Intolerance Religieuse

Plan Introduction I-DOGMES 1-religion 2-philosophie II-Autorité 1-Roi 2-Gouvernent Conclusion Introduction Le XVIII siècle est un siècle de contestation social, politique, morale et religieuse dont l’encyclopédie est le symbole. Mais parmi tous les genres littéraires repris par les philosophes, comme le roman, l’assai, il en est un qui se distingue, c’est le conte philosophique inventé par voltaire. Son chef d’œuvre est candide publier

bras chargés de prix. Denis va avoir par la suite 4 sœurs et 1 frère. La plus jeune, Angélique, finira folle dans un couvent d'Ursulines ; il s'en souviendra en composant La Religieuse. Un frère enfin (1722), qui, devenu prêtre, sera le prototype de l'intolérance butée. Diderot reprendra dans l'Encyclopédie (article « Intolérance ») une lettre qu'il lui avait adressée en 1760. En septembre 1732 il joue les gratte-papiers chez un avoué, précepteur chez un banquier. Là, il s’instruit, apprend l’anglais

des chatimts. - Dénonciat° porte du non-respect de la liberté religieuse. C. la dénonciat° de l’optimisme - Obj essentiels du conte : découverte de l’arbitraire religieux, absurdité destructrice des superstit°. - C est tjrs prisonnier d’un système de pensée mais il commence à douter. Conclusion - V met sa fantaisie au service d’une violente satire de l’inquisit° par l’humour et l’ironie. - Combat incessant contre intolérance, persécut° et fanatisme religieux. - Preuve de l’omniprésence

conte philosophique est une histoire fictive, produite par l’auteur dans le but de peindre une critique de la société et du pouvoir, le plus souvent fustigée dans toutes ses dimensions (moeurs de vie mondaine/rurale, pouvoir politique, arts, intolérance religieuse). Ce texte est rédigé en s'inspirant de la structure d'un conte, dans le but de se soustraire à la censure, tout en restant compréhensible. En effet, sous le voile de la fiction se profile la plume acérée de l'auteur, constituant l'essence

ironie en « exaltant » le spectacle. L’ironie continue avec les victimes. En premier l’inquisition prépare un autodafé et par chercher les victimes. Dans la réalité ceci devra être al envers. Deuxièmement les accusations des crimes sont une simple intolérance de l’église contre une autre religion (les portugais) et la philosophie (Pangloss et Candide). Finalement l’ellipse de huit jours montre qu’aucun jugement n’a été fait ou que celui ci n’avait point d’importance. L’autodafé fini comme un grand festival

les sociétés démocratiques en tout cas, dès l'instant où ceux auxquels elle est garantie n'en usent pas au détriment de la liberté d'autrui. Analysée dans le Traité théologico-politique, où Spinoza insiste sur la nécessité d'une indépendance absolue des opinions religieuses et de leur expression par rapport à l'État, la liberté d'opinion est proclamée dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789. Et depuis près d'un siècle, elle est au cœur du principe de la laïcité* qui garantit (en particulier

au sens premier du mot : Voltaire ne fait absolument aucun cadeau à ses ennemis, et réduit leur livre sacré au néant. Pour Voltaire, l'Ancien Testament contient des atrocités qui vont à l'encontre de la morale classique, morale qui est aussi religieuse, et qui est censée être portée par l'Église : il met ici en évidence une grande contradiction entre les textes qui sont censés être lus à la lettre et l'Église qui évidemment ferme les yeux sur ces atrocités et même prône une morale qui va donc

savoir et la science sans aucune influence religieuse. Son but est de combattre l’obscurantisme. Un obscurantiste s’oppose aux progrès, il est contre l’instruction car il est plus facile d’embobiner quelqu’un qui est dans l’ignorance plutôt que quelqu’un qui connaît la situation. Les philosophes des Lumières s’opposent aussi aux privilèges de la noblesse, à l’absolutisme du pouvoir monarchique (tous les pouvoirs au roi) ainsi qu’à l’Eglise, à son intolérance et à ses pouvoirs invasifs. Ils défendent

son anniversaire, en lui offrant tous les droits d'auteur." (p.272). -pp. 282-283 : réflexions sur l'écriture du conte La Vie de Cady . C-La volonté de témoignage Dans le contexte dramatique de la guerre et de la persécution d'une communauté religieuse : les Juifs. Anne retravaille son journal après l'appel sur la BBC du ministre néerlandais de l'Education. Désir de rapporter ces événements historiques, non du point de vue spécialisé d'historiens, d'hommes politiques ou de scientifiques, mais

par plaisir. Dans cette nouvelle, l’esthétique réalisme est aussi illustré par les actions du curé. Il acheva une chienne à coups de talon lorsqu’elle mettait naissance à des petits chiots. Son acte est causé par un dérangement à base d’idéologie religieuse rejetant la sexualité, la reproduction et l’amour. Plus loin dans la nouvelle, le curé aperçut un jeune couple qui s’envoyait en l’air, il n’a sans doute pas toléré de voir ces jeunes qui s’étreignaient donc il poussa le jeune couple en bas d’une