Istisnaa

contrôle de la banque et qui peuvent entraver les clauses de contrat comme les désastres naturels et climatiques et les autres raisons d’absence de récolte. 1.2.3 Financement ISTISNA’A En offrant des financements dans le cadre du contrat ISTISNÂA, les banques s’exposent à un certain nombre de risques spécifiques de contrepartie, tels que : • Les risques de contrepartie liés à l’ISTISNÂA encourus par les banques islamiques concernant l’approvisionnement en marchandises sont similaires

finance islamique, nous avons vu les principaux techniques de financement qu'offre la finance islamique. Nous avons évoqué les instruments dits : « participatifs » (Murabaha, Mudaraba et Musharaka) et les instruments de « financement » (Ijara et Istisna). Dans l'ensemble, cette étude a montré que les professionnels sont unanimement d'accord sur le fait que la finance islamique peut être une bonne alternative à la finance conventionnelle. Cependant, malgré leur optimisme, la majorité d'entre eux ont

centrale • Approche notation interne (simple et avancée) propre à l’institution financière. En ce concerne les IFI, le risque de crédit est lié au défaut de paiement se manifestant lorsqu’une partie du contrat avance des fonds (contrat Salam ou Istisna) ou délivre une marchandise (Mourabaha) avant de recevoir la contrepartie de son financement et s’expose, donc, à des pertes potentielles (BID, 2002, p.58). Quant à l’adéquation du capital propre des banques islamiques l’Islamic Financial Service

ces deux moyens pour avoir de l’argent liquide et mobiliser les fonds avec des coûts raisonnables. Le risque de crédit : il y’a des instruments de financements utilisés par les banques islamiques où cette dernière avance des fonds (cas de Salam et Istisna) ou de la marchandise (cas de Mourabaha) à son client. Ce qui peut conduire à des pertes en cas de défaillance de l’emprunteur, surtout, que le traitement des créances n’est pas simple, puisqu’il faut, selon les règles de droit islamique, que la banque

suivant résume. Les produits de financement islamique Les produits de financement islamique Les produits à revenu variable Moudharaba Moucharaka Les produits à revenu fixe Les produits concessionnels Qardh hassan Mourabaha Ijara Salam Istisna' A. Les produits à revenu variable Le principe de partage des pertes et profits a donné lieu à la conception de certains produits dont le revenu dépend essentiellement de ceux des projets financés sans qu'ils soient connus à l'avance. Les techniques

investopedia.com/terms/d/duediligence.asp15 Guideline to IFI principe 31Modèle tripartite d'un contrat Istisna et Parallèle IstisnaSi C est en défaut pour la livraison du bien B sera aussi en défaut pour la livraison du bienFabricant (F) : produit le bien et le vend à BBanque (B): mandate F pour la fabrication du bien immobilierClient (C) : loue le bien immobilier de la banqueContrat Parallèle Istisna Contrat IstisnaNous comprenons, à l'aide de ce schéma, qu'une banque islamique dépend des tiers

désirée», indique la BID. · Contrat de sous-traitance ou al istisnaâ Dans cette formule, le donneur d’ordre commande au fournisseur de lui fabriquer une marchandise dont les caractéristiques sont prescrites dans le contrat. Ils se mettent aussi d’accord sur le délai de livraison, le prix et la date de paiement. L’engagement des deux partie est irrévocable, même si le paiement peut être différé. · Financement par traitance ou al istisnaâ tamwili C’est là qu’intervient la banque islamique. Elle assure

leur finalité et la base théologique sur laquelle ils s’appuient en : · Instruments de type participatif (Moudaraba, Moucharaka) · Instruments de financement d’actif (Mourabaha, Ijaraa) · Instruments de financement de vente à livraison différée (Istisna, Salam) · Instruments basés sur la confiance (Wadia, Amanah, Jo’ala, Wikala) 2.1.1. Moudaraba Il s’agit d’une association entre un apporteur de liquidités (rab al mal) et un apporteur de force de travail ou entrepreneur (moudarib) sur un projet

successions déterminaient (müəyyən etmiş) que la transmission (çatdırılma) de la couronne (tac) de Français se faisait d’une part en vertu de la loi de masculinité (kişilik), seul les males étaient appelé à la succession des royaumes de Français, exclue (istisna) les femmes mais aussi la succession (ardıcıllıq, varislik) par les femmes, donc tous les males issue (nəticəsi) des filles. Succession de male en male. Cela se transmettait (ötürülən) par hérédité (irsiyyət) par ordre de primogéniture (uşaq olma)

pr�d�finies, en cas de modification d'une des conditions, m�me avec l'accord des deux parties, un nouveau contrat doit �tre r�alis� avec les nouvelles conditions. # Principe d'Ijara, Herbert Smith Herbert Smith (2009),�le guide de la finance islamique Istisna L'Istisna est un moyen de financement progressif. C'est un contrat de fabrication (ou de construction) au terme duquel le participant (vendeur) accepte de fournir � l'acheteur, dans un certain d�lai et � un prix convenu, des biens sp�cifi�s apr�s