Judéo Chrétien égoïsme

l'animalité : instincts élémentaires (manger, dormir, pages 30, 42, 118, 139, 151, 155), refuge dans le rêve (page 155), dans le sommeil, souvenirs qui ne sont que sensoriels, véritable régression qu'est la position utérine dans laquelle il se blottit. Son égoïsme est intégral. Il craint le danger (page 98), montre de l’obséquiosité à l'égard de Pozzo (pages 58, 60, 62, 69), fait preuve de cruauté sans risque. Il montre aussi sa sottise, son entêtement puéril. Il est amer (pages 9, 98, 102, 117), revendicateur

produire son témoignage sur l’expérience terrible qu’il avait vécue. Il le commença en hébreu, puis, quelques mois plus tard, se trouvant à bord d'un bateau faisant route vers le Brésil, où il devait effectuer un reportage sur l'activité missionnaire chrétienne dans des communautés juives pauvres parlant yiddish, il l’écrivit dans cette langue. Il indiqua : «J’ai besoin du yiddish pour rire et pleurer, célébrer et regretter. Et pour me plonger dans mes souvenirs. Existe-t-il une meilleure langue pour évoquer

produire son témoignage sur l’expérience terrible qu’il avait vécue. Il le commença en hébreu, puis, quelques mois plus tard, se trouvant à bord d'un bateau faisant route vers le Brésil, où il devait effectuer un reportage sur l'activité missionnaire chrétienne dans des communautés juives pauvres parlant yiddish, il l’écrivit dans cette langue. Il indiqua : «J’ai besoin du yiddish pour rire et pleurer, célébrer et regretter. Et pour me plonger dans mes souvenirs. Existe-t-il une meilleure langue pour évoquer

produire son témoignage sur l’expérience terrible qu’il avait vécue. Il le commença en hébreu, puis, quelques mois plus tard, se trouvant à bord d'un bateau faisant route vers le Brésil, où il devait effectuer un reportage sur l'activité missionnaire chrétienne dans des communautés juives pauvres parlant yiddish, il l’écrivit dans cette langue. Il indiqua : «J’ai besoin du yiddish pour rire et pleurer, célébrer et regretter. Et pour me plonger dans mes souvenirs. Existe-t-il une meilleure langue pour

produire son témoignage sur l’expérience terrible qu’il avait vécue. Il le commença en hébreu, puis, quelques mois plus tard, se trouvant à bord d'un bateau faisant route vers le Brésil, où il devait effectuer un reportage sur l'activité missionnaire chrétienne dans des communautés juives pauvres parlant yiddish, il l’écrivit dans cette langue. Il indiqua : « J’ai besoin du yiddish pour rire et pleurer, célébrer et regretter. Et pour me plonger dans mes souvenirs. Existe-t-il une meilleure

Cantique par les chœurs ; qui mérite d’être sacralisée. Mais quoi de plus exigeant, de plus difficile que l’amour, car essentiellement don réciproque, contraire de l’égoïsme. « La nature de […] ce moi humain est de n’aimer que soi » (Pascal, 978). Non égoïsme à deux, mais ouverture avec les enfants. La procréation est ici dépassée par l’intervention de l’esprit : au plaisir s’ajoute le sentiment, au sentiment la volonté de bâtir ensemble, par une longue fidélité, et l’éducation difficile des enfants. De

laquelle étaient écrits de mauvais vers (vers de mirliton). Page 72 - « l'Olympia » : établissement qui comportait un restaurant et, au sous-sol, une salle de danse; la musique ne pouvait pas y être le jazz que semble bien désigner l'épithète “négro-judéo-saxonne” car sa diffusion ne s'est faite en Europe qu'après la guerre ; en reprenant l'idée d'une prétendue collusion entre la tradition noire et l'influence de la communauté juive américaine, Céline révélait son racisme.  - l'Impasse des Bérésinas

publiques. Le désir Le désir : moteur de recherche, visant la vérité, c’est un manque qui cause notre souffrance que nous cherchons à supprimer par l’obtention de l’objet qu’il vise. L’Eros : le désir amoureux qui est physique.(La philosophie chrétienne à dénaturé le Banquet en faisant de l’Eros un sentiment amoureux). Il a pour origine le corps et vise d’autres corps. Le Banquet, Platon: récit d’une soirée arrosée , discussions sur le thème de l’amour Aristophane : l’amour résulte de l’unité

débat sur la qualification humaine des Indiens, notamment par des Espagnols comme Cortès. Même dans notre tradition où s’est progressivement constituée l’idée d’homme sur base de l’héritage gréco-romaine et de la rencontre avec la tradition judéo-chrétienne, l’extension de la qualification d’homme à tous les individus de l’espèce humaine a fait problème. Ex : Controverse de Valladolid en 1550 entre Sepulveda et Las Casas. La reconnaissance de l’autre comme homme n’a pas été immédiate, il y avait

peuple. Les gouvernés sont associés à l’exercice du pouvoir pour empêcher l’arbitraire. Mais quel est ce peuple qui gouverne ? La Révolution consacre la notion de peuple citoyen, l’idée des Lumières d’un homme éclairé par sa raison et détaché de son égoïsme comme de ses préjugés de classe. En fait, la démocratie telle qu’elle est instituée après la Révolution française révèle la pensée bourgeoise qui a su se mettre à l’abri de la puissance du nombre constituée par le peuple. C’est la théorie rousseauiste