Intrant

artisanales. Toutefois, le secteur souffre d’un certain nombre de maux: infrastructures dépassées, moyens de production, de gestion et de distribution atténuant les capacités de développement, rareté de la main-d’œuvre qualifiée, prix élevés des intrants, etc… Des maux auxquels veut s’attaquer le contrat-programme prévu pour le secteur à l’horizon 2020. En attendant, la grande distribution a également contribué à la modernisation du secteur de la boulangerie-pâtisserie avec des processus de fabrication

aux facteurs de production, qu'il s'agisse de main d'œuvre, des sols ou du matériel agricole L’agriculture intensive se caractérise par la mise en place de monocultures à base de semences dites « à haut rendement », une utilisation importante des intrants chimiques (pesticides, engrais, amendements –éléments améliorant les propriétés physiques et chimiques du sol comme le sable, la chaux, la tourbe…- et les activateurs/ retardateurs de croissance) et une mécanisation poussée. En effet, le principe

la rémunération du travail et r représente la rémunération du capital. Par conséquent : D’où : De même : D’où : 1 La fonction de COBB-DOUGLAS est une fonction largement utilisée en économie pour représenter le lien qui existe entre intrant et extrant. Cette fonction a été proposée par Knut WICKSELL (1851-1926) puis testée économétriquement par l'économiste américain Paul DOUGLAS (1892-1976) et le mathématicien américain Richard COBB en 1928. En savoir plus sur Wikipédia: http://fr.wikipedia

particulièrement au secteur de la santé. Selon Bodell (2004), c’est ce qui explique pourquoi il y a si peu d’évidence de la valeur des technologies de l’information dans le système de santé en comparaison avec leurs coûts. Il préconise de mesurer tous les intrants et tous les extrants ainsi que leur qualité dans le système de santé. Ce qui signifie que quantité et qualité des soins doivent être mesurées du point de vue des consommateurs : professionnels de santé et patients. Il existe une carence d’études

ajoutée totale en 2008 contre 47 % en 1950. La mesure des services publics (santé, éducation, etc.) pose un problème particulier puisque certains d’entre eux sont dispensés à titre gratuit. Une approche couramment utilisée est celle reposant sur les intrants, appelée approche input : la valeur de la production de ces services est considérée comme égale au coût des facteurs utilisés pour les produire (salaires des enseignants dans le cadre de l’éducation par exemple). L’inconvénient de cette approche

typique comprend des informations sur les activités de production, les biens, les facteurs de production, les institutions, le compte capital et le « reste du monde ». Une activité produit des biens (et en reçoit un revenu), achète des biens comme intrants et paie des salaires à la main-d’œuvre, des loyers au capital et des impôts au gouvernement. Le revenu des facteurs de production revient aux ménages en leur qualité de propriétaires des facteurs. La MCS peut être élaborée de façon à distinguer les

technique qui permet d’augmenter la productivité, en particulier grâce à de nouveaux procédés de production. Elle mesure le rapport entre le degré de production et deux principaux facteurs : le capital et le travail. Simplifions en limitant nos intrants à un facteur, qui nous intéresse tout particulièrement : le travail. Nous retrouvons alors deux types de ratio de productivité : - réelle, la mesure entre deux quantités physiques dans une période temporelle : 10 boulons produits par 2 ouvriers

c'est les outils de travail. C'est l'ensemble des équipements et des immeubles utilisés pour la production de B/S. Capital humain : L'ensemble des connaissances et des compétences que les travailleurs ont acquises. Ressources naturelles : c'est les intrants fournis par la nature, tels que la terre, les rivières. (Ressources renouvelables et non renouvelables) Connaissances technologiques : Notre savoir concernant les meilleurs méthodes de production de biens et de services. - Différence entre capital

l'exploitation, ou d'origine locale (connaissance directe des producteurs), Part de fourrage acheté/quantité totale consommée, part de concentrés o Connaissance de l'origine et du contenu des approvisionnements o Quantité et origine des intrants o Autonomie de choix de ces intrants o Energie : consommation globale d'énergie, prise en compte des déplacements (liées aux marchés, au parcellaire morcelé…), part d'énergie renouvelable sur l'exploitation; l'énergie est elle prise en compte dans la construction de

des produits de base peuvent être remplacés par des produits synthétiques et les procédés deviennent plus économes en matière première). Au contraire, à la périphérie, le progrès technique a tendance à augmenter la demande en biens de capital et en intrants produits par les pays du centre. Cela a également pour effet de diminuer les termes de l’échange. 3. Les marchés des produits et facteurs de production sont sensés être moins concurrentiels au centre qu’à la périphérie, avec des prix (en particulier