Instruire Et Plaire

Cette dissertation portera sur le travail de l'écriture qui ne s'avère pas si simple qu'il n'y parait. En effet "La littérature peut délivrer un message, faire réfléchir et instruire. L'écrivain pour remplir ces fonctions sait user de différentes stratégies argumentatives." C'est pourquoi, nous nous demandons, comment l'écrivain en utilisant différentes méthodes argumentatives parvient à faire raisonner le lecteur? En effet, on trouve deux grands types d'argumentation. L'argumentation directe

Candide, ou encore Fénelon avec les aventures de Télémaque et encore tant d’autres, ont tenté de nous faire rêver en nous proposant un monde imaginaire et plein de fictions tentant ainsi de nous séduire par la magie, mais au-delà de ce désir de plaire cela ne traduit-il pas leur désir de nous faire réfléchir à la réalité qui nous entoure ? Pour répondre à cette question nous allons tout d’abord voir que l’évocation de mondes éloignés capte particulièrement l’attention du lecteur et excite son

personnages, pas de roman - L’autorité des Anciens - L’imitation de la « nature » : réalité se rapprochant des normes - Le règne de la raison : pas de fantaisie - La moralité de la littérature : l’écrivain a trois objectifs : instruire, émouvoir, plaire. NB : L’honnête homme, cultivé, équilibré, soumis à son roi et respectueux de Dieu est l’idéal classique. Conclusion : Œuvre Classique = clarté, rigueur, mesure, sobriété, élégance… XVIIIe siècle : Les Lumières Définition :

argumentative peut aussi venir de la critique indirecte. L’utilisation de la fable, du conte philosophique ou encore du théâtre, présente un atout majeur d’unir deux fonctions essentielles de la littérature : plaire et instruire. Ainsi l’apologue fait appel au discours narratifs, plus vif, et donc plus apte à plaire au lecteur. De nombreuses stratégies sont déployées pour rendre vivant un récit. Ainsi, dans « Les Obsèques de la lionne », La Fontaine choisit de faire alterner discours direct et récit afin de créer

Lecture analytique de La besace, Jean de La Fontaine Au XVIIème siècle, la littérature s’efforce d’ « instruire et plaire ». Fidèle à cette devise du Classicisme, Jean de La Fontaine propose en 1668 ses premiers livres de Fables, dont il souligne dans ses préfaces l’utilité morale auprès de tous. La fable La besace  LIVRE I Fable 7 prend pour thème l’homme et son image. Comment la mise en scène d’un bestiaire permet-elle à La Fontaine de dénoncer l’amour-propre exacerbé des hommes ? Nous verrons

Une certaine vision de la réalité : les classiques, obéissant à Aristote, veulent avant toute chose instruire leurs lecteurs. Or, pour instruire, il faut décrire la vérité. C’est pourquoi le classicisme s’attache à exposer la complexité de la vie psychologique et à analyser sans complaisance les comportement des hommes. Cependant la réalité est idéalisée, du moins stylisée pour plaire et frapper les esprits. Il en résulte une apparente contradiction : mais la conformité à la réalité n’est pas

de geste, de mots, de situation…). La comédie met principalement en scène des bourgeois dont les préoccupations sont l’argent, le mariage, la dot, etc. Dans les comédies de Molière, le rire a aussi une fonction morale : docere et placere => plaire et instruire. scène : Au théâtre, le mot scène a deux sens. 1) C'est une partie d'un acte au cours de laquelle le plateau est occupé par les mêmes personnages. 2) C'est le plateau lui-même: l'espace où jouent les acteurs. Costume : Vêtement, déguisement

littéraire du proverbe : genre à la mode au XVIIIe siècle, genre mineure, essentiellement dans les salons qui se rapproche de la comédie. C'était une petite saynète improvisée, les spectateurs devaient deviner le proverbe qui était illustré. Plaire / Instruire / Faire réfléchir En quoi Badine est un proverbe ? Musset revendique le genre et le souligne dans le titre, la pièce est donc une illustration du titre. La leçon : le jeu « badiner » est dangereux : conséquence : une victime innocente et

l’excès inverse : austérité excessive qui vous « fait cesser de vivre » (Le philosophe Scythe)=>constatation que le mal règne=> fables = leçons de lucidité=> Fables philosophiques ex : « Le Vieillard et les Trois Jeunes Hommes » B.Idéal Classique a)Instruire => Enseigne des comportements, des réflexes à avoir, et surtout la méfiance Ex : Le Corbeau et le Renard (se méfier des flatteurs)Ex 2 : Le lièvre et la Tortue (« Plutôt que courir, mieux vaut partir à point »)Livre 1 : adressé à un enfant =>

-renversement du rôle du vaincu qui deviendra vainqueur. Ce n’est pas son combat, son désir de vengeance qui renversera la situation, mais le sort et l’orgueil trop grand du vainqueur. I. Une efficacité par rapport au lecteur. a) L’art de plaire. « Les deux coqs » est un récit plaisant et rythmé par la structure poétique de la fable. Le fait que le récit soit écrit en Alexandrins et Octosyllabes donne un rythme agréable au récit, par exemple : « Deux coqs vivaient en paix : une poule survint »