Ionesco Passé Présent Présent Passé

Le terme « impromptu », selon le Petit Robert, est une petite pièce composée sur le champ et en principe sans préparation. Déjà présent dans la poésie qui se répandait au XVII siècle dans les salons littéraires, il signifiait de courtes pièces de vers composées par les poètes sur place. Il réside aussi dans le monde musical où il renferme le sens d’une composition musicale libre, semblable à une improvisation généralement écrite pour un seul instrument. Le théâtre n’y était pas épargné,

est détaché de tout sentiment, rien ne semble le perturber. Son caractère l’empêche de faire face à la société, ce qui crée l’absurde. En effet, lors de l’enterrement de sa mère, on notera l’absurdité des bonnes règles de conduite, qui sont aussi présentes lors de son procès. On note également l’absurdité du personnage, confronté à une société qui lui est étrangère, de même que sa propre existence. Grâce à cela le lecteur continue à suivre les aventures de ce personnage plus qu’atypique. Tout cela

Lumières et son œuvre, dans laquelle l’Encyclopédie ne peut se dissocier de ses autres productions, reste l’une des plus importantes de la littérature française. Eugène Ionesco : Né à Slatina (Roumanie) le 26/11/1909 ; Mort à Paris (France) le 28/03/1994 Après une enfance partagée entre la Roumanie et la France, Eugène Ionesco s'installe en France en 1942 et y publie sa première pièce, la Cantatrice chauve, en 1950. Cette œuvre, inspirée du surréalisme, initie le "théâtre de l'absurde" en mettant

Guernica I- Présentation de l’objet d’étude. 1) l’œuvre La première œuvre que je vais présenter est une peinture de Pablo Picasso qui se nomme Guernica. Ce tableau représente, dans le domaine artistique, l’art du visuel. 2) l’auteur Pablo Picasso est un grand peintre espagnol né le 25 octobre 1881 à Malaga en Andalousie, Espagne. Il est décédé le 8 avril 1973 près de Mougins, commune du sud de la France. C’est l’un des artistes majeurs du XXe siècle. Avec Georges Braque, il est l’inventeur

à un théâtre conventionnel. Tout d’abord on observe une absence totale d’action et donc de rythme dans les textes de Tardieu et de Beckett contrairement au théâtre ordinaire qui lui établit une intrigue remplie de coups de théâtre, de quiproquos… Ionesco lui met en scène une délibération agitée cependant la situation demeure surprenante : la transformation des personnages en rhinocéros donne un aspect surréaliste presque fantastique à la pièce. Bien au contraire, Oh les beaux jours et Finissez vos

Dans quelle mesure peut-on affirmer, comme Eugène Ionesco, que le théâtre « rejoignant une vérité universelle », « me renvoie mon image » et qu'il est « miroir » ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur le corpus (textes et annexe) et sur votre culture personnelle en tenant compte de la dimension proprement théâtrale des œuvres. IntroductionTout art, qu'il s'agisse des arts picturaux ou de la littérature, pose la question importante de son rapport au monde et de sa fidélité par

Théâtre de l'absurde (TDA) Thèmes du TDA - solitude de l'homme - étrangeté - écoulement infini du tps (ni passé, ni avenir) - vide d'un espace sans repères - vanité des actions humaines - absurdité de la condition humaine - mort Caractéristiques Langage et écriture: - remise en cause du langage - refus des codes linguistiques et littéraires - vers une écriture dépouillée Renouvellement: - renouvellement du topos de la relation maître-esclave - rupture de la tradition théâtrale

propre au mouvement des Lumières : Voltaire pour un extrait du Mondain et Diderot le meneur des Encyclopédistes ici avec un extrait du Neveu de Rameau. Le quatrième texte, théorique, est extrait de Notes et contre-notes une anthologie voulue par Ionesco pour commenter le théâtre avant-gardiste en général ainsi que son propre théâtre. Comment ces différents textes s’y prennent-ils chacun à leur façon pour tous s’inscrire dans une démarche argumentative ? A quoi tient leur force argumentative ? On

célèbre critique littéraire et poète français Alain Bosquet à affirmer que, dès qu'il se passe quelque chose d'important dans la littérature française il a hâte de vérifier si « la chose » ne s'est pas déjà produite dans la littérature roumaine. C'est évidemment, suite à des écrivains ou à des moments littéraires tel que Ion Budai Deleanu [précurseur des Lumières, dans son œuvre La Tziganiade], Urmuz [qu'Eugène Ionesco appelait « un surréaliste avant la lettre »], Tristan Tzara [revendiqué comme « père

Ruy Blas, de Victor Hugo (1838), de Caligula, pièce de théâtre d'Albert Camus publiée en 1944, ainsi que Le roi se meurt, d'Eugène Ionesco (1962). Ces extraits présentent l'approche de la mort des personnages. Nous nous poserons la question suivante : Quelles sont les points communs et les différences entre ces textes? Une première partie aura pour objectif de présenter les points communs entre les extraits avant de d'interesser dans une seconde partie à la singularité des textes. Dans les 3 extraits