Judéo Chrétien égoïsme

cause de nos valeurs morale héritées de la tradition judéo-chrétienne, la référence est ici la généalogie de la morale, elle explique comment les valeurs judéo-chrétiennes effectuent un renversement complet entre le bien et le mal : la richesse, le pouvoir, la beauté, l'intelligence sont des péchés.La laideur, la bêtise,... sont des garanties du salut (...)Texte étudié:« La plupart des gens, quoi qu'ils puissent penser et dire de leur "égoïsme", ne font malgré tout, leur vie durant, rien pour leur

être internes ou externes Diérèse : détachement de deux voyelles = deux syllabes (Vi+o+lon) Drame : C’est un genre littéraire qui n’est pas dominé par la fatalité égocentrisme : tendance à tout ramener à soi, à faire de soi le centre de tout
 égoïsme : amour exclusif de soi, disposition à recherche exclusivement son intérêt et son plaisir personnel
 élégie : poème lyrique d’un ton mélancolique
 Ellipse : période de temps passé sous silence dans un récit ou une pièce de théâtre Empathie : identification

ex : influence droits oral en Grande Bretagne et influence droits latin en France. ●Le Judéo-christianisme réunit les valeurs du judaïsme et du christianisme. L’influence de la chrétienté est plus importante en Europe puisqu’elle est bâtie sur ces valeurs, notamment sur la vie sociale,… sur un territoire) ex : l’amour du prochain, l’anti égoïsme viennent de la culture chrétienne (héritage mode de pensée chrétien). ●Héritage des valeurs des Lumières (18ème siècle) : c’est l’accomplissement des pensées

sont des sophistes, des rhéteurs, des savants, etc. Ce ne sont que très rarement des ignorants, et leur argumentation expose des conceptions qu’il faut prendre la peine de considérer. Par exemple, dans le Gorgias, le bonheur de Calliclès est un égoïsme pragmatique qui a ses avantages. Le bonheur est avant tout affaire de satisfaction et de plaisir, et il est raisonnable, c’est-à-dire logique, de vouloir assouvir ses désirs. - Socrate, en s’opposant à Calliclès, ne fait pas que condamner le matérialisme

qualités, des forces et des talents qui font que je m’attribue une valeur personnelle, même si je fais face à des difficultés et que je connais mes limites.» Malheureusement, dans notre société de tradition judéo-chrétienne, l’estime de soi est encore trop souvent associée à vanité, orgueil et égoïsme. Germain Duclos. L’estime de soi, un passeport pour la vie. Montréal: Editions de l’Hôpital Sainte-J

l’économie de marché * Philosophie/ vision du monde * Rome : * Loi « forum » * Progrès technologique : Pompeï (79 AD) Judéo-christianisme V AD à 492 France – clovis Le monothéisme → corthege de nouvelles valeurs (amour du prochain, miséricorde, compassion…) Moyen Age jusqu'en 1492 Perte du monopole de l’Histoire a la faveur des civilisations Chrétiennes Indienne et Musulmane Apparition de la pensée scolastique : THOMAS D’ACQUIN Renaissance * Découverte géographique *

de l’évangélisation des barbares. Cependant le christianisme n’est pas originel à l’Europe. En effet, c’est une religion étrangère venant de Judée. L’islamisation crée l’Europe en la délimitant avec le christianisme. On parle à présent d’Europe chrétienne. Cependant celle-ci se désunie suite a la séparation de l’Empire d’orient et l’Empire d’Occident en 395 entrainant un schisme entre l’orthodoxie et le catholicisme. Les russes, serbes, Bulgares sont convertis par Byzance. D’autres divisions, coupures

étant dit, faut-il pour autant se priver d’une relecture critique du texte voltairien? Certains auteurs, et non des moindres ont par exemple montré combien Voltaire n’avait pas échappé à de nombreux stéréotypes liés à son combat contre la morale judéo-chrétienne. J’en veux pour preuve l’ouvrage de Léon Poliakov qui dans son Histoire de l’antisémitisme n’hésite pas à ranger Voltaire parmi d’autres écrivains judéophobes. Il semblerait donc que l’auteur de Candide, tout en rejetant explicitement les ethnocentrismes

inculquées aux enfants. A eux de puiser dans l’histoire pour rétablir un monde nouveau sans répéter les mêmes erreurs, en tant qu’enfant libre. Mais une fois le jeune autonome, obligé de fonder sa propre éthique, peu ou sans attache à la religion chrétienne, écoutant son bon sens, le voilà gardien de sa propre morale. Mais quelle morale ? « Mais alors, que deviendra l'homme, sans Dieu et sans immortalité ? Tout est permis, par conséquent tout est licite? »2. D’après le célèbre philosophe Dostoïevski

à discréditer l’individualisme compétitif et la notion d’économie de marché. Houellebecq conteste avant tout la grande utopie des années 60 qui stipulait le libéralisme dans le domaine de la morale. À ses yeux, la disparition de la morale judéo-chrétienne, qui fut fondée sur des principes altruistes, n’a entraîné qu’un culte frénétique du moi, laissant l’individu désemparé: Il est piquant de constater que cette libération sexuelle a parfois été présentée sous la forme d’un rêve communautaire