Inhibiteur de protéase

de la pression artérielle et de l’équilibre hydro-sodé. La succession de réactions protéolytiques qui transforment l’angiotensinogène en angiotensine I (Ang I) puis angiotensine II (Ang II) dépend de plusieurs enzymes. La rénine est une aspartyl-protéase qui clive l’angiotensinogène en Ang I. L’Ang I peut être transformée en Ang II par de nombreuses enzymes1 mais en physiologie, les plus importantes sont l’enzyme de conversion de l’angiotensine (ECA) et la chymase. L’angiotensine II est le principal

partir de la structure tridimentionnelle de l’enzyme : inhibiteurs de protéase Multiplication Virale 1 2 3 4 Cibles de la Chimiothérapie Antivirale 5 1: attachement 2: pénétration 3: décapsiation 4: réplication 5: assemblage g 6: libération 6 Cibles des antiviraux I - Attachement Inhibiteurs d’entrée du VIH II - Libération dans le cytoplasme Amantadine - Rimantadine III - Réplication 1-Analogues de nucléosides/tidiques 2-Inhibiteurs non nucléosidiques de la RT du VIH 3-Analogues de

(un seul brin en double exemplaire) et d’enzymes : - La transcriptase inverse qui transcrit l’ARN viral en ADN viral. Le VIH appartient donc à la catégorie des rétrovirus. - L’intégrase qui intègre l’ADN viral à l’ADN cellulaire. - La protéase qui rompt les précurseurs pour obtenir les protéines virales.   b. Lors de la pénétration Dans l’organisme, le VIH s’attaque à deux populations de cellules qui interviennent dans le système immunitaire, possédant toutes sur leur membrane

sévère et prévenir la transmission sexuelle du VIH (car à cette phase le risque est élevé). La trithérapie associe un inhibiteur de protéase potentialisé par le Ritonavir, prescrite pendant 18à 24 mois jusqu'au retour à des CD4 > à 500/mm3. Spécifique au VIH chez le séropositif : -Les inhibiteurs de la transcriptase inverse -Les inhibiteurs des protéases -Les inhibiteurs de l'attachement, anti-intégrases, de la transcription. Le protocole de multithérapies ayant modifié de manière considérable

autres rétrovirus, on détermine 3 gènes principaux qui constituent la molécule d’ARN des VIH : - le gène gag code pour les protéines de la capside et du core (p13, p18, p24), le gène pol code pour les enzymes : transcriptase inverse, intégrase et protéase, le gène env code pour les protéines d’enveloppe (gp 41, gp 120, gp 160). Il existe également d’autres gènes : tat, rev ayant un rôle révélateur, vif, nef, vpr et vpx dont les rôles sont moins connus ; le gène nef paraît tout de même le plus

PLUSIEURS TYPES DE DÉGRADATIONS PROTÉIQUES  1. Protéases  2. Protéolyse dans  3. Ubiquitine‐Protéasome (ATP dépendant) le Lysosome: extracellulaires Pour commencer la digestion des protéines assimilées 4. Autres protéases  cellulaires petits organites contenant plusieurs protéases Petite protéine ubiquitaire (absente chez les procaryotes) Les protéases en général catalysent le clivage par hydrolyse de la liaison peptidique  entre deux acides aminés: Liaison peptidique Hydrolyse 9 2.1. DES PROTÉASES EXTRACELLULAIRES DIGÈRENT LES 

ddrraammee ddee 11991155 Une moutarde azotée eenn tthhéérraappeeuuttiiiqquue Mméécchhlloorréétthhaammiinnee VIH : 1981 _ 1987 : aucun medicament La protéase du VIH 1981 SIDA 1983 VIH 1985-87 INTI 1988 structure homodimérique de la protéase (Nancy KOHL) 1990 Site actif de l’enzyme (Noel A. ROBERTS) 1990 Structure optimisée d’un inhibiteur (John W. ERICKSON) 1994 Premiers essais 1996 Mise sur le marché Concept de santé publique : Le médicament contre les inégalités sociales La protection

été publié en janvier 1985.     Grâce à ce travail, il a été possible de connaître avec précision les différentes protéines qui entrent dans la composition du virus. Il en existe une douzaine. Certaines, par exemple la transcriptase inverse ou la protéase, sont les cibles des médicaments antiviraux utilisés actuellement. D'autres, comme la protéine tat, les protéines internes (gag) ou les protéines d'enveloppe (Gp 120, Gp 41), sont utilisées dans la fabrication des vaccins. Il faut cependant reconnaître

légèrement différentes dans chacune d’entre elles. * Inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI) (l'AZT ou zidovudine fait partie de cette classe de médicaments). * Inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI). * Inhibiteurs de la protéase. * Inhibiteurs de l’entrée et de la fusion. Utilisés plus tard dans la maladie, lorsque le patient a déjà pris plusieurs autres médicaments. * Inhibiteurs de l’intégrase. Utilisés plus tard dans la maladie

La voie amyloïde : chez le sujet normal  ­sécrétase CTF Dégradation ≠ formes A : pathogènes  (protéases) Elimination (BHE)  bénignes   ­sécrétase clivage séquentiel DYSFONCTIONNEMENT DU METABOLISME DE l’APP DANS LA MA La voie amyloïde : chez le sujet Alzheimer Membrane Espace  extracellulaire NH2 APP  COOH Cytoplasme  ­sécrétase La pathologie  amyloïde CTF pathogènes  Dégradation (protéases) Elimination (BHE)  bénignes   ­sécrétase clivage séquentiel De l’accumulation