Intériorité Esprit

fondement. Dès le début, les éléments de l'expérience nous sont décrits. Ce sont les perceptions, que nous trouvons bien dans notre esprit, pour parler vaguement, mais qui n'y sont pas à strictement parler, puisque ces perceptions sont logiquement antérieures à tout ce qu'elles vont former, antérieures donc aussi bien aux objets qu'au sujet, aux choses du monde qu'aux esprits, antérieures même à l'espace et au temps, qui ne sont que des structures de leur composition. Toute l'expérience, comprise comme

vocabulaire philosophique : A : * arché: principe qui explique l'origine et le principe d'organisation de l'ordre naturel. * âme: du grec anemos "air, souffle" du latin anima "souffle, vie, âme" ( principe vital) et animus "esprit, âme"( siège de la pensée), esprit qui anime quelque chose, au point de lui donner le pouvoir d'exprimer la pensée, les sentiments… ou de le faire ressembler à un être vivant. l'âme est le souffle qui anime un corps vivant, principe qui accorderait la vie au vivant

Cependant, Descartes vient réfuter ceci en disant :<< Comment pouvons-nous reconnaître une chose matérielle malgré les différentes formes qu’elle est susceptible de prendre? Nous le faisons à travers des idées, c’est-à-dire tout ce qui est en notre esprit, lorsque nous concevons une chose, de quelque manière que nous la concevions. P.55>> Donc on peut dès lors comprendre que l’humain est un être de pensée. De ce fait, l’être humain n’est pas son corps, puisque le corps n’est pas nécessaire de

géné­ral. Et étant donné que ces ruines ne sont pas seule­ment l’œuvre de la nature mais encore de la volonté humaine, le spectacle de l’histoire risque à la fin de provoquer une affliction morale et une révolte de l’esprit du bien, si tant est qu’un tel esprit existe en nous. On peut transformer ce bilan en un tableau des plus terrifiants, sans aucune exagération oratoire, rien qu’en relatant avec exactitude les malheurs infligés à la vertu, l’innocence, aux peuples et aux États et à leurs plus beaux échantillons

nouvelle forme est l’âme interne de tous les individus ; il est leur intériorité inconsciente, que les grands hommes porteront à la conscience. Leur œuvre est donc ce que visait la véritable volonté des autres ; c’est pourquoi elle exerce sur eux un pouvoir qu’ils acceptent malgré les réticences de leur volonté consciente : s’ils suivent ces conducteurs d’âmes, c’est parce qu’ils y sentent la puissance irrésistible de leur propre esprit intérieur venant à leur rencontre. Si, allant plus loin, nous jetons

Elle se retrouve aussi chez l'homme, surtout sous la valeur de loyauté. Par exemple, la loi du silence règne dans les milieux mafieux, dans les classes des écoles, dans certains quartiers. D'ailleurs la délation est un acte déshonorant. Dans le même esprit, trahir son pays, surtout en temps de guerre, est un crime impardonnable. Le traître se met de lui-même hors du groupe. Il n'a plus droit à sa protection. Il est encore plus méprisable qu'un ennemi. De plus, la loyauté à l'égard du chef est une exigence

peut être considérée comme une réalité. Pour ce faire, il se force à considérer comme faux tout ce qui n’est pas absolument certain. "Je pense donc je suis" --> Il dit que tous nos sens nous induisent en erreur, nous font douter, cependant, son esprit rationnel (cartésien) met en evidence le fait que lorsqu'on pense au fait que l'on existe ou non, alors on existe alors nous avons "conscience de soi". Néanmoins même si tout ce que je pense s’avère faux, même si un dieu trompeur ou "malin-genie"me

philosophes visaient par « connaissance de soi » ne comportait pas de caractère psychologique ou personnel ; il s'agissait simplement de définir le propre de l’homme, son «essence», c'est-à-dire de prendre conscience que nous sommes avant tout un esprit, une âme raisonnable.Cette thèse répond à la question "qu'est-ce qu'un homme en général", mais elle ne répond pas à la question "qui suis-je en particulier" en tant qu'individu, en tant que sujet. Or lorsqu'on se demande "la conscience est-elle une

perception – et donc notre réflexion – du monde, un mur à escalader n'évoque pas la même sensation à un jeune homme et à un vieillard, cependant, une physionomie donnée ne correspond pas à une psychologie donnée, le vieillard peut contenir en son esprit plus de force que le jeune homme dans son corps. Il est possible de référer son être comme appartenant à une culture ou une religion donnée mais cela reviendrait à nier toute affinité avec les culture étrangère à la sienne, hors, il est bien connu

PLAN Introduction (a) Qu'est-ce qu'une personne ? Examen de quelques cas problématiques. I - La conscience : fondement de l'identité de la personne A. La conscience comme intériorité B. La conscience comme capacité de contrôle C. La conscience comme conscience de soi II - Perspectives critiques (1) : le problème du rapport corps-esprit A. Les limites du dualisme B. Le matérialisme C. Les limites du matérialisme III - Perspectives critiques (2) : Le moi se définit-il vraiment par l'intériorité ? A. La