Jeremy Bentham

*Concept de biopouvoir : au pouv qui donne la mort et laisse vivre s'est substitué le biopouvoir qui fait vivre et laisse mourir (État-providence : sécurité sociale, assurances, etc.). *Figure du panoptique (projet architectural de prison inventé par Bentham et conçu pour que les prisonniers puissent tous être vus depuis une tour centrale) comme paradigme de ce vers quoi tend notre société, ou ce qu'elle n'est déjà plus tout à fait *Les relations de pouv traversent l'ensemble de la société. Un certain

le bonheur des citoyens, du moins à y contribuer. Si tous les hommes recherchent également un maximum de plaisir, alors le bonheur de l’individu doit participer à la prospérité générale. Ainsi, l’utilitarisme, doctrine philosophique menée par Jeremy Bentham et John Stuart Mill, montre que l’action moralement bonne d’un individu contribue à un bonheur pour le plus grand nombre. Egalement, en affirmant "Le bonheur est une idée neuve en Europe", Saint-Just fait du bonheur un bien non pas donné mais

« heureuse », ces bases théoriques, qui ne sont pas des alternatives définitivement opposables, permettent d’évaluer les formes et les fondements de l’Etat-providence (voire de son dépassement). L’utilitarisme, tout d’abord, est une doctrine fondée par Jeremy Bentham. Baptisée et popularisée par John Stuart Mill, cette doctrine aussi simple que forte considère qu’une société juste est une société heureuse. Refusant tout droit naturel et toute autorité suprême pour l’humanité, elle invite à se soucier essentiellement

pratiquent la peine de mort , la raison est d’ordre culturel. En France , on a une conception du droit qui est assez moralisante : il y a toujours dans les règles de droit un fond moral : pourquoi l’adultère est une cause de divorce ? C’est immoral. Jeremy Bentham est utilitariste ( l’ADN du droit américain ) . En France , on va adopter une règle droit parce qu’elle nous semble juste et morale . Le critère de l’utilitarisme qui façonne les esprits américains : on adopte une règle de droit parce qu’elle

LES RELATIONS INTERNATIONALES INTRODUCTION/ On voit le terme international a un philosophe Jérémy Bentham qui a utilisé ce terme pour la première fois en 1781 dans son ouvrage Introduction aux principes de moral et de législation. C’est un terme ancien mais le concept est récent. Il a utilisé cet adjectif pour caractériser une branche du droit, le droit international qu’il a distingué des droits internes. Selon lui l’étude des normes régissant les relations entre les personnes au sein d’un même

mondiale 2&2 (2 pays/2 produits) * L’homo oeconomicus (indépendant, informé, rationnel) Doctrines Utilitarisme : la recherche de l’utilité personnelle est le critère suprême de l’action morale. Il y a une harmonie des intérêts pour J. Bentham et J.S MILL, i.e. que la recherche du bonheur individuel n’est pas contradictoire avec le souci du bonheur collectif, car les deux sont inséparables. Sans critères objectifs du Bien et du Mal, du bon et du mauvais, l’expérience nous enseigne ce qui

criminologie ont posé les premiers jalons de la discipline que nous connaissons aujourd'hui. Frontispice de la première édition (1764) du Dei delitti e delle pene ( Des délits et des peines ) de Cesare Beccaria. Cesare Beccaria ( 1738 - 1794) et Jeremy Bentham ( 1748- 1832 ), principaux représentants de l'École classique, ne mènent pas leurs réflexions dans le sens de la constitution d'une discipline criminologique à part entière. Cependant, s'inscrivant dans une réflexion sur le crime et sa prévention

(et encore plus qu’avant) un exemple pour les individus. Il faut désormais dresser les corps, c’est l’ère du pouvoir disciplinaire. Ce pouvoir disciplinaire est entre autre investit dans un projet architectural imaginé par le philosophe anglais Jeremy Bentham (1748-1832) : c’est le Panopticon. Son dispositif peut être mis en œuvre non seulement pour les prisons, mais aussi les hôpitaux, les ateliers, les écoles. Le Panopticon produit du savoir sur les individus surveillés et ce savoir permet d'augmenter

uniquement pour notre intérêt personnel. Comme l’information est imparfaite, nous sommes incapables d’anticiper les conséquences qu’auront sur les autres sur nos actions. Le marché est bien le produit de nos actions mais pas de nos volontés. Jeremy BENTHAM : représentant du courant utilitariste. Une société juste, c’est une société qui engendre le plus grand bonheur pour le plus grand nombre. Il faut accepter de sacrifier quelques-uns. Van PARIJS : Economiste qui a préconisé la mise en place du

Au-delà de cette constante, la problématique de la codification demeure largement placée sous le signe de la diversité. Histoire Le mot « codification » (du latin codicem facere : faire un code) n’apparaît qu’en 1815 sous la plume de Jeremy Bentham pour désigner alors le projet de composer un corps complet de législation. Le terme de « code » fut cependant utilisé dans la langue juridique d ès la fin du IIIe s. pour décrire le résultat de certaines entreprises de rassemblement du droit existant