Intégration Sociale De Schizophrène

16 6- Confrontation hypothèse et analyse 19 7- Conclusion 21 8- Bibliographie 23 Annexe 1 : Questionnaire 4 1- INTRODUCTION Suite à mon stage en santé mentale, j’ai constaté que l’éducation thérapeutique des patients schizophrènes semble difficile à mettre en place, surtout en ce qui concerne les thérapeutiques. Je me suis dans un premier temps demandée si ce constat était transposable à d’autres secteurs de psychiatrie. D’autre part, la loi « Hôpital, patients, santé, territoire

[pic] 1. DEFINITION DU HANDICAP [pic] 2. DIFFERENTS TYPES DE HANDICAPS • Handicap moteur • Handicap visuel • Handicap mental • Handicap auditif • Handicap psychique 3. INTEGRATION DES PERSONNES HANDICAPEES • La Loi du 11 février 2005 • La MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées) 4. ACCOMPAGNEMENT DES PERSONNES HANDICAPEES 1. DEFINITION « Constitue un handicap, au sens de la loi française du 11 février 2005, toute

correspond quand à elle au processus par lequel le sujet sur un mode plus ou moins fantasmatique, fait pénétrer et garde un objet à l’intérieur du corps). Plus tard l'identification à la fonction contenante de l'objet va remplacer l'état de non intégration (état qui précède la structuration du self) et va permettre le fantasme des espaces externe et interne. Lorsque cette fonction contenante est introjectée le bébé va pouvoir acquérir la notion d'un intérieur du self ainsi que la différence entre

Evaluation de l’efficience intellectuelle générale …………………………………… b) Echantillon des sujets schizophrènes………………………………………………… c) Echantillon des sujets témoins sains…………………………………………………. 6.1.3 Données socio-démographiques et thérapeutiques………………………………………... a) Echantillon des sujets schizophrènes………………………………………………… b) Echantillon des sujets témoins sains…………………………………………………. c) Comparaisons des sujets schizophrènes versus témoins sains……………………….. 6.2 Matériel et procédure …………………………………………………………...……………………

schizophrénie dans la classification du Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM) (depuis la troisième version). De plus, si celles-ci commentent les actes du sujet ou si elles conversent entre elles (environ 20 % des sujets schizophrènes), leur seule présence suffit à porter le diagnostic de schizophrénie. Cependant, les hallucinations ne sont pas spécifiques de la schizophrénie (pour revue [87]). On les retrouve également chez les maniaques et, à un degré moindre, chez les

c’est le cas, c’est permettre à ce patient de se « défendre » de sa maladie en lui proposant de s’adosser sur le dispositif qui prétend le soigner. Nous verrons l’importance de ces deux plans, témoins de deux types différents d’aliénation mentale et sociale. De plus nous observons souvent en psychiatrie que la thérapeutique commence dès la première rencontre, comme si à chaque fois, toute notre histoire était à nouveau mobilisée. L’intérêt des systèmes anti-ségrégatifs Pour que ces précautions ne

En 1921, Kretschmer partage les individus normaux en deux catégories : les cyclothymes et les schizothymes, et rapproche ces derniers de la schizoïdie, qu’il caractérise par une inhibition associée à une impulsivité conduisant à une inadaptation sociale sans survenue de processus dissociatif. Ce concept est développé en 1924 en France par Minkowski. A la même époque, Claude décrit les schizoses et la schizomanie, qu’il situe entre les névroses et les psychoses. Il proposera en 1939 le concept de

l'adolescent suicidaire et émergence de l'idée de suicide B. Différentes définitions du suicide 1. L'approche de Durkheim 2. L'approche de Freud 3. Synthèse et commentaire 4 4 4 5 6 6 7 7 8 C. Les facteurs suicidogènes 1. Facteurs sociaux 2. Facteurs psychologiques et psychiatriques 3. Problématique familiale 4. Hypothèse de l'association des facteurs II. Comportements et idées morbides chez l'adolescent 8 9 10 11 12 12 A. Etude épidémiologique 1. Contexte épidémiologique

et les stages pratiques dans des établissements sociaux et médico-sociaux. Il me reste aujourd’hui à construire ce mémoire, pierre de théorie après pierre d’observation après pierre de pratique qui ont étayé ma réflexion. Au cours de ces trois ans j’ai eu la chance d’œuvrer dans les trois champs de l’éducation spécialisée. J’ai ainsi pu, lors de mes stages courts, accompagner des pré-adolescentes dans une Maison d’Enfants à Caractère Social et des usagers en situation de grande précarité dans

similaires à celle d'un enfant autiste. Cependant ce terme ne fut pas clairement défini ni prononcé. C'est bien plus tard en 1906 que le mot « autisme » fit son apparition. En effet, le psychiatre suisse Eugen Bleuler l'utilisa pour décrire, chez les schizophrènes, une diminution voir une absence totale de relation avec le monde extérieur. Par la suite, en 1943, Léon Kanner, psychiatre américain, s'appropria ce terme pour définir l'incapacité à établir bet développer des relations interpersonnelles normales