Iodure

alignés sur la table par ordre croissant concentration en phosphate. 2 Produits nécessaires pour les laboratoires 1 Dosage de l'oxygène dissout • MnSO4 (Sulfate de manganèse II) • KOH (Hydroxyde de potassium) • KI (Iodure de potassium) • NaN3 (Nitrure de sodium) • H2SO4 (Acide sulfurique concentré) • Na2S2O3 (Thiosulfate de sodium) • Amidon en solution 2 Dosage des phosphates • N2H4.H2SO4 (Sulfate d'hydrazine) • H2SO4

on obtient les résultats suivants : Réaction de l’Aluminium avec : Caractéristiques Dichlore Dibrome Vives incandescences Diiode Réaction exothermique après ajout d’un peu d’eau (catalyseur). Dégagement gazeux de vapeurs violettes (I2) Iodure d’aluminium AlI3 chauffage Produit obtenu Chlorure d’aluminium AlCl3 Bromure d’aluminium AlBr3 Activité 12 a. Quel récipient choisir pour chaque expérience ? b. Écrire les équations des trois réactions provoquées. c. Comparer le

des ions iodures I − à une solution contenant un précipité de AgCl. Conclure. 3. Calculer la solubilité dans l’eau pure du chromate d’argent pKs (Ag2 CrO4 ) = 12,00. La comparer à celle de AgCl. Que peut-on conclure ? 4. Déterminer la constante de la réaction qu’aura lieu lorsqu’on ajoute des ions Cl− à un précipité de Ag2 CrO4 . Réponse 1 -La solubilité du : ◮ Chlorure d’argent : AgCl(S) Ks1 = s21 =⇒ s1 = √ ⇋ Ag + + Cl− Ks1 A.N : s1 = 1, 32.10−5 moℓ.ℓ−1 ◮ Iodure d’argent

réactions complexes. Elles sont parfois catalysées (accélérées) par la présence d’ions ou de molécules neutres qui interviennent dans leur mécanisme complexe, sans pour autant participer au bilan final. Citons un exemple, la réaction d’oxydation des iodures par les persulfates : S2O82- + 2 I2 SO42- + I2 Cette réaction est catalysée par les ions Fe3+, mais aussi par d’autres ions des métaux de transition. Le mécanisme de ces réactions est imparfaitement connu, mais on peut supposer qu’intervient transitoirement

seront également à prendre en compte. Pour des raisons d’économie, les luminaires à vasques à lampes sodium haute pression sont préférés aux autres installations. Cependant, suivant les conditions ou effets recherchés, les ampoules pourront être à iodure métallique ou autres, après avis Lydec. Leur puissance sera fonction de la hauteur des candélabres et du niveau d’éclairement demandé. Les lanternes devront être au moins de classe I et étanches (IP65). 26 Guide pour les aménageurs de projets

Ballast électronique variable numérique ou analogique > Ballast électronique variable numérique ou analogique > Lampe à décharge sodium > Ballast électronique variable numérique ou analogique sur certaines puissances > Lampe à décharge iodures métalliques à brûleur céramique > Ballast électronique variable sur certaines puissances sous réserve du respect des caractéristiques techniques des lampes > Objectifs de la directive européenne relative au rendement énergétique des ballasts

c) pH = 10ACIDES-BASES-SELS1. HCl chlorure d’hydrogène A NaOH hydroxyde de sodium BCaCl2 dichlorure de calcium S HBr bromure d’hydrogène AMgF2 difluorure de magnesium S Ba(OH)2 dihydroxyde de baryum B AlCl3 trichlorure d’aluminium S HI iodure d’hydrogène AKOH hydroxide de potassium B LiOH hydroxyde de lithium B K2S sulfure de dipotassium S HF fluorure d’hydrogène A 2 a) A b) A, B ou S c) Non, il pourrait s’agir d’une substance « autre ». Il faudrait vérifier la conductibilité

Cation métallique Métal Mn+(aq) + n e- = M(s) Fe3+(aq)/Fe2+(aq) Ion fer (III) Ion fer (II) Fe3+(aq) + e- = Fe2+ MnO4-(aq)/Mn2+(aq) Ion permanganate Ion manganèse (II) MnO4-(aq) + 8 H+(aq) + 5 e- = Mn2+(aq) + 4 H2O I2(aq)/I-(aq) Diiode Ion iodure I2(aq) + 2 e- = 2 I-(aq) Ion thiosulfate S4O62-(aq) + 2 e- = 2 S2O32-(aq) S4O62-(aq)/S2O32-(aq) Ion tétrathionate III. Comment écrire l’équation bilan d’une réaction d’oxydoréduction ? Une réaction d’oxydoréduction est une réaction mettant en

coloration élaborée par Christian GRAM (1884) : Bactérie Gram positif étapes Bactérie Gram négatif 1- coloration par le violet de gentiane du cytoplasme des cellules 2- fixation du violet par le lugol (réactif iodo-ioduré) = formation de complexes violet-lugol 3- Décoloration par l’alcool (solubilise les lipides de la mbr ext des gram(-) et décolore le cpxe violet-lugol ; pas d’effet sur les gram(+) car ne pénètre pas dans leur cytoplasme) 4- Coloration

la méthode normalisée NF T 60-220 [16], en simple (répétabilité vérifiée sur plusieurs échantillons). Le principe de cette méthode repose sur le titrage par une solution de thiosulfate de sodium des molécules d’iode libérées par oxydation des iodures par les hydroperoxydes de l’échantillon solubilisé dans un mélange acide acétique/chloroforme. Les résultats sont exprimés en meqO2/kg. Appareillage et échantillonnage PIR-TF L’analyse proche infrarouge a été réalisée avec un spectromètre ABB BOMEM