinon il faudrait en considérer trois. Ceci compliquerait inutilement le

d'intérêt faibles (tx d’i) sont-ils une condition de la croissance économique ? II Mais des taux d’i faibles ne suffisent pas : l’ ↑du PIB dépend aussi A de la demande effective et donc du revenu des ménage, de leur propension à consommer et des anticipations des entrepreneurs. B du facteur travail (degré de qualification et organisation du travail efficace) et des politiques économiques de relance ou de rigueur I ↓tx d’i réels ⇒↑du PIB A : Au niveau macro économique ⇒ ↓du cout du crédit ⇒↑ de C

involontaire(n’existe pas pour C). -Niveau réel de l’emploi dépend de la production qui dépend elle même de la demande effective. La demande attendue par production=demande sur laquelle il table pour établir leur projet de production. Elle dépend donc des anticipation, c'est-à-dire de la confiance des ménages, des innovation. La demande effective détermine le niveau d’emploi et il n’y a aucune raison qu’il correspond au plein emploi. L’Etat doit intervenir dans l’éco. -Multiplicateur d’It ou de dépenses publiques

engagement En l’absence d’engagement, la banque centrale n’annonce rien. A anticipations d’inflation π e donnés, le choix d’inflation effectif est celui qui maximise l’utilité int stantanée : 1 max ut πt ¶ µ aπ2 t = yt − 2 = y + b (π t − n πe) t aπ 2 − t 2 ⇒ a ∂ut = b − 2 πt = 0 ∂π t 2 b ⇒ πt = a On remarquera en particulier que l’inflation choisie par les autorités est indépendante des anticipations. Comme les ménages connaissent les préférences des autorités monétaires, ils

d’emprunteurs au détriment d’autres classes (voire clientélisme) -épargne faible, car taux d'intérêt réels négatifs sur les dépôts (taux d’intérêt bas et inflation), ce qui réduit le potentiel d’autofinancement et limite les projets d’investissement -instabilité monétaire de l’économie domestique, car illiquidité des firmes, inflation et peu d’alternatives, comme l’accès aux marchés extérieurs ou les investissements en provenance du RDM. Libéralisation : Règle des 3 D (Bourguinat) -Déréglementation :

 1 . Les grandeurs macro : un tour d'horizon a . Definition et objectifs Politique macroéconomique -Objectifs : Croissance économq élevé et durable Chômage faible Inflation faible -Moyens : Politique budgétaire ( agir directement sur acté économique ) Politique monétaire : Mario Draghi , agit sur la qtté de monnaie en circulation → impacte sur le tx d'interet - 2 Théoriciens majeurs : Solow (LT) Keynes (CT) Croissance économique ? Croissance du PIB REEL d'un année sur

Changements Structurels Partie III : Essais Empiriques sur la Courbe Néo-Keynésienne de Phillips Chapitre 5 : Régime Monétaire & Stabilité des Paramètres de la Courbe de Phillips Hybride Chapitre 6 : Résolution des Modèles Multivariés à Anticipations Rationnelles & Estimation Structurelle d’un Modèle Néo-Keynésien Général Conclusion Générale Bibliographie Générale Table des Matières Remerciements À l’heure où ce travail de thèse se termine, je suis heureux de pouvoir exprimer