Ironie Du Sort

démontrant l’infériorité de la femme dans tous les domaines, Mme de Merteuil affirme sa supériorité sur Valmont, même dans le jeu libertin. Elle se pose en dominatrice, donnant des conseils et des ordres, et humiliant même son correspondant par son ironie et ses moqueries mais aussi sa richesse. Loin du modèle de la femme soumise, c’est elle ici qui garde les devants : elle souligne que le retard de sa réponse est absolument délibéré et qu’il est l’effet non d’un manque de temps, mais de son « humeur

laisser entendre qu’elle ne voit pas l’homme comme un prédateur dans sa grande innocence. - Image de la jeune fille persécutée par ses parents et qu’il faut délivrer : envoyée au couvent qui la rendra « malheureuse » - Pour autant elle accepte son sort en bonne chrétienne « c’était apparemment la volonté du Ciel » et avec modération - Mieux que cela, sa tristesse la rend encore plus charmante. Héroïne vertueuse et chaste telle que le veut la tradition du roman sentimental et surtout persécutée

Bel autodafé" (l.12) et "le spectacle de quelques personnes brûlés (…) le décalage entre les crimes et les châtiments rend la justice absurde. Empêcher la terre de trembler" (l.4-5). Il se moque directement des personnes hautement placées. Ironie du sort car (l.19) "le même jour la terre trembla de nouveau avec un fracas épouvantable" ce qui prouve bien que cela n'aura servi a rien  remise en question de la parole des sages Voltaire considère aussi que cette exécution est injuste (l.6) "Un biscayen

Lecture analytique 3, Acte II,  scène 1. Les Caprices De Marianne. De « Belle Marianne » à « Elle sort ».  Problématique  :     Quelle image des femmes est véhiculée dans cette scène ?De quelle manière Octave et Marianne se livrent-ils à une joute oratoire ?I.                    Octave et le blâme de Marianne et des femmes en général a.       Attaque verbale d’Octave : suscite la jalousie de Marianne : il invente le

qui n’a cessé de servir des femmes au gré de ses désirs ou de ses besoins et qui, hormis ce talent, paraît n’en avoir aucun. I. Victoire du séducteur II. L’ascension d’un arriviste III. Vision critique de l’auteur I. Victoire du séducteur A. Ironie de l’auteur = une description d’un mariage tourné en mascarade ᦗ Les sentiments du personnage (l. 1 à 12) : le personnage est débordé / l'émotion, le triomphe - presque croyant, rythme ample et majeur => montée de l'émotion "balbutier" (l. 10). G

constitue de ce fait un retour brutal aux réalités du monde que connaissent les contemporains de Voltaire. Problématique : Quels moyens Voltaire met-il en oeuvre pour dénoncer l’esclavage dans ce passage ? Plan : I - Un constat mêlant sobriété et ironie II - Les différents éléments de la dénonciation 3. En approchant de la ville, ils rencontrèrent un nègre étendu par terre, n'ayant plus que la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe

laisser entendre qu’elle ne voit pas l’homme comme un prédateur dans sa grande innocence. - Image de la jeune fille persécutée par ses parents et qu’il faut délivrer : envoyée au couvent qui la rendra « malheureuse » - Pour autant elle accepte son sort en bonne chrétienne « c’était apparemment la volonté du Ciel » et avec modération - Mieux que cela, sa tristesse la rend encore plus charmante. Héroïne vertueuse et chaste telle que le veut la tradition du roman sentimental et surtout persécutée

laisser entendre qu’elle ne voit pas l’homme comme un prédateur dans sa grande innocence. - Image de la jeune fille persécutée par ses parents et qu’il faut délivrer : envoyée au couvent qui la rendra « malheureuse » - Pour autant elle accepte son sort en bonne chrétienne « c’était apparemment la volonté du Ciel » et avec modération - Mieux que cela, sa tristesse la rend encore plus charmante. Héroïne vertueuse et chaste telle que le veut la tradition du roman sentimental et surtout persécutée, ce

bravoure Semble entreprendre une complicité entre l’instrument de destruction et sa propre mort > caractéristique du héro, pas quelqu’un qui tremble C’est un ‘guerrier’ / ‘combattant’ => mélioratif car il lutte contre le fascisme Ne renonce jamais a son sort, son devoir : meurt avec de l’honneur Se tue lui-même > symbolique de son renoncement de se faire abattre par la force opposante (ne donne pas la satisfaction a l’autre de le tuer) Indifférence vis a vis de la mort II. Un personnage humain Humanité

l’ironie d’auteur ( cf. discours involontairement prémonitoire d’un personnage ( ironie tragique. 1) l’ironie représentée dans le discours et les actions des personnages. • Un phénomène social : persiflage mondain et détachement aristocratique (cf. par rapport aux gens, aux normes sociales et morales, etc.). • Une expression caractéristique du « système » libertin : extériorité et absence d’implication ( ironie et ethos libertin. • Parodie des langages religieux, héroïque, galant (