Instinct

quelques mois sera le même qu’il sera pour tout le reste de sa vie et de même pour ce qui est de sa race, elle sera ainsi pour des milliers d’années. Donc, il n’y a pas vraiment de perfectionnement dans sa race. Pour l’homme, il reste toujours avec son instinct, ce qui fait que pour lui un jour il sera reperdant de vieillesse ou d’autres accidents et tout ce qui croyais être parfait lui retombera plus bas que lui-même car il a la faculté de se perfectionné de jour en jour. La deuxième différence entre l’homme

causes de la mauvaise éducation en analysant le rôle et le statut des femmes dans la société. Ensuite, on va préciser les critiques de l’éducation sexuelle et celle du corps en constatant que les mœurs de la société dénaturent les femmes, leurs instincts, leur comportement, etc., et celles de l’éducation morale, en accentuant le point de vue négatif de Laclos sur l’éducation monastique et sur les résultats nuisibles qu’elle procure. De plus, on va analyser le rôle des mères dans l’éducation de leurs

dû sortir des mains de la nature », c'est-à-dire dépouillé « de toute les facultés artificielles qu’il n’a pu acquérir que par de long progrès ».L’homme au départ n’a que ses facultés de survie, Il imite seulement le comportement animal avec ces instincts pour améliorer ces propres performances. Cela implique que l’homme utilise certaines de ces capacités naturellement comme la créativité et le jugement mais n’exploitent pas leurs facultés. Il vient au monde pour ainsi dire à l'état brut, il faut

la « puissance » de la société nommée dans le texte «  industrie » permet de devenir un individu à qui ses pensées lui sont propres ; ainsi nous voyons apparaître une prépondérance naturelle c'est-à-dire une supériorité de l’instinct naturel (ou instinct individuel) qui peut être en lien à l’instinct animal sur l’instinct dit collectif, l’instinct de la société. Tout ceci prouve bien que l’individu est d’abord individualiste plutôt qu’altruiste. Il pense à son intérêt avant de penser à celui des

animaux, eux, dispose d’un instinct, ils possèdent des dispositifs utiles à leur survie. Dans cet extrait des Deux sources de la morale et de la religion, Henri Bergson nous apprend que l’intelligence n’est peut-être pas une bonne chose pour l’Homme, en effet il est dit qu’« une double imperfection est la rançon de l’intelligence ». On peut se demander si l’intelligence de l’Homme est vraiment un outil permettant de l’adapter dans le monde, ou si l’animal, grâce à son instinct, l’est mieux que l’Homme

élèves font en effet la une des médias depuis quelques temps. Les violences urbaines sont également le sujet principal des journaux en ce moment. L'homme appartient à la nature. La question se pose ainsi de savoir si sa violence surgit de ses instincts, comme cela semble être le cas chez les animaux. Tout vivant entretient avec son environnement des relations profondément ambivalentes d'attirance et de rejet. Il s'efforce de détruire ce qui pourrait nuire à son développement. Mais aussi, il absorbe

qui veut arriver au terme de son cours, qui ne réfléchit plus, qui craint de réfléchir. 3. - Celui qui prend ici la parole n'a, au contraire, rien fait jusqu'à présent, si ce n'est réfléchir et se recueillir: en philosophe et en solitaire par instinct, qui a trouvé son avantage dans la vie en dehors, à l'écart, dans la patience, l'ajournement et le retard; tel un esprit hasardeux et téméraire qui souvent s'est égaré dans tous les labyrinthes de l'avenir, tel un oiseau prophétique qui regarde en

sens ; sa méthode, sa « cure », c’est la castration. Elle ne se demande pas : comment spiritualiser, embellir, diviniser une passion ? De tout temps, elle a placé la force de la discipline dans l’extirpation (de la sensualité, de l’orgueil, des instincts de domination, d’avarice, de vengeance). — Mais attaquer les passions à la racine, c’est attaquer la vie à la racine. La pratique de l’Église est ennemie de la vie. Le même moyen, excision, extirpation, est choisi instinctivement, dans la lutte

vraiment, ce qui est bien pour nous. Cela ne coïncide pas toujours. D’autant plus si nous nous laissons aller à agir au gré de nos passions, de nos désirs, de nos instincts : il y a de fortes chances pour que je ne fasse pas toujours ce qui est bien pour moi (cf. abus d’alcool, gourmandise, etc.). Je suis alors non libre, car assujetti à mes instincts, à mes pulsions, mes passions. Et cela n’est pas digne d’un homme : nous avons besoin de discipline, de réflexion, donc, des lois, nécessitées par le fait

de l’humanité ou toute notre psyché était animalité et prédation. Pour Jung, à coté de notre inconscient reptilien notre psyché abriterait également un besoin impératif de « reliance » avec le sacré et la spiritualité. Instinct de prédation versus instinct d’élévation. Cet instinct correspond au surhomme et à la volonté de puissance décrit par Nietzche. Qu’est-ce que notre égrégore si ce n’est la cristallisation et la mise en commun de l’élan spirituel qui anime chacun d’entre nous ? Deux questions