Jean-François Lyotard

mouvement de pensée à une influence indiscutable sur la production artistique depuis sa création, on peut considéré la fin du mouvement surréaliste aux années 60 avec l’émergence de nouveaux mouvements et la rédaction du « Quatrième chant », par Jean Schuster en 1969. Néanmoins, le surréalisme continu d’exister dans les mouvements de pensées, comme le montre par exemple la présence du « Centre de recherches sur le Surréalisme » à L’Université de la Sorbonne. Le centre de diffusion du surréalisme

Plateaux révèle le sous-sol de la cour d’Honneur où une usine d’électricité s’était installée en 1885 pour chauffer les ministères et la Comédie-Française(33), et où se trouvent maintenant les salles de répétition de cette dernière(34). Selon Jean- François Lyotard, « Pour Buren le support, le lieu, l’idéologie sont des opérateurs pragmatiques d’autant plus forts qu’ils sont inaperçus, et il en est de même de leur exposition. […] Il [ce paradoxe] consiste à faire voir ce qui dans le champ visuel (notamment

nous distinguerons deux formes d'injustice : l'injustice relative et l'injustice absolue. La première est de loin la plus courante, mais la seconde délivre l'essence même de l'injustice. Pour cela distinguons avec le philosophe contemporain Jean-François Lyotard, le “tort” et le “dommage”. 4.1.2. - LE DOMMAGE OU L'INJUSTICE RELATIVE. – La première forme d'injustice est relative au sens où elle n'est que provisoire : elle est réparable, justement grâce à la justice. Un dommage porte atteinte à une

Perriault J. (dir.), Infocom : Réécrire la genèse. Revue Hermès CNRS, n° 47. Paris : CNRS Éditions. Brigitte Juanals, maître de conférences en Sciences de l’information et de la communication, laboratoire CRIS (EA 1738), Université Paris X-Nanterre. Jean-Max Noyer, maître de conférences HDR en Sciences de l’information et de la communication, laboratoire CRICS (EA 1738), Université de Paris 7. Mots-clés : D. H. Hymes, anthropologie de la communication, ethnographie de la parole, pragmatique, sociolinguistique

Critique : Les écrits d’Alain Ehrenberg traduisent bien l’influence dans le champ de la sociologie du sport, de la sociologie et de la philosophie de la post-modernité.Quelque post-moderne : Gilles Lipovetsky, Michel Mafessoli, Jean-François Lyotard, Jean Beaudrillard…Ehrenberg fonde l’analyse sur la littérature et la presse (spécialisé). Donné de seconde main, dont il n’interroge pas véritablement la valeur.Paul YonnetSystèmes des sports , 1998 · Une société en crise

d’une révolution inaccomplie. Terme courant désigne absence d’unité de notre culture. Définition possible = Postmodernisme comme un ultime excroissance de la modernité qui culmine dans un culture de l’ambiguïté et de l’exaspération selon Jean-François Lyotard. Brouillage des repères : Dissolution des hiérarchies théoriques et à une remise en cause des échelles institutionnelles. On est dans une société de réseaux, les relations se démultiplient et se fragmentent, s’homogénéisant en l’absence de

PERCEPTION, UN CHOIX DE TEXTES PHILOSOPHIQUES Alberto Giacometti, Tête, 1926 Plâtre original, 28,8x30x8,5 cm Don de la Scaler Foundation 1981 - AM 1981-509 Service de la documentation photographique du MNAM / Dist. RMN-GP © Adagp, Paris Pour Jean-Paul Sartre (1905-1980), la perception réfléchie est d'abord apprentissage de la modestie du regard : nous ne voyons pas les choses telles qu'elles sont, ni même telles qu’on pense qu’elles sont, mais seulement sous certains de leurs aspects qui dépendent

il est nécessaire de redéfinir ses bases ainsi que les conséquences qu’il a eues sur la pratique anthropologique. Je ferais donc dans cette partie une différence entre « le postmodernisme proprement dit », tel qu’il a été conceptualisé par Jean-François Lyotard et le « postmodernisme en anthropologie », à travers deux formes spécifiques (et liées entre 27 DESCOLA Philippe, La nature domestique, p.12. 18 elles) d’interprétation du courant postmoderne. Les liens entre ces différents points

principales | * L'Étranger * La Peste * Le Mythe de Sisyphe * La Chute * L'Homme révolté | Compléments | * Morvan Lebesque, Albert Camus par lui-même, 1963 * Jean Sarocchi, Camus, PUF, 1968 * Alain Costes, Albert Camus ou la parole manquante, 1973 * Jacques Chabot, Albert Camus, la pensée de midi, 2002 * Jean Daniel, Avec Camus : Comment résister à l'air du temps, 2006 | Albert Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi dans le département de Constantine (depuis 1962 Dréan dans la

de Jésus-Christ, force encore, mais force autre, « force douce d’excéder le discours et la conduite des représentations sans en sortir »25 et qui commande le point de la pensée de derrière26. On tient là l’accent d’une certaine modernité. Jean-François Lyotard saluait en Louis Marin, dans l’un de ses hommages, l’attitude d’ « un sémioticien moderne » transparaissant dans la mise en évidence de la crise de la représentation, la mise en 21. « Je n’admire point l’excès d’une vertu comme de la valeur