Intériorité Esprit

vraiment l'écrant de ce que nous sommes intérieurement, approuver le cas contraire serait d'accepter les stéreotypes. Ayant donc tous une identité, une nationalité, une apparence, nous sommes aussi des personnes avec des qualités morales, une âme, un esprit, un caractère, un tempérament. Dire que nous sommes une personne est-ce répondre à la question de savoir qui nous sommes? Une personne est un sujet moral qui possède une dignité éminente, dignité que ne possèdent pas les choses, qui elles ont seulement

intérêt → perception sélectionné par la conscience La conscience humaine, entre l'animal et Dieu a) La conscience animale _ ce n'est pas a l'inanimé qu'on va attribuer la conscience _ c'est donc à l'animé qui vient de « animus » = esprit, l'âme _ donc l'animé c'est un corps qui bouge tout seul _ est animé les êtres vivants: animaux(dont l'homme) plante -il y a un lien entre la conscience et le mouvement _ ont a tendance a attribuer la conscience quand il y a chez un être

fortement cet aspect. Le philosophe accepte la possibilité de ne pas savoir, contrairement aux autres hommes, ce qui est une preuve de sagesse. Ceci est introduit par le registre épidictique (éloge) « une grande perfection ». Il y a une synthèse de cet esprit scientifique avec « donc ». 2 La primauté accordée à la raison. La science du philosophe n’est rien sans la raison. On montre que pour le philosophe la raison est aussi importante que l’soit la religion à cette époque. La raison et le philosophe

intérieur (« dans mon âme » vers 18) en utilisant le champ lexical du lieu clos  (« cachot, vers 5, « plafond » vers 8, « murs » vers 7) et Laforgue semble de la même manière être coupé du monde qui l’entoure, qu’il regarde « sans voir » et son intériorité malade, dévorée par le spleen destructeur est évoquée par l’expression « mon vieux cerveau » vers 5. Alors que dans le poème de Baudelaire le poète s’attache plutôt à décrire l’angoisse de le mort, idée obsédante, et une vie terriblement cruelle

bien vivre, en adjoignant à son temps, en s'appropriant ainsi le temps de ceux qui nous ont précédés, ce qui revient à profiter du fruit de leurs efforts, de leur découverte ou de leur invention. Cela exige une tâche de notre part: développer notre Esprit car c'est l'esprit qui nous permet de nous élever au bonheur de comprendre les fondateurs des doctrines qui nous ont précédés. L'accès à chacune des grandes doctrines est donc comme une nouvelle naissance, une éclaircie dans notre vie: c'est une

; on répond à la question de savoir de quoi nous sommes faits, de manière dualiste : nous croyons que nous possédons à la fois un esprit et un corps, il y a d’un côté l’âme, l’esprit, de l’autre le corps, la matière. L’esprit (spiritus) | Le corps | siège des états mentaux de toute sorte = penser, imaginer, sentir ; tout ce qui se passe dans notre tête = intériorité. Se définit par opposition à la matière, ie, comme immatériel… et par conséquent, éternel. | n’est que l’habitacle provisoire de

moins… C’est à partir de la terre nourricière que tout projet est crée, inventé : c’est la terre qui va amener tous les ingrédients pour conceptiser : un ordinateur, une voiture, un outil, une machine etc…mais à ce jour je n’ai jamais vu un homme, un esprit ou peut etre Dieu avoir crée un objet, d’un coup de baguette magique. Il y a 2questions essentielles que l’homme se pose depuis la nuit des temps : Si je crois en Dieu : Dieu a crée l’homme Si je ne crois pas en Dieu : L’homme a crée Dieu

Ne sommes-nous pas libres de penser, c’est-à-dire de concevoir des notions, des opinions qui nous sont propres, ce par l’activité de notre intelligence ? Qui peut nous contraindre moralement ou nous influencer ? Qui peut former des idées dans notre esprit ? Notre pensée est-elle formatée par la société ou en est-elle totalement libre sans entraves ? Dans ce cas, notre pensée est-elle toujours le fruit de notre volonté quelle qu’elle soit ? Se forger une opinion, avoir des idées, éprouver des sentiments

possède le même comportement il aura le même esprit que moi, pour connaitre autrui je suis poussée à faire des suppositions, à faire des conjonctures, je fais à partir de moi ses suppositions, à partir de ce que je sais de moi-même et ce que je suis, le risque est que je manque ce qu’est l’autre car je vais projeter sur lui mes propres fonctionnement. Y’a un problème qui est proposé par le solipsisme est : comment peut-on saisir extérieurement une intériorité, une subjectivité. La relation à l’autre

religare (« relier »). La religion implique : d'une part, une mise en relation des individus, entre eux et avec une entité ou un être dont ils dépendent fortement ; d'autre part, une attitude de l'individu pris en lui-même, un mouvement de son intériorité, un scrupule qui lie sa conscience et impose des formes à son comportement. 2. De la réalité sociale à la transcendance Sous un premier aspect, la sociologie essaye de décrire la religion comme un fait social. Indépendamment de toute idée de divinité