Jean De Terrevermeille 1419

1. La souveraineté.................................................................................................................21 A) Les racines médiévales de la souveraineté.................................................................21 B) Jean Bodin et la définition de la souveraineté............................................................22 2. L'absolutisme et ses critiques...........................................................................................23 A) La monarchie absolue

puissances politiques ont des finalités très larges, elles veulent construire des monarchies universelles. Le roi va devoir s’autonomiser de la tutelle de l’empereur et du pape. § 2 - Perspectives comparatives en Europe Jean le Thireau dit que la construction de l’Etat = l’apparition des différentes langues en Europe. On va peu à peu avoir des monarchies espagnoles, française…. Pour parler d’un Etat monarchique il faut parler d’un Etat royal. La construction de

cependant des factions de la noblesse romaine et elle peut donc entreprendre une œuvre politique. Des papes s’illustrent au 9e siècle en tant que législateurs, ils s’efforcent de défendre les privilèges de l’Église de Rome (Nicolas Ier, pape de 858 à 867 ; Jean VIII, de 872 à 882). L’Église sous les Carolingiens se redresse donc timidement. Au niveau local elle apparaît toujours… 2) L’Église, clé de voûte de la société Dans le regnum francorum et dans les terres conquises, la christianisation

cependant des factions de la noblesse romaine et elle peut donc entreprendre une œuvre politique. Des papes s’illustrent au 9e siècle en tant que législateurs, ils s’efforcent de défendre les privilèges de l’Église de Rome (Nicolas 1er, pape de 858 à 867 ; Jean VIII, de 872 à 882). L’Église sous les Carolingiens se redresse donc timidement. 2) L’Église, clé de voûte de la société Dans le regnum francorum et dans les terres conquises, la christianisation connaît un franc succès. Sous les Carolingiens

cependant des factions de la noblesse romaine et elle peut donc entreprendre une œuvre politique. Des papes s’illustrent au 9e siècle en tant que législateurs, ils s’efforcent de défendre les privilèges de l’Église de Rome (Nicolas 1er, pape de 858 à 867 ; Jean VIII, de 872 à 882). L’Église sous les Carolingiens se redresse donc timidement. 2) L’Église, clé de voûte de la société Dans le regnum francorum et dans les terres conquises, la christianisation connaît un franc succès. Sous les Carolingiens

féodalité. Si un seigneur se comporte mal, on peut demander au seigneur supérieur, c'est-à-dire le roi, de faire justice. De ce fait, on peut lui enlever son fief s’il a fait une faute. Le fief va être repris par le roi de France. * Exemple : Jean sans terre est un roi anglais qui possédait les terres de Normandie. Il a piqué la fiancé d’un de ces vassaux. De ce fait, il a été convoqué au tribunal, mais il a refusé de s’y présenté. Il y a donc eu commises et le roi de France a donc récupéré

véritable fille. Les Grands du royaume prennent la décision de mettre en place une régence : attribué au frère de Philippe, deuxième fils de Philippe le Bel : Louis X le Hutin. Les Grands du Royaume décident que c’est le fils de Louis le Hutin => Jean le Posthume qui décède au bout de quelque jour. C’est donc Philippe V le Long devient donc roi de France. Il règne jusqu’en 1322. Aucun fils non plus, que des filles. Le 3ème frère Charles décide de monter sur le trône en écartant ses nièces (son frère

assemblées oecuméniques des IVè-Vè s : Nicée (325), Ephèse (431), ou Chalcédoine (451) et statuts synodaux) s’ajoutent encore l’autorité des textes sacrés (A.T et N.T, dont le canon fut fixé au IVè s.), la tradition des Pères de l’Eglise d’Orient (Jean Chrysostome, Basile de Césarée, Grégoire de Nysse, Grégoire de Nazianze) et d’Occident (Tertullien, Cyprien, Jérôme, Ambroise, Augustin), et même certaines dispositions du droit romain, christinanisé à partir du IVè s. Dès le IVè s. prise de conscience

« océan d’idées ». Nous ne voulons pas nous couper de cet héritage si riche et si fécond, que nous pouvons, certes, enrichir. L’Introduction historique au droit s’intéresse plus au « passé du droit » qu’au « droit du passé », selon la formule de Jean-Louis Thireau [2]. Elle étudie ce qui, dans le droit du passé, peut éclairer le droit actuel. Dans cet esprit, l’Introduction historique au droit est la première matière enseignée d’une discipline majeure du droit, l’histoire du droit, qui compte des